Sensation

au premier vers), « je sais », sur douze vers dix fois répétitions du pronom personnel « Je » ou « moi ». exprime ses sensations et ses sentiments personnels : « Sans rien voir au-dehors, sans entendre aucun bruit »(v.6), « sur mes pensées »(v.5) cadre naturel habituel du romantisme:campagne, forêt, montagne.   b) L’expression d’une douleur.  tonalité pathétique du texte : sensation de manque « Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps »(v.4), désespoir avec la comparaison du vers 8 « Triste,

sifflaient et ronflaient » ; « au milieu de ces fumées peuplées d'êtres vagues, des hommes (…), des machines » ; « elle ne distinguait pas les uns des autres » ; « Elle ne voyait rien encore ». Ensuite, elle éprouve des sensations étranges : « elle éprouvait au-dessus de sa tête la sensation ». Elle sent un danger, une menace. Enfin, elle voit de façon distincte les machines : « elle leva les yeux ». Elle éprouve un sentiment de peur vis-à-vis des machines : les métaphores et comparaisons permettent de

Sujet : "Raconter au passé composé et sur un mode distant imité de Camus, une rencontre nocturne anodine. Vous inventerez des images pour décrire l'obscurité, l'aspect qu'elle donne aux hommes et aux choses, les sensations physiques et les états mentaux qu'elle fait naître." Comme tous les vendredis soirs d’été pendant mes vacances aux Sables d’Olonne, je me rendais à la plage pour faire un petit tour nocturne avec mon ami Jeoffrey. Il avait le même prénom que moi, enfin presque, le mien s’écrivait

et de chaleur. Il paraît indéniable que la sensation de bien-être qui peut, en partie, décrire le romantisme est présente. Elle se retrouve dans des expressions telles que : « […] pelote de laine. » ou encore « […] pour goûter la brise […] ». L’aspect de romance prend toute sa forme grâce à la description de l’amour, très personnelle, de madame Goyette. Les images se distinguent facilement en raison de la combinaison d’idées, de souvenirs et de sensations que l’auteure associe à la passion amoureuse

amorce donc la notion de sujet. On doit distinguer : | | |( La conscience spontanée : immédiate et qui marque uniquement la présence de l’homme à l’origine de ses pensées | | |instantanées (sensation, perceptions) | | |( la conscience réfléchie, qui est capable de faire un retour sur ses pensées et donc de s’analyser, de se juger | |Décision

Comme évoquer à l'instant, ceci est possible car les cellules cérébrales peuvent changer leurs apparences et aussi leurs fonctions, et de ce fait devenir accessible à d'autres besoins. Notre cerveau change sans cesse au fil des jours, à chaque sensation éprouvé et à chaque émotion ressentie. C'est sous ses influences que nos neurones peuvent se développer, que les réseaux de neurones peuvent s'adapter à d'autres missions et que le cerveau lui même peut se réorganiser entièrement. Nos mouvements

uniques malheurs. Le Vers Libre contribue également à intensifier l’atmosphère sombre de ce poème. Ce-dernier est marqué par une structure très irrégulière, qui renforce d’une part une activité urbaine intense et décadente, mais d’autre part une sensation de solitude très forte : la valeur de chaque mot est ainsi soulignée par une ponctuation travaillée, mettant en relief chaque élément du tableau que Laforgue nous dépeint. On pourrait supposer qu’il a choisi ce style de vers pour son originalité

psychobiologique, c’est la saveur la plus appréciée et contestée, car associée de manière directe au plaisir. Même si toutes les qualités organoleptiques des aliments peuvent potentiellement affecter l’ingestion, le sucré joue un rôle privilégié parmi les sensations gustatives. Le sucre a la capacité de modifier presque totalement le goût d’un plat, de l’améliorer. Il n’apparaît donc pas comme étonnant que les humains aient une attirance génétiquement déterminée pour ce dernier ; ceci à cause de la relation

m’était possible de toucher ses parois : elles étaient assez flasques, gluantes et je savais qu’elles m’entouraient complètement, sans que je ne puisse sortir d’ici. Je n’avais jamais aperçu mon reflet, il faisait tellement noir ici. J’avais comme la sensation de flotter dans cette demeure qui était mienne. Je n’avais aucun loisir, mis à part celui de me faire nourrir par une espèce de grande tige qui se déroulait jusqu’au plus profond de mes entrailles. Toutefois, je percevais comme des raisonnements

Problématique: En quoi l’auteur établit-il un parallèle entre l’amour et la mer? => métaphore filée I. Une sensation de vertige en mer a. Un poème vertigineux Alexandrins - Hémistiches qui provoquent un rythme très régulier de balancement Mêmes mots récurrents tout au long Anaphores: “et/et”, “celui qui craint/celui qui craint” “Tournis” car difficile de comprendre à la première lecture les liens entre eau, feu et amour dans les deux tercets b. Jeu sur les sons Assonance