Signe égal

et leur fîmes signe, regardant et leur montrant le ciel, que par celle-ci était notre rédemption, devant quoi ils firent plusieurs signes d’admiration, en tournant et regardant cette croix. Étant retournés en nos navires, vint le capitaine, vêtu d’une vieille peau d’ours noir, dans une barque, avec trois de ses fils et son frère, lesquels n’approchèrent pas aussi près du bord comme ils avaient coutume, et il nous fit une grande harangue, nous montrant ladite croix, et faisant le signe de la croix

croix, la plantâmes sur ladite pointe | | |devant eux, lesquels regardaient faire et planter. Et après qu’elle fut élevée en l’air nous nous mîmes tous à genoux, les mains jointes, en | | |adorant celle-ci devant eux, et leur fîmes signe, regardant et leur montrant le ciel, que par celle-ci était notre rédemption, devant quoi ils| | |firent plusieurs signes d’admiration, en tournant et regardant cette croix.

Si la langue n'est pas un moyen de communication, c'est-à-dire un instrument d'échange entre les acteurs sociaux, comment ces derniers, peuvent-ils échanger et mettre en commun leurs idées, sentiments, pensées etc.…d'un autre cote c'est vrai, que les gens peuvent former des messages sans recourir à la langue entant que code (système de signes), c'est-à-dire è l'aide de certains éléments extralinguistiques tels que les gestes, le regard…etc. or ces éléments restent incapable de tout dire.

Le mot communication vient du latin « commnuncatio » de communicare « être en relation avec » « mettre en commun », au sens large il s’agit d’être en relation avec quelqu’un, au sens strict il s’agit de la transmission de l’information. Bien communiquer à l’oral, c’est faire passer des messages à l’aide d’un langage choisi, en utilisant intelligemment son corps pour que son public accepte le message émis et y adhère. On distingue dans la communication deux types : Une communication verbale qui

les mots et les choses? L’affirmer, comme le fait Cratyle, c’est en un sens garantir que la langue coïncide avec le monde et en constitue une première connaissance. Le nier, comme Hermogène, c’est admettre – à la façon de la linguistique – que le signe linguistique est arbitraire, qu’il n’est lié par aucune analogie à ce qu’il désigne. La diversité des langues le confirme : le quadrupède que je nomme "chien" est dit, ailleurs, "dog". ■ Le langage instaure un univers symbolique qui évoque le monde

autres usagers. Cependant, le matériel est, certes, identique mais pour une fonction différente. On oublie le contenu pour se concentrer sur la linguistique. La méthode structuraliste, quant à elle, trouve le message dans le code linguistique. Le signe linguistique repose sur la liaison entre la forme du texte et son sens. Le formalisme de Jakobson réduit les formes littéraires à une matière sonore, un ensemble de phonèmes qui concerne l'accent, et l'intonation. En revanche le structuralisme apporte

: cadeau de Dieu pour notre âme, une force spirituelle. · Dans tous les signes, il y a une partie qu'on voit et une partie qu'on ne voit pas. Par exemple : Poignée de main : signe de l'amitié; Index sur la bouche : silence; Cadeau : signe de l'amour ... · C'est pareil pour les sacrements : il ya une partie qu'on voit (par exemple : pain, eau, huile…) et une partie qu'on ne voit pas (la grâce reçue, cette force spirituelle)

ils avaient coutume,| | |et il nous fit une grande harangue, nous montrant ladite croix, et | | |faisant le signe de la croix avec deux doigts ; et puis il nous montrait | | |la terre, tout à l’entour de nous, comme s’il eût voulu dire, que toute |

sens par lui mm). Nombre illimité de seconde articulation nb illimité de première articulation Langue = instrument de communication, code constitué en un système de règles communes à une mm communauté. niveau social Le signe linguistique a : une double face : signe unit concept et image Est arbitraire : par de rapport entre concept et son. Est nécessaire  Tous les signes sont différents ce qui fait sa valeur ; Parole : utilisation individuelle de la langue par un sujet parlant

déroulement de l’action. Saintré observe les conseils, mieux vaut dire les commandements, á la lettre, on peut même dire, qu’il exagère en exécutant les demandes déjà trop pieux. On le voit donc pendant le tournoi se signer plusieurs fois par un très grand signe de la croix, il toujours prie et il obtient beaucoup de bénédictions. Achèvement de sa religiosité est la participation á la croisade en Prusse, qui est un symbole de la chevalerie religieuse – miles Christi. Tous les gestes de dévotion profonde semblent