Socrate Obeir Aux Lois

(Correspondance, à M. Moulton) Ces deux mots patrie et citoyen doivent être effacés des langues modernes. (Emile ou De l'éducation) Il y a souvent plus de stupidité que de courage dans une constance apparente. (Julie ou la Nouvelle Héloïse) S'il faut obéir par force on n'a pas besoin d'obéir par devoir. (Du contrat social) Les hommes à qui l'on parle ne sont point ceux avec qui l'on converse. (Julie ou la Nouvelle Héloïse) On dirait que mon coeur et mon esprit n'appartiennent pas au même individu

APOLOGIE DE SOCRATE. De Platon [17a] Je ne sais, Athéniens, quelle impression mes accusateurs ont faite sur vous. Pour moi, en les entendant, peu s'en est fallu que je ne me méconnusse moi-même, tant ils ont parlé d'une manière persuasive; et cependant, à parler franchement, ils n'ont pas dit un mot qui soit véritable. Mais, parmi tous les mensonges qu'ils ont débités, ce qui m'a le plus surpris, c'est lorsqu'ils vous ont recommandé de vous bien [17b] tenir en garde contre mon éloquence ;

de relations suivies entre ses membres, il apparaît que les exigences de la société et de la religion peuvent se renforcer l'une l'autre. Ainsi, dans les sociétés dites traditionnelles, une religion organisée socialement constituait la source des lois et du pouvoir politique. B. C'est ce qui distingue religion et secte : le pouvoir religieux comme pouvoir politique assurant la paix. - Comme l'a montré Durkheim, la religion a souvent confirmé le pouvoir politique en place (voir par exemple

grec vise à copier les choses comme elles sont car elles sont ajusté, l’art est un cosmos en soit ! Socrate (né en 469 AV-JC d’une sage femme=>d’où son influence philosophique qui à travers la maïeutique compare son travail a celui de sa mère, celui de faire accoucher) Veme AV-JC Maïeutique (fait accoucher l’ignorance de ses interlocuteurs) Sophistes (Platon disciple de Socrate met en scène Socrate avec des Sophistes pour prouver que ceux-ci ont torts) Rhétorique (logos=>convaincre par la raison

révolter à la Bastille. Le droit est l'ensemble des lois, prescriptions collectives qui réglementent toutes les sociétés. Il est aujourd'hui nécessaire à nos société puisque aucune société n'est concevable sans un droit qui la régisse. Le droit reste un pouvoir moral et non matériel, par exemple, un individus peut commettre un crime, mais il ne le fait pas car il n'a pas le droit. Les individus ont donc besoin d'avoir des droits, des lois qui leurs permettent de vivre mieux dans l'État avec la

Aujourd’hui, tout comme à l’époque de Socrate et de Platon, nombreux sont les philosophes (ou les politiques) qui soutiennent que la « justice universelle » est une fiction, et que son évocation n’est en vérité qu’un alibi destiné à justifier de nouvelles formes d’ingérence de l’Occident dans les affaires des autres nations. A l’époque de Socrate, ce sont les sophistes qui ont décrété les premiers que « l’homme est la mesure de toute chose » (Protagoras) et que, par conséquent, le bien, la justice

des esclaves qui travaillaient pour lui et lui permettaient ainsi de jouir d’une oisiveté qui lui donnait la possibilité de s’adonner à la politique ou à la philosophie. Mais aussi, on ne peut manquer de songer à la relation de Platon à son maître Socrate, lui ouvrant les voies de la vérité et de la liberté. Le maître peut donc être pris en mauvaise ou en bonne part selon qu’on l’envisage dans sa relation à l’esclave ou au disciple. Faut-il alors reconnaître quelqu’un comme son maître ? Etrange question 

Paragraphe 29 : voir dans le livre, page 127 (surtout le 2e paragraphe, car le premier prépare simplement la réponse par une remarque d’ordre méthodologique). Paragraphe 30 1. La première maxime de la morale provisoire s’énonce comme suit : obéir aux lois et aux coutumes de son pays, resté attaché à la religion de son enfance et se gouverner d’après les opinions les plus modérées et les plus éloignées de l’excès communément reçues par ses concitoyens. 2. Voici les raisons que donne Descartes pour

relation à l’autre |Ethique : latin ethos Ensemble de principes raisonnables qui régissent nos propres conduites | | |Morale : lois humaines, obligeant tout homme (qui possède la raison), relatives |Religion : lois divines, obligeant le croyant. Sanctions si l’on ne suit pas les| |à une culture. Aucune punition si on ne suit pas une loi morale (obligation « in|lois religieuses | |foro interno »)

peut aboutir à la mise en place de régimes totalitaires voire anarchiques. L'injustice, du latin injustitia, est un manque au droit de chacun, un manque de sa reconnaissance et de son mérite. Elle renvoie à la transgression du droit et des lois donc de la justice. La justice, déterminant les droits et les devoirs de chaque citoyen au sein de l'Etat, l'injustice est une menace pour la liberté des hommes. Peut-on, pour maintenir l'ordre, justifier l'injustice? Dans quels cas est-il