Scénographie De Hamlet

esthétiques, mais aussi les tracés biographiques d'auteurs. Nous considérons ensuite les supports de l'œuvre : la voix, l'écrit, l'imprimé et, au-delà, la langue. Serrant d'encore plus près l'œuvre, nous abordons sa situation d'énonciation, la "scénographie" qu'elle construit et dont elle se donne pour le produit. Nous pouvons enfin nous intéresser aux "contenus" de l'œuvre, qui ne sont pas appréhendés dans leur clôture mais retournés vers l'acte d'énonciation qui les porte. L'œuvre apparaît ainsi

adaptation française par Samuel SENE  9 rôles chantés et 11 rôles parlés  Arrangement pour orchestre de dix musiciens par Sylvain AUDINOVSKI  40 choristes       Direction musicale : Sylvain AUDINOVSKI Mise en scène : Samuel SENE Scénographie : Isabelle HUCHET Lumières : Nadine SARRIC Chorégraphie : Delphine HUCHET Chœur : LA CROCHE CHŒUR  Avec : Flavio LOSCO, Géraldine CASEY, Odile DESCOLS, Marc DAVIOT, etc…. Candide, de Bernstein, est une œuvre inclassable : opéra, opérette

comédies et son théâtre en général sont toujours très peu joués. C'est qu'il s'agit d'une oeuvre difficilement représentable puisque le comique - comme le drame - sont entièrement contenus dans les mots. A la limite, on pourrait se passer de toute scénographie pour se contenter de la lecture seule. Marguerite Duras estimait, en effet, que le jeu des acteurs n'apporte rien au texte. Elle prétendait, au contraire, qu'il amoindrit sa profondeur et affaiblit la puissance de la langue. Ce qui explique pourquoi

médecin qui affirme que « ces habits leur donnaient de l’esprit ». On peut donc remarquer que les costumes des personnages et le déguisement prennent une place importante. En effet le théatre à l'italienne accorde une grande importance à la scénographie. Des décors peint en perspective sur une toile sont accrochés au fond de la scène pour donné une impression de profondeur. On a de ce fait un trompe l'oeil et cela donne une impression de réel. Molière et Corneille ont fait appelle a ce type de

Dorine demande à Orgon de se cacher pour écouter les avances que lui fait Tartuffe. Un autre exemple, plus tragique, que nous pourrions citer se retrouve dans Shakespeare, lorsque Polonius se cache derrière ce rideau où il est pris pour « un rat » par Hamlet. Le public est continuellement pensé, par le texte et par le metteur en scène. En amont, comme on l’a vu, mais parfois même dans l’après représentation, le théâtre peut devenir une forme de réponse faite au public. C’est dans ce sens qu’il faut

Arts Le Legs / Les Acteurs de bonne foi De Marivaux Mise en scène David Géry Avec Philippe Fretun Marie Matheron Donatien Guillot Julie-Anne Roth Geoffrey Carey Daniel Martin Eléonore Joncquez-Simon Pierre-Benoist Varoclier Kevin Lelannier Scénographie Jean Haas Lumières Pascal Sautelet Costumes Cidalia da Costa Maquillage-coiffure Sophie Niesseron Musique Jean Paul Dessy Bande son David Géry Assistante à la mise en scène Stéphanie Leclercq Conseil distribution Laura Koffler-Géry Production

10€ Service de presse MYRA / Rémi Fort et Elisabeth Le Coënt : 01 40 33 79 13 - myra@myra.fr - www.myra.fr Dossier au 15 mars 2010 La Fausse Suivante de Marivaux mise en scène Lambert Wilson collaboration artistique Cécile Guillemot scénographie Sylvie Olivé lumière Françoise Michel costumes Olivier Bériot direction vocale et chanson originale Pierre-Michel Sivadier chorégraphie Laurence Fanon avec Anne Brochet Christine Brücher Éric Guérin Pierre Laplace Francis Leplay Fabrice Michel

puis Richard III (1593), suivis de Richard II (1594). De la tragédie politique, il passe au drame privé : Roméo et Juliette (1595). C’est au tournant du siècle que Shakespeare rompt avec le style et les thématiques des autres auteurs élisabéthains : Hamlet (1602), Othello (1604), Le Roi Lear (1606) et Macbeth (1606) opèrent une véritable révolution dans le genre tragique. Coriolan (1607) et Timon d'Athènes (1607), témoignent de la part de Shakespeare d’un pessimisme peut-être en lien avec les crises

Moyen-Age (mystères et farces) 5 c) Le théâtre élisabéthain 5 d) Le théâtre classique 8 e) Le drame romantique 9 f) Le théâtre de l’absurde 10 g) Le living theatre 11 II. Lieux de représentation 13 a) Les différents lieux de représentation 13 b) La scénographie 14 III. Evolution du rôle du metteur en scène 15 IV. Evolution de la mise en scène 16 a) Les lumières 16 b) Le son 20 c) Décors et accessoires 20 V. Metteurs en scène connus 21 a) Les importants metteurs en scène de l’antiquité 21 b) Les importants

Le Petit Georges Stanley: Hedda Gauchard Le fantôme d'Henry VI: Pierre Ménasché Guitare: Olivier Mellano Texte et rap: Arm (Psykick Lyrikah) Vidéo: David Moreau Effets spéciaux: Robert le Magnifique Lumière: Christophe Rouffy Son: Klaus Loehmann Scénographie: Christophe Delaugeas Construction: Mégabo Administration: Pierre Menasché Production et diffusion: Agathe Jeanneau L’HISTOIRE «Le personnage de Richard III est pour moi une béance, Un trou noir, Un hors la vie inexplicable qui déchire le