Savoir Empeche T Il De Croire

nécessaire car ce que la raison rejette ce n’est pas la croyance en elle-même mais ces dérives qui sont le fanatisme d’idéologie religieuse et les superstitions. Ces dérives nourrissent la peur, freine le progrès, entrave la recherche de connaissance, empêche d’avoir une vie raisonnable remplie de sagesse afin de parvenir au bonheur, car le doute permanent restreint l’existence et l’action. Cependant, nous avons besoin de croyances pour vivre, c’est en quelque sorte une réaction défensive de la nature

réponses toutes faites et les causes uniques. Pour lui, les choses sont trop complexes pour pouvoir être résumée à une cause et à un effet. De multiples facteurs entrent en ligne de compte en ce qui concerne le progrès. Et notamment le hasard, qui empêche toute prévisions. Merleau-Ponty conçoit que les hommes ont en commun une intelligence, une "ouverture à l'être", et delà une capacité à acquérir une culture, les disposant à évoluer. Mais cette intelligence, cette "ouverture", ne seraient pas

abouti sur un bonheur et un sentiment de bien être de l’ego. En effet, le désir du beau, le désir du bien, celui de vouloir toujours voir plus loin que ce dont on est capables, désirer s’affirmer dans une société, désirer être ce que l’on est pas, croire en l’impossible(donc par définition, ces désirs impliqueront des contradictions)restent des désirs aboutissant à l’échec des ses espérances, donc par déduction des désirs malheureux qui ne sont donc pas nécessaires et qui aurait pu ne pas être: on

plaire et de toucher . (....) Je conjure les spectateurs d'avoir assez bonne opinion d'eux-memes pour ne pas croire q'une piéce qui les touche et qui leur donne du plaisir puisse étre absolument contre le régles ." Molière ne dit rien d'autre :" Je voudrais bien savoir si la grande régle de toutes les régles n'est pas de plaire . (....) Ne cherchons pas de raisonnement pout nous empécher d'avoir du plaisir" Ce plaisir , que Racine nous le donne dans la terreur et les larmes , Molière nous le donne

exemple), sorti de l'immédiat, le choix est impossible car il manque trois choses fondamentales pour cela : a/ Le don d'ubiquité. Il est impossible d'être au même moment, à deux endroit à la fois. b/ La connaissance du futur. Il est impossible de savoir avec précision ce qu'il va nous arriver. c/ L'inaccession au degré zéro de danger. Même s'il y a 1 malchance sur 10 milliards pour qu'un boulon de Boing m'arrive au sommet du crâne et stoppe net mon existence, cette malchance m'empêche de certifier

quelque chose ». Le mot « vaine », quant à lui, est le mot clef de la question. Il pourrait signifier que la recherche du moi est inutile puisque cette quête du moi est inexistante ou que tout simplement qu’elle n’a aucun but. Alors le problème est de savoir si cette quête est illusoire ou réaliste ? Alors, le vrai question selon moi est, « Est-il sage de chercher à se connaitre ? » Apprendre à se connaitre, à prendre conscience de soi n’est –il pas naturel de la part d’un homme qui pense ? Est-ce

mais nous verrons ensuite que l’art ne nous fait pas totalement oublier le réel. Pour finir nous étudierons le fait que l’art nous donne un nouveau rapport au réel. I) L’art semble nous faire oublier le réel. 1) L’art est un procédé , un savoir faire par lequel l’homme créer, a partir d’une matière et avec des instruments, un produit fini ou achevé en fonction de son créateur.. L’art est donc artificiel et non naturel puisque les choses naturelles ne sont pas fabriquées par l’homme et évoluent

ne voyons-nous pas le monde tel qu'il est ? L'aveugle ne voit pas, donc se trompe, mais involontairement; que dirons-nous alors de l'aveuglé, qui voit, mais ne voit pas correctement ? Pourquoi cette "mésinterprétation" ? En définitive il s'agit de savoir pourquoi il nous arrive de pas accepter la vérité, de lui préférer autre chose. I. Parce que la vérité n'est pas évidente La première cause de la difficulté à reconnaître la vérité semble bien être la difficulté intrinsèque d'y accéder. La vérité

croyances, connaissances, rites et comportements d'une société donnée. Certains réservent le terme de culture aux productions non matérielles d'une société, préférant parler de civilisation à propos des productions matérielles. • obstacle : Ce qui empêche ou retarde une action, une progression ; difficulté, empêchement. • unité : Du latin unitas, de unus, « un ».L'unité désigne donc la qualité de ce qui est un, unique, mais aussi ce qui forme un tout, dont les diverses parties constituent un ensemble

des sens et des idées reçues. Il se sert du doute pour découvrir la vérité : or le meilleur moyen de savoir si une vérité est indiscutable, c'est d'en discuter. Assurément, le dialogue permet de penser ensemble. Le dialogue est une opération commune, une discussion, permettant d'échanger des opinions différentes. L'opinion désigne des représentations partielles et mal éclaircies. Ainsi, pour savoir la vérité, on doit identifier et analyser ses opinions afin de les dépasser comme le fait Henri Fonda