Situation D Enonciation

Portrait d’un futur arriviste : 1. Situation : Ce passage est situé au début de la première partie du roman. Duroy est allé au dîner organisé par son ami Forestier puis décide de rentrer pour rédiger son article mais n’arrive pas à se mettre à la tâche. 2. Résumé du passage : Duroy est rentré chez lui pour rédiger son article mais il rêvasse et le remet au lendemain. Le titre est « Portrait d’un futur arriviste » Ce titre est en rapport avec la psychologie que le narrateur nous donne

SOMMAIRE I. -SITUATION DU TEXTE II. -LECTURE MAGISTRALE III. -HYPOTHESE GENERALE IV. -VERIFICATION DE l’HYPOTHESE GENERALE V. -BILAN I- SITUATION DU TEXTE Le texte soumit à notre étude est extrait de l’œuvre théâtrale le cid du dramaturge français Pierre Corneille situé plus précisément dans la scène 4 de l’acte III de l’œuvre. Ce texte est le premier d’une série de quatre textes du groupement de texte théâtraux dont l’axe d’étude est : « l’expression

fragileNIVEAU 3Maîtrise satisfaisante NIVEAU 4Très bonne maîtrise Le compte-rendu de stage fait apparaître une énonciation différente de celle attendue.La situation d’énonciation et la langue employée répondent partiellement aux attendus du compte-rendu de stage. La situation d’énonciation est respectée, avec tous les enjeux de la communication et de la langue attendus dans un compte-rendu de stage.La situation d’énonciation est respectée, avec tous les enjeux de la communication et de la langue attendus dans

4) La didascalie montrant l’ironie de Stapyla est celle de sa dernière réplique : « ironiquement ». L’ironie repose sur les excès du personnage de l’avare qui est ridiculisé devant le spectateur tout au long de ce monologue lieu de la double énonciation. Toutes ces exagérations nous montrent que Molière tourne en ridicule la réaction du personnage et son attachement à l'argent. Il tend à enseigner quelque chose au spectateur et au lecteur: l'avarice est un défaut. 5) Dans le texte de Plaute

crainte, de la pitié, de la joie, de la déception), est aussi par là un moyen d’échapper au quotidien. Tout spectacle crée une évasion, déconnecte, crée une illusion. Le théâtre est le monde de l’imaginaire, du factice, de la convention (double énonciation, a parte…). Le divertissement est donc une sortie du réel, un détournement dans le sens latin de «divertere», se détourner de. Le spectateur se détourne de sa propre vie, cesse de penser et de réfléchir à sa vie, à sa condition durant le temps où

d’appartenir au registre comique. Nous allons donc nous demander «  En quoi ces trois textes sont-ils comique ? », premièrement le comique s'exerce avec des situation comique par la suite nous allons nous attarder sur le comique de mots et finalement nous allons étudier le caractère des personnages. Dans le premier thème nous pouvons voir que la situation comique est très souvent tiré de mal-entendue comme le montre cette extrait issu du texte de Molière ,Amphitryon : «  oui, moi : non pas le moi d'ici

plus tôt afin de lui annoncer sa mort prochaine. Mais sa mère, son frère et sa sœur profitent de sa venue pour l’accuser, chacun à leur manière, de la douleur que leur a causé son départ et Louis repart finalement sans avoir fait son aveu. SITUATION DU PASSAGE : La scène étudiée constitue le Prologue : il renvoie à un usage inscrit dans dans les origines du théâtre occidental, « pro logos » signifiant « discours avant » et désignant à l’origine la première partie de la tragédie

de scènes de théâtre : L’ile des esclaves, scène 3, et La double Inconstance, acte I, scène 4, écrites par Marivaux au XVIIIème siècle ; et puis Le mariage de Figaro, Acte V, scène 3, écrite par Beaumarchais au même siècle. Nous étudierons les situations d’énonciation de ces trois scènes. À la scène 3 de L’ile des esclaves, on a trois personnages sur scène : Euphrosine, une dame noble avec Cléanthis, sa servante et Trivelin, le gouverneur de l’île où ces deux femmes sont arrivées. La particularité

malédiction...) contre laquelle ils se débattent en vain. Cela entraîne inévitablement à susciter à la fois l'admiration des spectateurs devant leur courage et leur sens du devoir, mais aussi à les plaindre pour la fatalité dont ils sont victimes. B) Enonciation des règles du classicisme La règle des trois unités : temps, lieu, action Toute pièce de théâtre doit présenter une histoire qui se déroule en une seule journée (24 h) : c'est la règle de l'unité de temps. Elle doit aussi se dérouler en un seul

parler de double énonciation. En choisissant le monologue, Molière permet à George Dandin de (nous) raconter directement ce qui lui est arrivé, comment il en est arrivé là, et les problèmes qui l’attend. « …tous les paysans qui veulent s'élever au-dessus de leur condition, et s'allier, comme j'ai fait, à la maison d'un gentilhomme » George Dandin semble donc être un parvenu, dont on apprend un peu sur son passé, son identité.... En outre, il (nous) informe sur sa situation tendue avec sa