Silène

impression de moquerie, public choisi tourné en ridicule u figure de style : passage du coq à l'âne : passage apostrophe-Platon-Silènes => emboîtement de comparaisons sans liens logiques. u Exagération : comparaison Socrate-pelure d'oignon. Mélange de registres : décalage entre Socrate et la pelure. u Fatrasie (énumération) • Enumération des chimères sur les Silènes, des défauts et des attitudes de Socrate, des conditions sociale : Rabelais semble oublier la phrase • Enumération des œuvres de

mpression de moquerie, public choisi tourné en ridicule u figure de style : passage du coq à l'âne : passage apostrophe-Platon-Silènes => emboîtement de comparaisons sans liens logiques. u Exagération : comparaison Socrate-pelure d'oignon. mélange des registres : décalage entre Socrate et la pelure. u Fatrasie (énumération) • Enumération des chimères sur les Silènes, des défauts et des attitudes de Socrate, des conditions sociale : Rabelais semble oublier la phrase • Enumération des oeuvres

philosophes, déclare entre autres choses qu'il est semblable aux silènes. Les Silènes étaient jadis de petites boites, comme celles que nous voyons à présent dans les boutiques des apothicaires, sur lesquelles étaient peintes des figures drôles et frivoles : harpies, satyres, oisons bridés, lièvres cornus, canes batées, boucs volants, cerfs attelés, et autres figures contrefaites à plaisir pour inciter les gens à rire (comme le fut Silène, maître du Bacchus). Mais à l'intérieur on conservait les drogues

expose-t-il le mode demploi de son roman à travers ce prologue? On peut distinguer 4 parties dans ce prologue: Premièrement, Rabelais nous parle des Silènes puis de Socrate. Troisièmement , il nous explique de quelle manière le lecteur doit lire son livre qu'il comparera par la suite à un chien avec un os à moelle.• lecture explication linéaire Les Silènes: Dès le début du prologue, on retrouve une apostrophe. Il nomme ses lecteurs de «

Le Cyclope. Argument. La scène s'ouvre sur le personnage de Silène sortant d'une grotte. Il raconte qu'après avoir toujours été aux côtés de Dionysos, il en fut séparé par la colère d'Héra, qui déchaîna contre Dionysos un peuple afin qu'ils aillent le vendre loin. Silène part alors en mer à sa recherche avec ses garçons qui forment le chœur des satyres, et c'est alors qu'ils s'échouèrent sur l'Etna où vivent les Cyclopes, fils de Poséidon, parmi lesquels figure Polyphème, celui qu’il Survient

un élément important « flattent » : montrent ainsi qu'une partie des gens est prétentieuse : dire que l'on a du bon sens, c'est être présomptueux _ La Folie s'appuie sur les silènes d'Alcibiade ( utilisation de la comparaison marquée par la locution comme) pour montrer que il faut aller au delà des apparences : les silènes seraient de petites figurines fendues en leur milieu et fabriquées ainsi afin de pouvoir s'ouvrir et d'étaler leur richesse, alors que fermées elles représentent la silhouette

=> impression de moquerie, public choisi tourné en ridicule figure de style : passage du coq à l'âne : passage apostrophe-Platon-Silènes => emboîtement de comparaisons sans liens logiques. Exagération : comparaison Socrate-pelure d'oignon. Mélange de registres : décalage entre Socrate et la pelure. Fatrasie (énumération) • Enumération des chimères sur les Silènes, des défauts et des attitudes de Socrate, des conditions sociale : Rabelais semble oublier la phrase • Enumération des œuvres de Rabelais

"d'illustres", ou à des malades "vérolés", qualifiés de "très précieux" : qualifications étonnantes et oxymoriques qui donnent d'emblée un ton comique au texte. Le Banquet qui met en rapport Socrate et les Silènes pour, dans un second temps, présenter la double lecture que le lecteur doit faire de l'œuvre qui va suivre (lecture comique et sérieuse). Le lecteur entre dans la lecture de G argantua sur le mode de

vue intérieur sur le texte mais il en fait déjà parti, il en traduit déjà l’esprit Introduction : Dans le prologue de Gargantua l’auteur vient s’adresser à ses lecteurs de façon cavalière pour leur signifier, en utilisant un style imagé (les Silènes, l’os à moelle) qu’il ne faut pas se fier à l’aspect extérieur d’un livre c’est à dire son titre. Il leur recommande bien plutôt de l’ouvrir et « soigneusement peser ce qui y est exposé ». Il demande ensuite de pratiquer la meilleure lecture possible

lieu nous étudierons l’introduction par Rabelais d’une œuvre comique, puis, le prologue d’une œuvre sérieuse. Dans ce prologue, Rabelais choisit de tourner en dérision le philosophe Socrate. Pour ce faire, il utilise une analogie « semblable au Silène » l.3. Il révèle la laideur de Socrate par l’hyperbole « le voyant au dehors et l’estimant par l’extérieure apparence, n’en eussiez donné un copeau d’oignon » l. 9 à 10 et vente ses nombreuses imperfections extérieurs  par le biais d’une énumération