Socialisme Libéralisme Conservatisme

brainwashed into fighting and destroying each other, and particularly, in destroying all political and religious institutions. This is essentially the same plan put forward by Weishaupt in 1776. Interestingly, Marxism, Communism and its derivative, Socialism, when seen years later in practice, are nothing but state-capitalism and rule by a privileged minority, exercising despotic and total control over a majority which is left with virtually no property or legal rights. This explains why Friedrich Wilhelm

liberté individuelle cher aux Romantiques. 1 B. Le pouvoir bourgeois Avec la chute du Premier Empire, le France redevient une monarchie : - Après Napoléon Ier, Charles X règne sur la France de 1824 à 1830. Ce roi déplait par sa dureté et son conservatisme. Son règne sera remis en question par la Révolution de juillet 1830. - La Révolution de juillet 1830 laisse espérer une véritable réforme libérale du régime et même une réforme politique qui aboutira à une république. Cette révolution sera avortée

pas assorti de mesures coercitives. Le brigandage renaît, la mendicité se développe. Dans les régions de l’Ouest, le conflit avec le pape est vivement ressenti. Une partie du clergé adopte une attitude hostile envers le pouvoir. Ailleurs, le conservatisme social de plus en plus affirmé est mal perçu. À partir de 1810, des nobles sont nommées maires dans les villages dont ils étaient les seigneurs en 1789. Et les tribunaux ne leur donnent pas toujours tort. Les pouvoirs publics renforcent l’inquiétude

dans un coin, elle écoutait et gardait un silence obstiné. – Permettez, répliquait avec feu Eugène Pavlovitch, – je n’ai rien contre le libéralisme ! Le libéralisme n’est pas un mal ; il fait partie intégrante d’un ensemble qui, sans lui, se décomposerait et dépérirait. Il a les mêmes droits à l’existence que le conservatisme le plus pur. Mais je critique le libéralisme russe et je vous répète que, si je le combats, c’est parce que le libéral russe est un libéral qui n’a rien de russe. Montrez-moi un

n'apporta guère de modüi­ cations substantielles. Ces deux grands courants de pensée hérités de la Révolution française, le libéralisme et le socia1isme, restèrent profondément marqués par la tentation déiste voire le christianisme ; il suffit de relire Benjamin Constant, Alexis de Tocqueyille ou les utopistes socialistes, les Fouriéristes par exemple, pour s'en con­ vaincre. Le socialisme ne commença à s'affirmer athée qu'avec Marx en 1843 dans la Q u estion juive et avec Proudhon, mais au prix d'une longue

énergies…) et des tenants de la réduction des inégalités (nécessaire solidarité). Il convient de se situer entre deux cas polaires (imaginaires). 8 Fiche 3 • Les revenus D’un côté à droite dans le tableau ci-dessous, la forme absolue du libéralisme qui est la jungle. Il n’y aurait pas de place pour celui qui aurait des handicaps et serait dans l’incapacité de participer à la production, il devrait être laissé sur le bord de la route, sans revenu, ni soin… De l’autre, à gauche sur le schéma

majeur en sociologie, grand penseur de la troisième voie de Tony Blair (dépasser l’opposition), essaye de parvenir à un synthèse entre les deux perspectives qui recoupe une opposition entre le marxisme traditionnel (paradigme du système) et le libéralisme (paradigme de l’action). Il développe l’idée selon laquelle les structures existent mais se reproduisent à travers l’action des individus, avec l’idée que la société est toujours en train de se restructurer dans le cadre des actions quotidiennes

résultent des « secrets de la fabrique » — du contrôle de la spécificité d’un produit par un seul offreur (A. Smith 1976, p. 86). Ainsi, les conditions de la concurrence pure et parfaite sont au cœur du modèle libéral. Penser concurrence, penser libéralisme, c’est présupposer l’existence de ces règles. Aussi lorsque ultérieurement nous reprendrons le vocabulaire des néoclassiques en disant que les acteurs rapportent leur action à l’une ou l’autre des exigences d’atomicité, de transparence, de fluidité

énergies…) et des tenants de la réduction des inégalités (nécessaire solidarité). Il convient de se situer entre deux cas polaires (imaginaires). Fiche 3 • Les revenus D’un côté à droite dans le tableau ci-dessous, la forme absolue du libéralisme qui est la jun- gle. Il n’y aurait pas de place pour celui qui aurait des handicaps et serait dans l’incapacité de participer à la production, il devrait être laissé sur le bord de la route, sans revenu, ni soin… De l’autre, à gauche sur le schéma

cette discrimination (par souci philosophique tout autant que politique) de vouloir « adapter », « ajuster » (entendez « réduire ») la philosophie à une « demande sociale ». Je pense à peu près le contraire : dans ce domaine comme dans d'autres le conservatisme institutionnel sert étroitement une demande sociale qu'il dénie. Les transformations pour lesquelles certains d'entre nous travaillent — et dont il sera souvent question dans ce livre — supposent certes la prise en compte de mutations de toute