Stylistique La Description

On prête des comportements humains à une chose ou une animal. Les arbres gémissent au vent. On rend une idée abstraite. La mort -> la faucheuse. L'allégorie LES PROCEDES LITTÉRAIRES Définition : on appelle procédés les moyens stylistiques que peut utiliser un écrivain pour élaborer son texte et pour produire un effet quelconque sur son lecteur. Les procédés sont donc nombreux et variés et on ne saurait les limiter aux figures de style. Leur analyse (c’est-à-dire celle des effets

compare la femme aux colchiques, symboles de l’imperfection.  Perversion du cliché, du topos 2) Jeu de la forme - Apollinaire utilise des mots triviaux : « vaches » ou techniques : « vénéneux », qui sont contraires aux principes stylistiques de la poésie Le terme « joli » est inattendu, en effet il est généralement évité, car trop banal. Cependant, Apollinaire a montré dans d’autres poèmes qu’il savait utiliser un vocabulaire riche  c’est donc consciemment qu’il a choisi ces termes-là

suif en 1880, les Contes de la bécasse (1883) ou Le Horla (1887). Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent, mais aussi par la maîtrise stylistique. La IIIe République (XIXe siècle) est marquée par la montée du capitalisme et de l'ambition sociale. Le roman naturaliste Bel-Ami (1885) raconte l'ascension d'un « grain de gredin » dans le milieu de la presse, alors en pleine expansion, et dresse

veulent s’effacer pour donner des récits tout à fait objectifs (pas de subjectivité de l’auteur). Mais cela n’est pas vraiment possible, il y a des limites à l’objectivité. En fait, le travail de l’écrivain réaliste ressemble plutôt à une recréation stylistique de la réalité, une restitution littéraire. Il parle de la réalité, mais avec un style travaillé, de belles phrases, de beaux mots… par lesquels s’exprime sa subjectivité d’écrivain. (voir Préface de Pierre et Jean de Maupassant) - La morale :

prolonge le réalisme, est un mouvement littéraire qui est né dans la seconde moitié du XIXème siècle. Ce mouvement consiste à décrire la réalité telle qu’elle est et non telle qu’elle devrait être. Le naturalisme se base principalement sur la description, la focalisation externe, le discours indirect libre, etc.. Avant de désigner le mouvement littéraire, le terme «naturalisme» a été employé au XVIIIe siècle au sens de «système qui considère la nature comme principe fondamental, pour lequel rien

spontanément. Il est le fruit de nombreuses recherches ou discussions. Il se veut d'être en réaction contre la peinture académique officielle. Mais il désigne quand même moins une école, qu'une tendance qui a entraîné derrière elle toute une révolution stylistique au début du 20ème siècle. L'origine du mot Impressionnisme L'impressionnisme doit son nom au titre d'un tableau de Claude MONET, « Impression soleil levant ». Edmond RENOIR chargé de la réalisation du catalogue de l'exposition de Mai-Juin 1874

le fond à présent, l’auteur commence par une description de la situation : Adrien et ses deux filles déménagent et le marchand de cercueils installe son enseigne sur un nouveau panneau. Ensuite, Pouchkine fait ce qu'on pourrait appeler au théâtre un aparte. Pour que le lecteur ait une vision plus claire du personnage d'Adrien, l'auteur fait référence à la vision qu'ont Shakespeare et Walter Scott des fossoyeurs, ce qui lui permet d'écourter sa description. Ensuite on replonge dans la narration, agrémentée

Pourquoi choisit-il d’écrire du point de vue d’un enfant dans ‘La Gloire de Mon père’ ? Ses choix stylistiques sont stratégiques. Pagnol a effectivement les capacités linguistiques d’un adulte. Cependant il préfère mettre en avant une description plus simpliste et plus enfantine et se placer du point de vue d’un enfant. Cela rend son récit plus authentique mais aussi plus féerique. Ses descriptions sont très riches et imagées. Il veut également attendrir les lecteurs en relatant les péripéties d’un

et de procédés à construire, au terme « description », qui semble désigner plus étroitement une unité stylistique bien identifiée-identifiable, pourvue d’un début et d’une fin, intégrée à un texte plus vaste, déjà donnée par une tradition). Il s’est imposé à moi lors de mes premières recherches sur la notion de « personnage ». C’était à l’occasion d’une thèse de doctorat, et elle portait sur l’œuvre de Zola, c’est-à-dire sur un écrivain friand de descriptions, et sur une notion (celle de personnage)

L'Assomoir d'Emile Zola ou encore Bel Ami de Maupassant peuvent être qualifiés de réalistes. Flaubert, donc, comme beaucoup d'écrivains de son époque, à l'image de Balzac qui en est un des précurseurs, celui-ci se distinguant en s'attachant à livrer une description minutieuse du réel, se veut avant tout un simple rapporteur de la vérité. En effet, le sujet de Mme Bovary est inspiré d'un fait divers: dans une petite ville proche de Rouen une femme de médecin s'ennuie. Elle le trompera, puis après s'être endétée