Samuel Huntington

Etats-Unis. Sur cinq que sont les Caraïbes, le littoral de l’Océan indien et une base dans le pacifique occidental, deux sont nécessaires à la défense du Golfe Persique. Dans son livre intitulé " America’s Changing Strategic Interests Survival", Samuel P. HUNTINGTON insiste sur le fait que la disparition d’une URSS concurrente devrait permettre aux Etats-Unis de se concentrer sur des zones présentant des intérêts substantiels. Le Golfe Persique répond parfaitement à ce type de critère, ceci pour des intérêts

mobilité des hommes du Sud vers le Nord, puisqu’elle était assurée virtuellement par la TV et le net. Plus grave encore, certaines perceptions du sens commun sur les clivages culturels recevaient leurs lettres de noblesse avec les écrits de Samuel Huntington sur le « choc des civilisations », dont le succès fut proportionnel au simplisme de l’analyse. Le même succès accueillait d’ailleurs la vision contraire mais tout aussi simpliste de la « fin de l’histoire » et de l’universalisation de la culture

est le politologue américain Samuel Huntington, qui a énoncé cette théorie en réaction à la théorie de Fukuyama sur la fin de l'histoire. C'est donc tout d'abord une théorie d'opposition. C'est une théorie qui ne prétend pas que l'après guerre froide sera pacifique pour les relations internationales. Elle prévoit l'apparition de conflits, non plus idéologiques comme pendant la guerre froide, politiques comme c'était la cas au XIXè siècle, économiques, mais Huntington annonce un monde dominé par des

citoyen peut influer par le biais de l’action collective sur les quelques mécanismes démocratiques inscrits dans le modèle libéral, les défenseurs du pluralisme tendent à se transformer en “ défenseurs ” de la démocratie. Dans cette mouvance, S. P. Huntington et M. Crozier développent un arsenal de garde-fous juridiques et politiques pour éviter que “ trop de démocratie ne tue la démocratie ”. Comme nous le verrons, la pluralité des élites elle-même, à en croire ces penseurs, constituerait un facteur

longue durée, les limites de ces aires de civilisation sont floues et mouvantes ; la notion même d’aire de civilisation peut être contestée (et n’est revenue à la mode que dans les années 1990 avec Samuel Huntington cf. le manuel d’histoire document 4 page 67 et biographie page 248) ( Pour Huntington, il faut retenir la thèse de l’affrontement des civilisations notamment définies par des critères religieux (attentats du 11 septembre = conséquence de cet affrontement) NB : danger d’interpréter

c'est-à-dire une société régie par des lois. II désigne aujourd'hui un ensemble de sociétés présentant un certain nombre de traits communs : valeurs, pratiques, croyances, langues, représentations du monde... - Fernand Braudel et à sa suite Samuel P. Huntington distinguent sept à neuf grandes aires de civilisation dans le monde. Construites sur le temps long, ces civilisations sont pour certaines très anciennes : les civilisations hindoue et chinoise ont plus de 3 500 ans d'histoire. D'autres sont

attentas de 11 sep 2001 Cet évènement impose un nouveau concept économique: l'axe du mal= ensemble de réseaux terroristes anti American/occidentaux Cela change le concept de l'ennemi: il n'est plus localisé. On fait la guerre à des réseaux. Samuel Phillips Huntington (1927-2008): les relations ne s'expliquent plus par des raisons idéologiques mais ces relation résultent par le choc de civilisation, l'air culture est devisée de façon religieuse. Le concept de guerre: depuis 89, on ne fait plus la guerre

leadership à savoir, la direction autoritaire et exploiteuse, la direction de l'autorité bienveillante, la direction consultative et la direction participative. Les idées essentielles de la pensée de l’auteur Titres des principaux ouvrages : avec Samuel P. Hayes Jr., dir., Some applications of behavioural research, 1957 New Patters of Management, Harper & Row, New York, NY, 1961 The Human Organization: its management and value, McGraw-Hill, New York, NY, 1967 avec Jane Gibson Likert, "New Ways

notamment [...] » -------------------------------------------------  Franco Cardini, Europe et Islam : Histoire d'un malentendu, Points, Seuil, 2002, pp 117-128 (traduction de l'italien : J.-P Bardos) Au-delà du choc des civilisations.  Quand Samuel Huntington a mis de l'avant, en 1993, la thèse du « choc des civilisations »1, il ne pouvait prévoir qu'elle contribuerait à généraliser une lecture politique du conflit de l'islam et de l'Occident et qu'elle servirait tous ceux à qui une simplification

les événements étaient analysés en fonction du jeu de puissance entre l’Ouest capitaliste et L’Est communiste. Mais à l’aube du nouveau millénaire, ce schéma ne tient plus. Les think thank doivent repenser leur façon de voir le monde. En 1994, Samuel Huntington1, stratégiste de la droite néoconservatrice, fit une synthèse des nombreuses théories post Guerre Froide (fin des idéologies, rivalité entre les nationalismes, déclin des États-nations, interdépendance des peuples), et s’appuyant sur des