Superficiel Bonheur

n’est-il pas le signe que l’être humain n’a besoin de presque rien pour être heureux ? Mais comment comprendre alors que les hommes consacrent tant d’énergie toute leur vie à travailler pour atteindre une rare satisfaction? Mystère insoluble ! Le bonheur est-il facile ou difficile ? Enigme insondable ! La joie elle naturelle à l’homme, ou nécessite-t-elle, - vade Retro, Satanas ! - une construction, un effort, voire même une insensée création laborieuse ? Cette question ô combien lancinante, même

Tous les régimes politiques sont égaux, à l’exception de la tyrannie. L’Etat ne doit jamais réformer, car il ne doit pas donner des idées de changement à ses sujets. En matière de politique extérieure, la guerre doit être évitée, car elle empêche le bonheur du peuple et cause des maux désastreux. Le bon souverain est un « père du peuple ». XI « De l’homme » L’amour-propre est la source de toutes les mauvaises expériences de l’homme avec autrui : injustice, incivilité, inconstance. L’autre cause de

pour celui qui souhaite cheminer vers l’amitié avec lui-même, les autres, et finalement vers la sagesse. Par ailleurs, notre monde contemporain fait souvent de la connaissance de soi une sorte de sésame sensée ouvrir toutes les portes, sinon du bonheur, du moins du bien-être ou de la réussite sociale et professionnelle : les nombreux tests, « bilan de compétence » et autres questionnaires en témoignent. ! Mais sur quel fondement cette obligation de chercher à se connaître soi-même est-elle

obligé pour celui qui souhaite cheminer vers l’amitié avec lui-même, les autres, et finalement vers la sagesse. Par ailleurs, notre monde contemporain fait souvent de la connaissance de soi une sorte de sésame sensée ouvrir toutes les portes, sinon du bonheur, du moins du bien-être ou de la réussite sociale et professionnelle : les nombreux tests, « bilan de compétence » et autres questionnaires en témoignent. Mais sur quel fondement cette obligation de chercher à se connaître soi-même est-elle établie 

Le désir – le bonheur : texte de Schopenhauer extrait du Monde comme volonté et comme représentation Introduction Si l’un de nos désirs les plus fondamentaux est celui d’être heureux, nous avons tendance à penser spontanément que le bonheur réside dans la satisfaction du plus grand nombre de nos désirs, sinon de tous. Pourtant cela ne nous conduit-il pas à vouloir satisfaire sans cesse de nouveaux désirs et à éloigner par là toute perspective de bonheur ? Tel est le problème que Schopenhauer

bonne ignorance ? Introduction :     L'ignorance fait partie intégrante de l'existence et donc de l'Homme. Mais elle conduit l'Homme vers différents chemins selon la manière dont elle est appréhendée par ce dernier. Émile Zola pensait qu'aucun bonheur ne pouvait naître de l'ignorance, que seule la certitude permettrait de vivre une vie paisible. Il montre ainsi que le fait d'ignorer est néfaste pour l'Homme car c'est en cela qu'il est rendu fragile, soumis aux influences. Cependant n'y-a-t-il donc

luttant paradoxalement contre toute tentation. A contrario des désirs que l'on peut qualifier d'indispensables et nécéssaires, il existe des désirs que l'on peut eux ,qualifier de « superficiels » ou « artificiels ». Dans cette catégorie, on peut y associer toute forme de désir qui pousse le sujet à la recherche du bonheur et de l'agréable dans la vie du quotidien. Ainsi on peut se repencher sur le moment où il entend parler ou apprend l'existence d'un objet non indispensable dont il est persuadé qu'il

morale, qui n’est jamais une contrainte à laquelle nous ne pouvons échapper, car pour Calliclès, être vertueux s’accorde avec notre intérêt, et c’est justement en suivant nos passions que nous pouvons atteindre le bonheur (c’est-à-dire un état durable de plénitude de la conscience). Le bonheur peut se définir dès lors concrètement comme la capacité de pouvoir satisfaire toutes nos inclinations sensibles et ceci autant en terme de quantité qu’en terme de qualité. Calliclès identifie donc le bien et le

final qu’un artifice de l’instinct de reproduction. La recherche du bonheur est l’illusion suprême qui résume toutes les autres. L’individu s’imagine être une fin en soi, alors qu’il n’est que, au contraire, un moyen de l’espèce. Toute notre activité est soumise à cette illusion et, à travers elle, à cette volonté qui anime notre vie consciente, inconsciemment. De même, des désires qui semblent aux premiers abords superficielles émanent en fait d'un besoin de reconnaissance sociale. Il s'agit donc

beaucoup plus radical, concernant la nature de l’homme ? Les hommes changent-ils en changeant leur façon de vivre ? Et à quelle condition cette différence est-elle une véritable transformation ? Comment apprécier la différence entre l’essentiel et le superficiel, entre changement et métamorphose ? Technologie et nature? Quelles sont les impactes de ces différences? La question suppose de s’entendre au préalable sur ce qui est essentiel à l’homme. Or, comment ce qui est essentiel pourrait-il être transformé