Semi Présidentialisme

parlementaire dualiste ou orléaniste b. Le régime semi-présidentiel c. Le cas de la Vème République c) La négation de Montesquieu : Les régimes de confusion des pouvoirs 1° La confusion des pouvoirs au profit du législatif : le régime d’assemblée a. Une théorie séduisante b. Une application peu fréquente 2° La confusion des pouvoirs au profit de l’exécutif : le présidentialisme a. Les éléments du régime présidentialiste b. Le présidentialisme : déformation des régimes classiques §2. Les

de révision avec une majorité de 62% des suffrages exprimés. Le présidentialisme est une appellation commode pour désigner les régimes dans lesquels, à partir d’un schéma institutionnel mixte, que Maurice Duverger a appelé « semi présidentiel », le Président de la République exerce une prépondérance de fait au détriment du Premier Ministre instrumentalisé, et du Parlement affaibli. Qualifié de majoritaire, le présidentialisme est également utilisé par des auteurs pour caractériser le fonctionnement

fonction présidentiel avec ce chef de l’Etat issu du suff univ. Ce qu’il appelle un régime semi universel. → Impact décisif de la rev consti de 1962 →dont l' Evolution du régime ou plutôt du système. Sachant que le chef de l’Etat dispose de pouvoirs propres énumérés à l’art 19 de la C°. Permet d’agir indépendamment du gvt, car pouvoirs sont dispensés de tout contre seing. Caractéristiques d’un régime semi présidentiel. Constance du fait majoritaire donc pas de motion de censure depuis 62. La resp

chef de l’Etat ce qui entraine un déséquilibre dans les institutions au profit du président de la République. - Pourquoi certains auteurs parlent-ils, à propos de la Vème République, de « présidentialisme » ou de « régime semi-présidentiel » ? Certains parlent de la V° République comme un régime « semi-présidentiel » car pour eux, tout d’abord la réforme de 1962 sur l’élection du président au suffrage universel n’a crée que la confusion des pouvoirs et au profit d’un seul : le chef de l’Etat

(1963-1967), a mis en place un régime présidentialiste bicéphale. Enfin, la constitution de la troisième République (1980-1992), a de nouveau instauré un présidentialisme monocéphale mais avec une particularité : l’institutionnalisation d’un système monopartisan. La deuxième période, quant à elle, est marquée par la consécration d’un régime semi-présidentiel à la française avec la constitution de la quatrième République (1992). Dans la perspective de cette étude, il importe de commencer par préciser

Référendum du 28 octobre est remporté par le oui à 61,75% ,c'est une victoire pour De Gaulle malgré un taux d'abstention de 23,03 %. II) L'élection au suffrage universel, un renforcement du pouvoir présidentiel: A)Du régime parlementaire au régime semi-présidentiel: Jusqu'en 1962, le statut du Président de la République est celui d'un chef d'État parlementaire classique élu au suffrage universel indirect, c'est à dire élu par un collège électoral regroupant 80 000 membres (parlementaires, des

est définit par la responsabilité du gouvernement devant le parlement, le régime présidentiel par l’irrévocabilité des pouvoirs issues d’une double élection, le régime semi présidentiel par la double élection et la révocabilité des pouvoirs. » Pourtant Olivier Duhamel s’oppose sur la qualification du régime de la Ve République de « semi présidentiel » avec l’auteur de notre texte : Maurice Duverger. Maurice Duverger est un juriste, politologue, écrivain, enseignant à l’université paris 1, homme politique

comprendre ce dont le système politique français à besoin, il faut d’abord savoir le définir. En effet, la France est muni d’un système politique particulier, il mélange le régime parlementaire et le régime présidentiel, ce régime est appelé régime semi-présidentiel. Le régime parlementaire est un régime de séparation dite souple des pouvoirs, c’est-à-dire que ceux-ci ne sont pas strictement séparés l’un de l’autre. Plus précisément, les pouvoirs législatif et exécutif entretiennent des relations

stabilité du régime - Le rôle de l’invariant majoritaire est capital. L’élection du Président de la République au suffrage universel direct est à l’origine du fait majoritaire, qui constitue « la véritable clé du fonctionnement du “ semi-présidentialisme“ à la française » (Bastien François, Misère de la Ve République). Comme le fait remarquer Pierre Avril : « les règles de fonctionnement du régime reposent toujours sur le principe d’un Gouvernement soutenu par une majorité fixe ». En ce sens

À la fois parlementaire et présidentiel, Maurice Duverger le qualifie de « semi-présidentiel ». L’élection législative devient ainsi un moyen de confirmer le résultat de l’élection présidentielle par l’élection d’une majorité acquise au Président lui donnant les moyens de gouverner. Néanmoins, l’obtention d’une telle majorité n’est pas toujours évidente. II/ Un système représentatif variable : entre « présidentialisme » et « gouvernementalisme ». A/ La prééminence du président en période de