Spectateur Participe Représentation Théâtrale

maîtres. Merlin assume le rôle de metteur en scène et se fonde sur le caractère naturel de chacun pour donner des conseils sur le jeu. Cette pièce est fondé sur un principe de mise en abyme, un procédé d’écriture simple destiné a impliquer les spectateurs, on parle même parfois d’illusion. Au théâtre, il s’agit “d’emboîter” le théatre dans le théatre. Dans “Les acteurs de bonne foi”, Marivaux écrit une pièce de théâtre dans laquelle les personnages mettent eux même en scène une pièce. L’intérêt

La vie ne connaît pas de sujet, dans la vie tout est mélangé, le profond et l’insignifiant, le sublime et le ridicule." L'auteur évoque alors le thème de l'amour avec excès. L'amour dans la pièce de Tchekhov peut être vu comme un jeu auquel participe chacun des personnages, un jeu où l'échec conduirait à la mort ou à une profonde désillusion. Tous les rapports entre personnages sont concentrés autour du même thème de l'amour : Konstantin aime Nina mais Nina se met à aimer Trigorine qui lui même

polycopiés 1906-1989 : Beckett est irlandais de naissance, il a peu à peu écrit des œuvres en français. Beckett était un misanthrope. « pour une œuvre qui, sous de nouvelles formes romanesques et théâtrales, a transmué la misère de l'homme moderne en son élévation » Jury des prix Nobel II- La révolution théâtrale des années 1950 en France C'est une pièce qui a marqué un vrai tournant dans l'histoire du théâtre. C'est une vraie rupture, il y a un avant et un après Beckett. Fin de partie n'a jamais été

théâtre1. Bien qu’il ne recourt pas à une écriture dramatique révolutionnaire, restant toujours dans le cadre traditionnel du théâtre bourgeois, cette prise de conscience affecte profondément ses pièces et se laisse deviner dans ses techniques théâtrales magistrales. Anouilh manifestera durant toute sa carrière dramatique, au-delà de ses premiers succès à la fin des années trente, la même attente exigeante face au public considéré comme un collaborateur indispensable à l’accomplissement des

dizaine d’années : des conditions souvent difficiles de production et de création de ces spectacles hybrides innovants, des lacunes en matière de financements et de lieux de production, et surtout un non renouvellement dramatique de la critique théâtrale sur ces sujets – toujours arqueboutée sur les antiennes éculées « corps acteur/texte auteur/scénographie » qui firent les beaux-jours du théâtre d’après-guerre – conjointe à une ignorance manifeste des décideurs politiques malgré la connaissance

44 + 9 spectacles jeune public * Nombre de représentations : 114 + 52 jeune public Création : coproduction, accueil d’artistes en résidences Biennale Ile de la Découverte : 2 500 spectateurs (12 en 2009-2010), séries de représentations, 5 spectacles coréalisés avec différents lieux de la Ville nouvelle développement d’action culturelle… Action culturelle : diffusion de spectacles hors les murs FREQUENTATION : pour un public mélangé * Nombre de spectateurs saison spectacle vivant : 52 057 Saison jeune

pour leur offrir une dynamique de jeu plus serrée. En changeant radicalement l'angle sous lequel certains personnages sont traditionnellement représentés, comme Gabrielle la gantière par exemple, j'ai aussi souhaité surprendre ceux parmi les spectateurs qui connaissent déjà très bien cette œuvre. J'ai aussi souhaité mettre en valeur certains airs, moins connus que les "tubes" que sont "La veuve du Colonel", "La gantière et le bottier" ou "Sa robe fait froufrou" comme l'air des garçons de café

rationalisme – et de Zénon d'Élée. 1.2. Le gouvernement de Périclès Vers l'âge de 30 ans, Périclès fait son entrée en politique. Sous la direction d'Éphialtès, nouveau chef du parti démocratique, il attaque en justice l'aristocrate Cimon et participe à la lutte contre l'Aréopage. Après l'assassinat d'Éphialtès (461), Périclès, devenu à son tour le chef de son parti, dirige l'État en tant que stratège, magistrature à laquelle il est réélu à quinze reprises au moins entre 443 et 429. Il poursuit

événement. Serge Bianchi propose une réflexion sur les relations entre les législateurs, la scène et la société dans la « gestation d’une nouvelle culture politique ». Il décrit l’effervescence de l’éphémère « communion théâtrale » qui unit, en l’an II, auteurs, acteurs et spectateurs, et explore les conflits (notamment celui entre « théâtre pour le peuple » et « théâtre par le peuple ») qui très vite minent alors l’utopie. « On ne pourra réaliser l’ampleur de l’écho du théâtre de l’an II qu’après des

mot " réside beaucoup dans l'énergie que nous mettons à l'interpréter, dans les formes que nous employons, les signes que nous choisissons pour travailler à sa représentation. C'est un tissage ! L'illusion Mon deuxième souvenir de L'Illusion comique est celui de la mise en scène de Giorgio Strelher au Théâtre de l'Europe. Pour le spectateur que j'étais, l'illusion était merveilleuse : les acteurs semblaient évoluer à travers un voile, dans un rêve. Ce spectacle magnifique puisait du côté de Shakespeare