Superficiel Bonheur

nature Fin de la pol' = action et nn la connaissance Chap 2 : diverses opinions sur sa nature - méthode à employer Qu'est-ce que le B, la Pol ? Quel est de tous les biens réalisables le B suprême ? Tt le monde s'accorde pr dire que c'est le Bonheur, assimilant le fait de bien vivre et de réussir au fait d'être heureux. Ms en ce qui concerne sa nature, impossible de trouver 1 rép univoque : certains pensent que c'est 1 B visible comme la richesse, l'honneur, d'autres la voient ds ce qu'ils n'ont

qui est bien : digne, vertueux - Ce qui fait mal : souffrance, douleur - Ce qui est mal : indigne, vicieux Pour les grecs, le bien est ce qui conduit au bonheur. Le bonheur est lié au plaisir mais ne se réduit pas au plaisir. Différence entre hédonisme (le bonheur se réduit à la maximisation du plaisir), et eudémonisme (le bonheur ne se réduit pas à la maximisation du plaisir). Le christianisme valorise la douleur, le dolorisme. Différent de l’ascétisme grec, qui consiste à l’exercer

fait de ce type de relation, par son authenticité et son caractère fusionnel, une rareté, mais aussi une épreuve pour ceux qui la connaissent. Il faut être en mesure de la vivre : « […] on trouve facilement des hommes capables d’une fréquentation superficielle. Mais celle dont je parle, dans laquelle on a des relations qui portent du fin fond de son cœur, qui ne réserve rien, il est assurément nécessaire que tous les ressorts soient parfaitement nets et sûrs ». Ouvrir son cœur n’est pas chose aisée,

mieux n’est pas le maximum, mais le meilleur dont l’étymologie rappelle qu’il s’agit du juste milieu (meliora : moyen). La difficulté est de trouver le critère qui permet de reconnaître cette juste mesure, celle que prône Aristote pour parvenir au bonheur d’être non pas “trop” bien, mais “juste” bien. Le nécessaire est ce qui peut le mieux satisfaire : on ne peut que se satisfaire du nécessaire. Il faudrait être de mauvaise foi pour prétendre être déçu de ce qui convient le mieux en fait, et vouloir

combattants qui sont morts à Valmy, Fleury et en Italie. * 4ème poème : « Première Soirée » Rimbaud, s’essayant dans un genre superficiel auquel il n’attachait probablement pas plus d’importance qu’il ne convenait, voulait faire la satire de l’amour sot, comme le montre le choix des adjectifs « joli », « petit », « mièvre ». * 5ème poème : « Sensation » Ce texte exprime avec bonheur le désir de partir, d’aller « loin, bien loin » dans la nature, qui a toujou[***]rs été si vivace chez Rimbaud. * 6ème poème

trouver une satisfaction, il contient en lui la puissance d'affirmation que l'homme aura besoin pour l'expansion progressive de sa vie. On a donc une positivité du désir. Désirer c'est valoriser, embellir ce que l'on désire et en jouir d'avance. Le bonheur d'un homme, et donc son désir naturel, ne se trouve pas dans la réalisation du désir lui même, mais dans sa conception. Désirer c'est imaginer ce que l'on peut obtenir, et c'est dans ce sens que le désir se trouve être naturel. Le désir naturel de

rencontrent en effet beaucoup de personnes, (plus ou moins amicales), qui forment leur entourage (plus ou moins proches) et à travers lesquelles l'auteure dépeint un univers très superficiel duquel ressortent les sœurs Dashwood par leur naturel, leur spontanéité et leur grandeur d'âme et de cœur. Ce fut un réel bonheur de parcourir les mots de Jane Austen. Empreintes de légèreté, de douceur, et de poésie, ses longues phrases charment le lecteur et l'emporte dans un univers romantique et romanesque

l’enseignement obligatoire, gratuit et laïque, dans la question de la femme, dans la question de l'enfant, il est temps que les gouvernants avisent. Il est urgent que les législateurs prennent conseil des penseurs, que les hommes d'Etat, trop souvent superficiels, tiennent compte du profond travail des écrivains, et que ceux qui font les lois obéissent à ceux qui font les moeurs. La paix sociale est à ce prix. Nous philosophes, nous contemplateurs de l'idéal social, ne nous lassons pas. Continuons notre

- Désir / Volonté. Le désir ne se confond pas avec la volonté. Vouloir est un acte beaucoup plus fort que désirer. La volonté est un acte délibéré, pleinement conscient, elle suppose une organisation réfléchie. Alors que le désir est plus superficiel, moins spontané, moins réfléchi. La rationalité de la volonté s'oppose à la superficialité du désir. Notion de velléité. - Désir / Besoin. Le besoin est nécessaire, le désir lui est contingent. Ce qui est nécessaire (vital), c'est ce qui

mieux n’est pas le maximum, mais le meilleur dont l’étymologie rappelle qu’il s’agit du juste milieu (meliora : moyen). La difficulté est de trouver le critère qui permet de reconnaître cette juste mesure, celle que prône Aristote pour parvenir au bonheur d’être non pas “trop” bien, mais “juste” bien. Le nécessaire est ce qui peut le mieux satisfaire : on ne peut ‘’que’’ se satisfaire du nécessaire. Il faudrait être de mauvaise foi pour prétendre être déçu de ce qui convient le mieux en fait, et vouloir