Superstition Est Elle Toujours Irrationnelles

au Lycée Ango de Dieppe Du texte « Essay on Suicide », 1783, chez Smith, Londres (d’abord édité en 1777 sans nom d’auteur et nom d’imprimeur) L'un des avantages considérables de la Philosophie est qu'elle constitue un antidote souverain à la superstition et à la fausse religion. Tous les autres remèdes contre ce désordre pestilentiel sont vains, ou pour le moins incertains. Le simple bon sens et la pratique du monde, qui s'avèrent bien suffisants dans la plupart des problèmes quotidiens, sont soudain

explicites : Higher Superstition4, The Flight from Science and Reason5 : « Superstition Supérieure », « La fuite de /devant/ loin de/ la science et la raison ». On est bien là au cœur du sujet : la sociologie de la connaissance scientifique ne serait qu'une forme de superstition, une forme particulièrement pernicieuse parce que particulièrement poussée (« supérieure ») et institutionnalisée (l'expression « Superstition Supérieure » renvoie à l'« Enseignement Supérieur»), la marque d'une peur

* Si la raison était toute puissante, nous serions Dieu et détendrions la vérité. * On ne fait pas consciemment des erreurs. * On se pose des questions donc notre raison n’est pas toute puissante. * Notre réflexion n’aboutit pas toujours à qq chose de positif. * Le fait même de réfléchir implique que la raison n’est pas toute puissante. III- SI NOTRE RAISON N’EST PAS TOUTE PUISSANTE, IL N’EN RESTE PAS MOINS QU’ELLE EST, QUE NOUS LA POSSEDONS. Comment faire pour qu’elle nous

présent de vérité générale qui est en fait un véritable appel à renoncer au libre-arbitre et à l’esprit critique ! Un homme de bien, un homme de bon sens, croit toujours ce qu’on lui dit et qu’il trouve par écrit. Très vague : s’applique àn’importe quel propos et n’importe quel écrit. → Alcofribas est le contraire de l’humaniste qui va toujours examiner les livres, y compris les plus prestigieux ou les plus sacrés, avec un œil neuf. c) 2e argument : un narrateur qui confond foi et crédulité (21-25) –

catégorique, il est évident que ce dernier est mis en échec car bien même il aurait comme but l’intérêt collectif, il resterait un mal en ce qu’il serait irrationnel. Le mensonge dépend uniquement de la contingence et par conséquent il ne peut être rationnel car conditionné. Le mensonge « nuit en effet toujours à autrui ; même s’il ne nuit pas toujours à un autre homme, il nuit à l’humanité en général en ce qu’il rend impossible la source du droit » (Emmanuel Kant, Sur un prétendu droit de mentir par

Mariane ne se montre pas plus raisonnable que son père. Celui-ci saisit toujours l’occasion de redoubler le mal, d’exagérer dans le mauvais sens. Non content de ne pas croire son fils, il le chasse. Et, comme cela lui paraît encore insuffisant, il le déshérite. Pour que le mal soit vraiment définitif, il fait de Tartuffe son héritier. Et, pour faire bonne mesure, il maudit Damis. Mariane a le même genre de réaction irrationnelle mais en l’occurrence parfaitement explicable par le dépit qu’elle ressent

monarchie ( ils reprochent qu'elle soit absolue : un seul homme qui tient tous les pouvoirs, de droit divin, tyrannique...) la religion ( omni présente, autoritaire, injuste, mensongère, cruelle, massacre) des comportements humains irrationnelles : la superstition, fanatisme, barbarie, la guerre , l'esclavage, ( = des comportements humains indignes ). Les philosophes ont des réflexions fondées sur l'observation, le raisonnement; ils admiraient beaucoup les scientifiques. Mais pour échapper à

fondement véridique. Prennons l'exemple de René Descartes avec son "Cogito ergo sum" (je pense donc je suis) par démonstration il est sur qu'il pense par conséquent il est aussi sur d'exister; il a donc cette vérité indubitable. De plus, Spinoza toujours dans son Appendice au livre 1 de l'Ethique prouve que la doctrine finaliste est un asile de l'ignorance. en effet, il démontre que les Sectateurs de cette doctrine ne cesse jamais de demander les causes des causes en prennent l''exemple d'une pierre

Etapes, matière et découvertes escomptées 1. Nous commencerons par parler du vendredi 13 (celui de la semaine dernière, par exemple), et des superstitions qui l’entourent. Les élèves y croient-ils ? En connaissent-ils d’autres ? Le fonctionnement du texte fantastique repose effectivement sur de vieilles croyances, sur des peurs ancestrales qui ont toujours enrichi l’imagination de l’homme. 2. Ensuite, nous effectuerons une première lecture du texte. Nous arrêterons cette lecture à la ligne 48

l’oreille des hommes » (Gai savoir § 125) La religion n’est pas la superstition Une des meilleures défenses de la religion a été formulée par de nombreux philosophes. Elle consiste à la dissocier la superstition de la religion authentique. La superstition - du latin superstitio « superstition » de superstare, « se tenir dessus », qui désigne ceux qui prient pour que leurs enfants leur survivent – est une attitude irrationnelle consistant à croire que certains actes ou certains signes entraînent