Socialisme Libéralisme Conservatisme

hiérarques communistes chinois. Comme si la « main invisible » du marché avait besoin de la « main de fer » de la tyrannie pour s’imposer aux populations, brisant ainsi l’alliance séculaire entre la démocratie et le marché, entre libéralisme politique et libéralisme économique, que l’on croyait pourtant scellée dans le marbre depuis Adam Smith. La guerre froide entre les États-Unis et l’URSS était symbolisée par le rideau de fer qui coupait Berlin en deux ; les frontières étaient surveillées

définissant des enjeux et des intérêts spécifiques qui sont irréductibles aux enjeux et aux intérêts propres à d'autres champs et qui ne sont perçus que par ceux qui sont entrés dans le champ. Les analyses réalistes de Schumpeter ''Capitalisme, socialisme et démocratie''. Il a des analyses majeures sur le fonctionnement de la démocratie. Pour Schumpeter aucun fondement de la théorie classique de la démocratie ne tient, il n'y a pas de bien commun, de volonté générale, de volonté du peuple. La théorie

démocratie ne veut l’égalité des citoyens que devant la loi et l’accessibilité aux fonctions publiques ; que, pour le reste, sa position est définie par ce mot du philosophe anglais Grant Allen : « Tous les hommes naissent libres et inégaux, le but du socialisme étant de maintenir cette inégalité naturelle et d’en tirer le meilleur parti possible », ou cet autre du démocrate français Louis Blanc, déclarant que l’égalité véritable c’est la « proportionnalité » et qu’elle consiste pour tous les hommes dans

risque de plébiscite, c’est à dire que le peuple ne vote pas pour ou contre la question qui lui a été posée mais pour ou contre le dirigeant qui l’a proposé. Il y a également un risque d’abstention. Il y a également deux autres inconvénients : le conservatisme du peuple, c’est à dire que le peuple est souvent en retrait par rapport aux décisions du Parlement. En 1981, l’opinion publique est majoritairement favorable à la peine de mort alors que Mitterrand propose son abolition et que les parlementaires

droit de s’abstenir mais s’il y en a beaucoup qui s’abstiennent alors les décision seront prises que par une minorité, les concernés, et donc les décisions ne veulent plus dire grand-chose) Le coût (cela coûte cher d’organiser des referendum) Le conservatisme du peuple : on constate que le peuple est plus conservateur, moins progressiste que le gouvernement. (inconvénient pour certains, exemple du traité pour l’Europe -> représentants étaient pour et le peuple était contre) Difficulté à organiser un

été plus largement exporté dans le monde suite à la colonisation. Cependant comme par exemple le Maghreb, le droit de la famille, de la personne et de succession sont plus musulman qu’occidentaux. Ce droit se distingue par l’individualisme et le libéralisme qui ont été consacré juridiquement, il s’agit en réalité de la protection de l’individu contre l’Etat. Pourquoi parle-t-on d’un droit Romano-germanique ? Parce qu’il y a eu une fusion historique entre les coutumes des peuplades germaniques et le

(cas des magistrats par exemple), le fonctionnaire peut, en principe, collaborer à la presse. Enfin, il dispose d'une liberté absolue d'adhérer aux partis politiques qui n'ont pas été déclarés illégaux. Mentionnons enfin le libéralisme – « extraordinaire libéralisme » déclare Roger Grégoire [80] – des solutions françaises en matière de participation aux luttes électorales. Les fonctionnaires, désireux de se porter candidat aux assemblées parlementaires, bénéficient en pratique d'assez larges

candidat de l'union de la gauche Painlevé. Cette défaite de Painlevé était du essentiellement au vote des Radicaux du Sénat qui ne sont pas alignés sur les Radicaux de la Chambre, leur radicalisme s'est accommodé à cette occasion d'un certain conservatisme, et le choix de Doumergue leur a paru plus sage. Tahar Sfar va s'intéresser davantage, pendant cette période à la vie politique française, aux jeux et aux alliances des partis, aux événements au jour le jour, aux débats à la Chambre et aux commentaires

d'abord, l'édiction de libertés publiques ou de droits individuels auxquels la majorité ne peut porter atteinte restreint sur l'essentiel cette sujétion de l'individu en face de l'autorité sociale. Ensuite, dans le domaine économique, l'idée que le libéralisme fait, comme on l'a déjà dit plus haut, de l'économie la chose de tous et de personne, modérait autrefois le pouvoir de l'ensemble social sur chacun. Et, surtout, toute démocratie est bâtie sur l'idée que le progrès des mœurs, de la tolérance, de

phénomène de la mondialisation. b) Les conséquences (de la crise) Séquence 1-HG00 9 © Cned – Académie en ligne Plan : traitement de la problématique c) Les sources (de la crise) Notions-Clés Désordre monétaire – SME – euro – libéralisme économique – dévaluations compétitives – zones franches – Kondratiev. Keynésianisme – néolibéralisme – politiques de relance – prestations sociales – fiscalité – monétarisme – déréglementation – mouvements alter-mondialistes. Repères d) Les