Stuart Sutcliffe

à quoi doit-elle être proportionnelle ? Aux besoins ou aux mérites ? Aux efforts fournis par les travailleurs ou à leur efficacité ? Effort ou efficacité ? Faut-il payer les travailleurs au mérite (par exemple à l'heure) ou au résultat ? John Stuart Mill a résumé cette problématique difficile dans un texte célèbre : Dans une entreprise, est-il juste ou non que le talent ou l’habileté donnent droit à une rémunération plus élevée ? Ceux qui répondent négativement à la question font valoir l’argument

spécialisation est de deux voitures. Ainsi d’après la loi des avantages comparatifs, chaque pays a intérêt à se spécialiser dans les productions où il possède la plus grande supériorité ou la moins grande infériorité. Toutefois, comme le souligne John Stuart Mill (1848), cette spécialisation (sur la base des avantages comparatifs) n’est favorable que si la demande étrangère de produits nationaux est suffisante. Si en effet, la demande de voitures en Allemagne est faible, l’échange risque d’être

everyone affected (Shanahan & Wang). Bentham proposed the principle of utility, which states that whenever there is a choice between several options the ethical choice is the one that has the best overall outcome for all involved (Rachels, 1998). John Stuart Mill was a second proponent of utilitarian theory and studied Bentham’s views. Mill received only informal training at home but studied Greek and Latin. He additionally studied logic and read Bentham’s work at an early age. Mill wrote in the same

aussi au rendement de la terre en économie. Près d'un siècle plus tôt, Gregory King notait déjà un phénomène similaire. D’autre part, les Classiques séduits par l'idée de proportionnalité, négligèrent les phénomènes d'élasticité exceptée pour John Stuart Mill qui recourt, dans son analyse de l'échange international, à l'idée voisine d'extensibilité de la demande. Cette notion d’élasticité, mise en lumière par Cournot (1801-1877) mais attribuée aux néoclassiques Walras (1834-1910) et Marshall (1842-1924)

acceptent ces technologies et d'autres pas pourraient faire des différences entre les enfants qui plus tard quand ils grandiront en voudront ou en voudront pas (conformisme social.) ! L'éthique libérale.Ce courant se base sur la philosophie de John Stuart Mill et son principe du tort, de non nuisance. Selon lui tant qu'on ne touche pas autrui ce n'est pas un problème tout le monde peut faire ce qu'il veut. Mais le problème c'est qu'il ne soucie pas des conséquences sur la société, la population.Cet

opinion : Je ne suis pas d’accord avec l’auteur je pense que la vie vaut la peine d’être vécue et qu’il faut prendre le temps de la savourer et de la partager avec ses amis et ses amours. Texte de Mill. ▪ Présentation de l’auteur : John Stuart Mill (20 mai 1806 à Londres - 8 mai 1873 à Avignon, France) est un philosophe, logicien et économiste britannique. Il fut l'un des penseurs libéraux le plus influent du XIXe siècle. Il était un partisan de l'utilitarisme, une théorie éthique préalablement

également intéressé à l’histoire économique. Il est un des rares auteurs qui ait disserté dans son œuvre Perspective autrichienne. Dans le même mouvement, depuis Aristote, Épictète et les Stoïciens, Diogène et les Cyniques. Turgot, Adam Smith ou John Stuart Mill, Les théoriciens du socialisme Karl Marx Friedrich Engels Rosa Luxemburg Anton Pannekoek Lénine Georges Sorel Léon Trotsky Robert Owen Étienne Cabet Les théoriciens du communisme Communistes précurseurs • Gracchus Babeuf

relatifs qui justifie la division internationale du travail. • Il considère que le poids de la fiscalité ne doit pas réduire l’offre : « trop d’impôt tue l’impôt ». • L’épargne a un rôle-clé dans l’accumulation du capital. IV. John Stuart MILL (1806-1873) Il écrivit “Les principes d’économie politique”. • Il formula la loi de l’offre et de la demande ; l’équilibre s’établissant par la variation du prix. • Il reconnaît la valeur-travail (quantité de peine

sympathie qui lui semble irrationnel : « le plus faible et le plus inconstant de tous les sentiments » ( [1]). Le seul motif rationnel de l’être humain est, pour lui, la recherche de l’intérêt. Pourtant, la morale ou l’éthique, réapparaît avec John Stuart Mill, pour qui l’homme est d’abord un être social. Tout homme considère comme naturel « la mise en harmonie de ses sentiments et de ses buts avec ceux de ses semblables » ([2]). Dans l'utilitarisme altruiste de Mill, tant qu’un écart existe entre

individus en coopération avec les autres dans le but de satisfaire le bien commun 5. 9L’engagement citoyen est prescrit à la démocratie dans la plupart des textes du libéralisme classique du xixème siècle : chez Alexis de Tocqueville comme chez John Stuart Mill. Tocqueville explique que la démocratie est un régime fragile, qui, dans l’Amérique qu’il étudie, n’a pas suffisamment de garanties contre la tyrannie. En même temps il observe un régime démocratique consistant et pas en danger, parce qu’il existe