Socrate Obeir Aux Lois

l'autonomie du droit par rapport aux religions. §2. Vers l'autonomie du droit A. La loi dans la pensée grecque 1. Aux origines de la loi a. La loi était considérée comme le témoin de la supériorité des grecques Les grecques étaient très fières de leurs lois et la pensée grecque a mit la loi au dessus de tout. Les grecques sont également fière de leurs soumissions volontaire à la loi. Et pour un grec il y a deux types d'individus: eux et les barbares. Et cette soumission volontaire à la loi est l'un des

prix la bonne conscience. L'homme donne aux autres ce qui est de sa plus haute responsabilité, car le pas vers la majorité est pénible et dangereux. Penser par soi-même, n'est-ce pas penser avec soi-même et parfois contre soi-même et les autres (cf. Socrate) ? Certes l'autonomie de la volonté est une tâche difficile, mais pas insurmontable. Mais d'où vient la crainte de franchir le pas ?  D'une  emprise idéologique exercée par les tuteurs : n'y ont-ils pas intérêt ? Comment maintenir un peuple tout

une école. Socrate est un scepticisme : tout ce que je sais , c'est que je ne sais rien. Socrate fait l'aveu pas de son ignorance mais plutôt de son impuissance à démontrer ce qu'il sait. Il dit qu'il n'entretient pas d'illusion sur son savoir. Derrière le fanatisme, il y a toujours du scepticisme. Ce que conteste Socrate, c'est l'identité de son savoir. Il doute sur les facultés humaines : le scepticisme consiste à douter de la faculté de connaître, douter de tout. Chez Socrate " Tout ce que

obligation lois ne sont pas considérées comme des contraintes mais des obligations les droits // le droit  le droit : système juridique en vigueur dans une société (le droit positif : droit institué dans une société) ⇒ constitution (loi fondamentale et dont toutes les autres lois doivent être conformes)  + les lois + règlements + jurisprudence (ensemble des décisions de justice rendue par rapport à un type de cas donné)  un droit :    « La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent

Hobbes, 17ème siècle • Spinoza, 17ème siècle • Locke, fin 17ème siècle - début 18ème siècle • Rousseau, 18ème siècle • Kant, 18ème siècle Tous ces auteurs affirment que l’homme a vécu à l’état de nature, et non pas dans une société régie par des lois : l’état civil. Il n’est donc pas par essence un animal politique comme le décrit Aristote. Malgré leur accord sur l’existence d’un état de nature, d’un pacte social et d’un état civil, la description de l’état de nature et celle de la société résultant

démesurés le tyrannisent. 2. ≠° liberté naturelle (celle qui n’a pour borne que les capacités de soi) et liberté civile (celle du citoyen et a pour borne les lois, ie la volonté générale) Par conséquent on libre de tout ce que la loi n’interdit pas. Montesquieu, De l'Esprit des lois, XI, 3. « Ma liberté est le droit de faire ce que les lois permettent ». Notre problématique s’articulera autour d’un double paradoxe : Sur un plan objectif et collectif, pourquoi acceptons-nous d’abandonner notre

esclaves, et les étrangers (les métèques). Donc pour faire partit de l'ecclésia il y a des conditions de sang, il faut avoir 18 ans et être de sexe masculin. On pense qu’il y avait environ 5000-6000 personnes. On y vote à main levée. On vote les lois, la paix, la guerre, et on choisit les stratèges qui seront choisit pour défendre la cité. Cette assemblée est très symbolique du gouvernement de tous par tous, même si les femmes en sont écartées. Le 2ème organe est un conseil beaucoup plus restreint :

discipline et l’instruction. La discipline inculque la soumission aux lois, autrement dit, l’acceptation des règles de vie en société. L’instruction en revanche c’est former et enrichir l’esprit. L’éducation ne s’applique donc qu’aux humains et dans un but purement social. Quant à la conscience morale, celle-ci se traduit selon Socrate, par un démon intérieur qui s’opposerait à nos actes. Il a écrit :

Les causes du manque de mobilisation en France L’ individualisme. L’être humain est, sans doute, conscient de son individualité depuis la naissance de l’humanité voici trois millions d’années. Le précepte de Socrate, « connais-toi toi-même », l’invite depuis l’antiquité à observer et étudier son individualité. Les stoïciens, tout comme les épicuriens, avaient pour but le perfectionnement de l’individu ; le salut, but de la foi chrétienne, est lui aussi individuel. l’individualisme moderne consiste

340-103 TEXTE 8 Devoir hebdomadaire. Voir le questionnaire à la fin de ce texte. À remettre la semaine suivante. N’oubliez d’apporter votre texte en classe. Apologie de Socrate Platon Texte adapté par Jean Laberge Après les accusateurs — Mélétos, Anytos et Lycon —, c’est à l’accusé, Socrate, de présenter sa défense. 17a Socrate : Athéniens, vous venez d’entendre mes accusateurs. Ils ont été si merveilleux que j’ai un moment douté de moi-même. Pourtant, il n’y a pas un mot de vrai dans ce qu’ils