Style De Marivaux

comédie-ballet : Jeux de musique, de lumière, de danse… 18ème siècle : Le drame-bourgeois : Diderot, le corps du comédien donne sens au texte. Intermédiaire entre Comédies & Tragédies. (Pathétique). Histoire de la vie quotidienne. La comédie : Marivaux & Beaumarchais, qui tire des faits d’actualités, base psychologique, étude sur l’évolution de l’amour… L’arrivée de la commedia dell’arte (influence). 19ème siècle : Naissance du drame Romantique (la bataille d’Hernani, de Victor Hugo 1830)

lecteurs ; en effet ces êtres fictifs ont une identité, une profession, une situation familiale et sociale, tout comme les êtres réels. Parfois le romancier va encore plus loin en cherchant à faire croire à la réalité du personnage ; c’est le cas de Marivaux dans le préambule de La vie de Marianne : le narrateur se présente comme l’éditeur d’un authentique manuscrit trouvé par hasard, masque l’identité des personnages par des initiales; le lecteur en vient alors à se demander si Marianne existe ou pas

manifeste par l’emploi de la fiction, du conte (Perrault) ou le voyage imaginaire ayant un caractère symbolique (Voltaire). L’affectivité s’exprime à travers le roman de compassion dont le héros principal est une victime (l’abbé Prévost). Le théâtre de Marivaux illustre bien ce « rococo » littéraire français dans lequel on retrouve un mélange de subtilités dans l’étude des sentiments et de fantaisie légère. Réputé de son temps, on ne découvrit toutefois ce mouvement qu’au XXè siècle. Il a été défini

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avec des auteurs latins comme Plaute et Térence. Mais c’est aux XVIIe et XVIIIe s. que des dramaturges talentueux comme Molière, Beaumarchais ou Marivaux définissent les Lettres de Noblesse de la comédie, en s’intéressant plus particulièrement à un thème : les relations entre maîtres et valets. Selon un critique contemporain, dans le théâtre de Marivaux, on assiste à « l’affrontement théâtral de deux langues au moins : la langue des maîtres, dans son élégante simplicité ; la langue plus bariolée

Le scandale littéraire : Hernani Depuis le XVIIème siècle, le théâtre classique s’en remet invariablement à la règle des trois unités : unité de lieu, de temps et d’action. Même si certains auteurs comme Corneille, ou, plus tard, Marivaux et Diderot tentent de faire bouger les choses, l’école classique reste largement dominante.Dans la première moitié du XIXème siècle, une nouvelle génération d’écrivains et d’auteurs reprend le flambeau de la contestation et fait tout pour s’affranchir définitivement

Modernes. Partisans des Anciens comme La Fontaine, Racine, etc, ils sont pour la réadaptation des œuvres antiques, contrairement aux Modernes, qui prônent le neuf comme Corneille. Nombreux écrivains ont été influencé par les écrits de la Bruyère : de Marivaux à Balzac en passant par Proust. Cette courte maxime présente Arrias, et décrit les trais de caractères de cet homme. Texte Arrias est le typique causeur perverti par la pédanterie[2], la fatuité[3], l’orgueil. Grossier, se trouve dans une société

« comédies de caractère ». Ses grandes oeuvres : La Locanderia (1753), Il Campiello (1756), La Villégiature (1761), Baroufe à Chioggia (1762), s'appuient sur le réalisme des situations, la peinture sociale, proches en cela des pièces de son aîné Marivaux. Le comte Carlo Gozzi, homme de lettres et esprit mordant, traite Goldoni « d'useurs de plumes », d'auteur de « trivialités et bestialités poétiques ». L'irascible comte le bombarde de compositions satiriques, toujours médisantes, critiquant âprement

théatre où brillent deux grands dramaturges : Marivaux et Beaumarchais et un romancier, Lesage, qui poursuit la tradition de la picaresque espagnole. A. MARIVAUX. Présente une large variété de genres : la comédie héroique (le triomphe de l’amour), la comédie pathétique (la mère confidente), mythologique (le triomphe de plutus), de mœurs (l’école des mères), psichologique (le jeu de l’amour et du hasard). Il est l’analyste de l’âme féminine. Marivaux fréquente les salons précieux. Il reprend la devise

et surtout pour sa condition de serviteur : « je crois qu’il n’as pas mal deviné celui là », « et pourquoi non ! », « Et en vertu de quoi l’estiment-ils tant », « il n’as pas la fortune qui lui permette d’être estimé ». Enfin Me Argante parodie le style romanesque de la lettre par l’expression « bon voyage au galant ». Cela contraste avec l’annonce pathétique de ce voyage présenté comme une fuite désespéré. Au contraire Me Argante montre qu’elle souhaite ce départ et qu’elle n’a aucune pitié pour