Spéctateur Passif Théâtre

l’ouvrage. Le récit déborde de vitalité, de rapidité, de plaisanteries parfois un peu grivoises. Le texte invite à la réflexion sur les problèmes de religion et de sa compatibilité avec une vie de progrès et de bonheur. Après les apologues, le théâtre aussi signifie cette variété des genres de fiction, comme en atteste « L’École du diable » d’Éric-Emmanuel Schmitt où l’auteur place ses personnages dans un lieu apparenté à l’enfer et nous transmet ainsi sa perception de l’absurdité du monde

Classicisme {draw:frame} Le Classicisme arrive avec Louis XIV. C’est l’imposition de la pensée d’un roi absolu. Tout doit être symétrique, rigoureux, précis (exemple avec le jardin de Versailles). L’Art en générale est maitrisé, par conséquent, le théâtre et la littérature aussi. Louis XIV invite des artistes : ils peuvent avoir de nombreux avantages : prime, concours... Ce sont ces Classiques qui ont nommés les Baroques du même nom, car ils trouvaient ce mouvement un peu « ringard », démodé

tombent au sol assis contre le mur et seule la femme continue le mouvement. Chacun est donc de son côté contre le mur et il y a un espace dégagé en son centre. Les danseurs ne sont pas en positions frontales par rapport au spectateur. Il semblerait qu'il n'y ait même pas de spectateur dans la salle. De plus, dans ces deux scène, il y a une idée de répétition. Dans la première scène, l'homme ne cesse de faire des aller retour tantôt vers le poste, tantôt vers la femme jusqu'à une rupture où la femme semble

LE THEATRE On ne badine pas avec l’amour Lecture analytique n°2 Intro : Scène la plus longue de la pièce, elle se place au centre de la structure dramaturgique de cette pièce comportant 18 scènes. Elle réunie les 2 héros qui avaient pour l’instant davantage l’habitude de se croiser c’est alors une scène d’action par la parole, la confrontation permet la progression. Structure de la scène : -demande d’entretient et étonnement de Perdican (car elle le rejetait) : c’est un retournement de situation

Giton et Phédon Portrait double et contrasté. Le premier est riche, le second est pauvre. Les 2 portraits sont construits en opposition tant sur le plan physique que moral. Livre VII (22 remarques) De la Ville LB dépeint la ville comme un théâtre où tout est caché, masqué. Les hommes sont rattachés les uns aux autres par le « regard », instrument de comparaison, de malveillance et de moquerie. LB voit en Paris un lieu de corruptions et de manigances. (Enjeu : regarder comment la société

parce qu'elle reste floue. Sa figure féminine ne revêt pas mille visages successifs mais que subtilement s'opèrent des variations légères d'un rêve à l'autre " ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre ". - Complice, indifférente ou sujet passif ? Verlaine a enfin trouvé dans son rêve l'harmonie. Stéréotype de femme mère et de femme-femme soumise. - Sa charge de mystère - paradoxe, le poète crée la figure qu'il évoque. La femme de Verlaine est chargée de mystère. on passe à des détails

le dire en forme linguistique c’est le sens mais la forme » l’interrogation des cinéastes porte à dire sur la signification, le message, mais sur le dire : mode d’expression. Comment faire voir autrement et quel conséquence sur ma perception, moi spectateur? Le cinéma expérimental serait selon lui intransitif : elle n’admet pas d’autre objet que lui même. C’est un cinéma tourné vers lui, c’est un cinéma qui explore ses propres moyens de dire quelque chose. « Finalité que l’exploration de ses propres

C’est également dans un sens figuré la partie excellente du monde, le monde peut être le beau monde, comme dans l’expression « entrer dans le monde. » Le personnage peut également avoir plusieurs visages. Personna en latin, c’est le masque de théâtre, le rôle que l’on joue. Jouer un personnage c’est tromper quelqu’un, et il ne faut pas oublier quand on étudie le roman que le personnage peut fonctionner comme un leurre, qu’on peut vouloir nous tromper, ou bien au contraire nous faire voir le vrai

ce n'est pas de l'art mais au contraire la réalité. Ce procédé n’est pas tout récent, il date de l’Antiquité et, pour sa capacité à trahir la vue, il est appelé trompe-l’œil. Le monde vit ainsi dans un mélange entre vérité et illusion ; le grand théâtre du monde. Dans le corpus, se trouvent deux peintures. La première est une fresque du 1er siècle avant J.-C. de la maison Julia Felix située dans la ville en ruines de Pompéi. Quant à l'autre œuvre, il s'agit d’un tableau peint en 1658 par Adriaen

yeux ! (Antistrophe 2, vers 1214 à 1221). Le choeur, aveuglé symboliquement par cette découverte (« je ferme à jamais les yeux »), comme celui qu'il a accompagné tout au long de sa quête de la vérité, fait ses adieux à son roi. Spectateurs désormais passifs, les vieillards thébains assistent impuissants au dénouement de la tragédie. Conduite jusqu'au bout par le héros lui- même, qui a toujours décidé de ses actes, même s'il n'en connaissait pas la signification, l'action dramatique s'achève