Superstition Et Progrès Scientifique

référence à l'allégorie de la caverne et aux analyse freudiennes et marxistes de l'illusion religieuse. - c’est en rompant avec les explications religieuses ou les mythes, bref les approches de la foi, de la croyance religieuse que la pensée scientifique ou philosophique est née ( la loi des 3 états de A. Comte) - le souci de la vérité, exigence de la raison, s'oppose à l'adhésion de la croyance : « Penser n’est pas croire » Alain ; la raison invite à la distance critique, au doute..

espoirs. En 1744, il est au sommet de la popularité, on le surnomme le ____________________________. Mais il perd vite l’amour de son peuple qui lui reproche son indifférence pour les problèmes du royaume. 2. Les sciences Un nouvel esprit scientifique se répand, influencé par les travaux de Newton, Leibniz et Locke. C’est le triomphe de l’astronomie, de la physique et des mathématiques. Qui invente la première vraie machine à vapeur en 1705 ? ________________________________________ 3

LUMIERES "Le siècle des Lumières est un mouvement intellectuel lancé en Europe auxviiie siècle (1715-1789), dont le but était de dépasser l'obscurantisme et de promouvoir les connaissances. Des philosophes et des intellectuels s’opposant à la superstition, à l’intolérance et aux abus des Églises et des États. Le siècle des Lumières débuta en principe au lendemain de la mort de Louis XIV, en 1715, et prit fin à l’avènement de la Révolution française en 1789. Cette période se caractérise, d'une part

salvatrices. C’est le premier rôle de la technique, c’est-à-dire du savoir faire de l’homme. Nos premiers outils et notre première science à été pratique et appliquée à la protection de l’homme face aux forces de la nature. Cette direction donnée au progrès technique reste légitime tant que l’homme reste l’animal le plus faible de la nature comme le dit Platon dans le Protagoras décrivant avec le mythe de Prométhée qui raconte comment la technique a été donnée aux hommes car

Comment croyances et cultures évoluent-elles au début de l'ère industrielle ? I- La confrontation entre religion et progrès •Evolution de la science: Darwinisme •Déchristianisation et anti-cléricalisme •Refus de l'évolution des moeurs par l'eglise catholique •Solutions de l'église: constructions de nouveaux édifices et incitations aux pélerinages II-Transformation des pratiques culturelles •Naissance de la culture de masse •Developpement des loisirs L'industrialisation

Doit-on imposer des limites à la recherche ? De tout temps, une dualité c’est formé entre les individus garant de l’esprit rationnel scientifiques et les partisans d’un dogme et d’un ordre. Au fur et à mesure de l’Histoire , ce rapport c’est inversé en faveur de la Science ( et plus particulièrement au XIX éme siècle sous l’effet de la 1ére Révolution Industrielle). Ici, le verbe imposé est un verbe transitif qui peut se définir par la mise en place d’une contrainte qui se fait de façon autoritaire

discipline vivante.    Mais cette évidence est trop évidente, trop certaine pour ne pas être suspecte, c’est-à-dire tout simplement à examiner.    En d’autres termes et pour préciser, ce qui paraît clair c’est que l’expression « connaissance scientifique » est un pléonasme. Les conséquences sont de taille, car alors il ne reste plus à la philosophie que l’éthique si on comprend celle-ci comme réflexion sur la morale, et l’épistémologie qui pourrait bien n’être qu’un doublet vulgarisateur de la

l’essence du sacré, son noyau de sens le plus fondamental. On a cru pendant quelque temps qu’ils étaient propres aux sociétés « primitives », avant de s’apercevoir que nos sociétés modernes ont elles aussi leurs mythes… [Par exemple : le mythe du progrès.] {cf Eliade} 2) L’omniprésence des dieux Anthropomorphisme ° Ce que les mythes donnent à entendre le plus souvent, ce sont les actes des dieux et leurs interférences avec les premiers hommes. Le monde s’organise selon des forces qu’il

critique sociale (l.6-7 rythme ternaire) : ton satirique . l'aumônier « exorcismes » (superstitions) . les matelots « jurèrent » (grossièreté, vulgarité) . les philosophes « firent un système » (esprit de système, dogmatisme) - critique anthropologique : vision négative/positive, pessimisme/optimisme . l'homme « raisonneur » orgueilleux, méprisant + la guerre . capable de raison, de progrès scientifique (le sextant utilisé par le physicien pour mesurer les géants), « esprit supérieur » (l

» de l’être humain et sur l’idée de liberté. Par leur engagement contre les oppressions religieuses, morales et politiques, les membres de ce mouvement, qui se voyaient comme une élite avancée œuvrant pour un progrès du monde, combattant l’irrationnel, l'arbitraire et la superstition des siècles passés, ont procédé au renouvellement du savoir, de l’éthique et de l’esthétique de leur temps. L’influence de leurs écrits a été déterminante dans les grands événements de la fin du XVIIIe siècle que