Socrate Et Les Sophistes Dans La République

orale, il y avait des orateurs. Les sophistes se fondaient sur l’art de la rhétorique (l’art de bien parler), sur le discours. L’opposition aux sophistes permet aussi la naissance de la philosophie. II – Socrate et Platon Socrate s’était donné pour mission de traquer les faux savoirs, de rechercher la vérité. Accusé de troubler l’ordre public, il est condamné à mort. Ayant la possibilité de s’évader, il ne le fait pas, pour la cohérence et la non opinion. Socrate utilisait une démarche rationnelle

Machiavel : cassure : « Le ∆t vous sert à conquérir le pouvoir et à la garder ! ». ∆t positif et c’est tout, ce qui est marqué dans le Code. Savoir si c’est juste ou pas, c’est le travail des philosophes. Faut-il obéir à une loi injuste ? • Oui : Socrate • Non : Antigone Le fondement est la volonté de Dieu, les exigences de la nature, de la raison, du respect d’un « contrat social », du respect d'une procédure ? Thémis = « ce qui est déjà posé, déjà établi par les dieux » Dikè = « ce qui

Chez Platon c’est par la construction de la citée, de la république que va s’accomplir le bonheur des hommes, c’est donc une pensée politique collective. Un s plus tard à partir du 4e, cette conception se fissure, en effet de grand évènements politiques et guerrier, Philipe, Alexandre, amène à une perte de sens du politique et du collectif, ainsi donc sur les donc des citées grecques naissent de nouvelles philosophies nommées hellénistiques face à la faillite du bonheur collectif, ces philosophies

essentiel de certaine règle. Dont la délibération, la majorité nécessaire, expression de la volonté de Dieu. Influence concrète de la bible. Les référents antique : Poids antique, institutions des deux cité grècque, et regard des philosophes. ( sophiste platon et aristote. 1 Le poids de l'héritage antique. JJ Rousseau : donnée essentielle de la pensée juridique, Rome et grèce = matrice originelle. Connaissance de l'histoire antique partagé par l'élite occidentale. Puissant facteur d'unité. Nécessaire

la gnômè (la prévision raisonnable) aux prises avec la tychè (le hasard). Les mots nomos (la loi, la convention, la coutume) et physis (la nature) résument ces concepts antagonistes. Est de l’ordre du nomos ce qui est posé par les hommes. Les sophistes Un genre culturel nouveau s’est développé à Athènes avec des écoles payantes dont le but est d’apprendre au jeune citoyen à parler, à défendre sa cause, tant devant les tribunaux qu’aux assemblées populaires. Si la paidéia  traditionnelle formait

l’opinion qui se prend pour une vérité, le raisonnement incorrect qui se fait passer pour un vrai * L’opinion vraie * Le relativisme : idée que la vérité est elle-même relative L’imposture : La figure même est le sophisme. L’objet du sophiste est de faire passer la vraisemblance pour vrai. L’opinion vraie : Elle est aussi appelé « opinion droite ». Elle est théorisée par Platon dans Le Ménon. Elle est bien porteuse de la vérité mais elle est incapable de rendre raison d’elle-même

Le thème de l'éducation est d'une importance majeure dans La République. En effet, celui-ci représente une condition nécessaire (mais non-suffisante) à la réalisation d'une cité juste. La nécessité d'une bonne éducation, dès l'enfance, provient du fait qu'elle est essentielle pour équilibrer l'âme de l'individu. Or, on sait que, pour Platon, la justice dans la cité est concomitante à celle au sein de l'individu. On sait aussi que l'âme est divisé en trois parties: la partie rationelle (logos), la

parce que c'est avec Socrate qui ont commencé les principaux travails philosophiques. Ils pratiquent une philosophie panthéiste (Dieu s'identifie avec le monde) et ils ont forgé avec Leucipe et Démocrite une philosophie matérialiste qui sera reprise plusieurs siècles après par Karl Marx. *Sophistes: grands connaisseurs de la philosophie qui voyagent de ville en ville partageant leur savoir en tant que maîtres d'éloquence. Portagoras d'Abdène, Georgias et Hippias d'Elis. *Socrate (Ve siècle avant

occuper des solides en euxmêmes 528b; or l'ordre exige qu'après ce qui est élevé à la seconde puissance on passe à ce qui l'est à la troisième, c'est-à-dire aux cubes et aux objets qui ont de la profondeur. C'est vrai, dit-il; mais il me semble, Socrate, que cette science n'est pas encore découverte. Aussi bien, repris-je, cela tient à deux causes : d'abord, aucune cité n'honore ces recherches, et comme elles sont difficiles, on y travaille faiblement; ensuite, les chercheurs ont besoin d'un directeur

souvent résistent aux preuves. Au nom de la vérité, les philosophes et les scientifiques rejettent le dogmatisme et mettent en doute les idées reçues, admises parfois depuis l'enfance. Il y a toujours un risque à cela, comme nous le prouve la mort de Socrate. Le rejet de la raison débouche en effet sur le mépris et la violence. Les philosophes des Lumières critiquent les superstitions et la manipulation de la crédulité populaire par les autprités politiques et religieuses. Ils proposent une lecture