Sensation

« beau donne à penser » Dans l’agréable, le jugement prend fin au simple plaisir sensoriel comme le dit Kant : « sensations agréables, gracieux, charmant, délicieux, ravissant », l’agréable se contente de rester à la surface, à n’apprécier que ce qui me charme ce qui relève d’une sensation purement subjective. Or, la vraie beauté ne s’arrête pas au plaisir pris à la sensation, le « beau donne à penser », il pousse plus loin le sujet dans une analyse, cela le force a réfléchir et non pas seulement

embrasées des deux premiers quatrains et la séquence répétitive des rimes des deux tercets (ABB-ABB) donnent un effet de répétition comme si on revenait toujours à la même chose. Ceci exprime la sensation du temps s’écoulant. Un temps très long marqué par des longues pauses et accentué par cette sensation de répétition qui allonge plus le temps. D’autre part, ce spleen est marqué par une atmosphère très sombre. Cependant, la façon dont Jules Laforgue convertit un jour de pluie dans un jour d’ennui

classe ressentir le besoins de se faire entendre, il va essayer de se faire remarquer. Il participe à des débats oratoires dans lesquels il va faire sensation par sa jeunesse et la qualité de ses vers. Il tente donc de trouver les arguments les plus forts dans l'optique de défendre son point de vue. Lorsqu’il récite ses vers il est « en proie à une sensation d’ivresse ». Ce qui va tout d’abord encourager son narcissisme est l’image que lui renvoie son physique, il va rester de longues heures devant son

quatre distiques de dialogue avec des tournures archaïques " Te souvient-il ", " qu'il m'en souvienne ", " extase ancienne ", accentuent le vieillissement des personnages. Verlaine en présentant un couple de spectres ,remet en cause, indirectement la sensation romantique qu'on donne d'ordinaire de l'amour. ---------------------------- II.1. La remise en cause de cet amour est d'ailleurs marquée par la structure binaire qui souligne l'opposition

l’époque « le train » pour pouvoir aller ailleurs. Il nomme l’Europe illuminé, ce qu’il voit. Avec le train il peut explorer le monde et donc le connaitre mieux. Dans le poème il y a une musicalité douce, et même on peut dire que nous amène a une sensation d’apesanteur et même on se rapproche au vol « ton glissement nocturne à travers l’Europe illuminée ». On peut voir que Larbaud fait référence à plusieurs paysages, une forme de voyage et évasion plus mental. Pour lui, il doit écrire les bruits qu’il

Plus précisément, Bergson le rattache au passé et à l’avenir afin montrer que le présent est un mélange de ces deux éléments dont il possède et mêle les marques propres. « Le passé immédiat, en tant que perçu, est, comme nous verrons, sensation, puisque toute sensation traduit une très longue succession d'ébranlements élémentaires ; et l'avenir immédiat, en tant que se déterminant, est action ou mouvement. » Il veut, en effet, mettre ici en évidence l’essence à double caractères du présent : le «

C’était un de ces matins qui provoque une émotion de tendresse, qui nous fait frémir par la  simple odeur si légère de la brume matinale qui nous submerge, qui nous fait rêver à l’idée de la  passionnante journée qui nous attend, et c’est lors de cette matinée enivrante de sensations plus  excitantes les unes que les autres que mes parents, mon frère, ma soeur et moi étions partis  découvrir pour ma part l'époustouflante Dame de fer. Le réveil avait été difficile car très tôt, le  dîner de la veille qui pesait encore dans m

toute fin du récit, nous savons qu’il a des regrets et il tente même de l’aider. Il utilise même la comparaison pour comparer cette «gêne obscure» avec un «bruit d’illusions sèches et de regrets .» Le but de cette comparaison était de nous imager la sensation qu’il devait avoir quant au mépris qu’il avait envers Cyrano au départ. En effet, il craint pour sa vie en raison de propos qu’il a entendu chez la Reine et met Le Bret en garde : «Qu’il sorte peu. Qu’il soit prudent. » Par cette attention, nous

Citation d’Aristote : le philosophe veut dire que l’homme est capable de créer de façon analogue à la nature. Et ceci concerne tous les métiers et les arts. 20. Quelle ambiguïté peut-on découvrir dans l’imagination ? Il n’y a pas d’imagination sans sensation, pas de connaissance sans image, mais l’imagination est indépendante, elle est indéterminée, et elle est lié aussi à nos désirs, nos sentiments, nos pulsions. Il y a ainsi ambiguïté de l’imagination à la fois liée au savoir et se jouant de la réalité

cercle magique autour du poète, le protégeant, souligné par l’adjectif «sûr», ou encore l’image du berceau ainsi que l’auréole qui connote une dimension sacrée des yeux de Gala. Il est donc bien question d’un pouvoir bénéfique sur le poète, d’une sensation de bien être comme le « rond de danse » et l’allitération en [s] le suggère. Ces yeux se distinguent par différentes qualités : leur douceur, avec l’image du rond de danse et de la douceur, ou encore celle des « ailes couvrant le monde » ; leur vivacité