Sage

« monde ». Aujourd'hui, lorsqu'on entend dire de quelqu'un qu'il vit « en sage » ou « en philosophe », l'éloge ne signifie guère plus que ceci : « c'est un homme avisé et prudent, qui se tient à l'écart ». Pour le populaire, la sagesse est une espèce de fuite, un moyen et un art de tirer son épingle d'un jeu dangereux ; mais le vrai philosophe - n'est-ce pas notre sentiment mes amis ? - mène une vie « non-philosophique » et « non-sage », avant tout une vie imprudente ; il assume le fardeau et le devoir

malheureuse "Le bon bramin est à la fois comblé par la fortune et tourmenté par le mystère de sa condition" paratexte. Le bon bramin est âgé, c'est un prêtre, membre de la plus haute caste de la religion hindoue. Il était très sage, très savant, riche mais malheureux "homme fort sage, très savant, il était riche" l.2. Il aimait également la philosophie "il s'occupait à philosopher" l.6. Il se sent mal car il dit qu'il ignore tout de la vie "j'ignore tout" l.10, qu'il a perdu quarante ans de sa vie à étudier

Socrate est sage.  Socrate est sage parce qu’il a conscience que sa sagesse n’est rien. En effet, on ne peut être sage si l’on ne reconnait pas être ignorant. La base de la sagesse requiert d’accepter le fait d’être ignare, d’admettre que notre sagesse n’est rien et finalement d’être à la recherche de la sagesse. C’est exactement ce que Socrate a fait. L’enquête de Socrate, qui consistait à vérifier la réponse de l’oracle, lui a fait voir toutes sortes d’hommes se considérant comme sage. Il se trouve

entre son but et sa nature -> les sons se heurtent comme ses ambitions Scythie = « triste demeure »/Grèce = « beautés d'un Jardin » B. Le Grec « Sage » -> s’oppose par son titre au philosophe : Le philosophe « aime la sagesse » et tente donc de s’en approcher en intellectualisant, ce qui ne fait que l’en éloigner en réalité contrairement au sage qui se contente de vivre la sagesse. « Homme égalant les rois, homme approchant des dieux » -> parallélisme de construction qui vient amplifier la

situe dans l Antiquité et qui met en présence deux hommes prétendus sages puisque l un est philosophe et l autre un vieillard sage. I. deux histoires . a) La première qui vient d une lecture immédiate. Elle débute dès le début de la fable. ( vous raconter les principales étapes en citant la fable.Un philosophe scythe part à la recherche du bonheur il rencontre un sage avec lequel il a une conversation qui ne lui rapporte rien. b) la seconde: la parabole dont La Fontaine donne la clef de

sciences, à la philosophie. c'est la conscience, parfaite que nous avons des limites de notre être face à la masse des choses à connaître. C'est également la connaissance du vrai, du bien, fondé sur la raison, l'expérience. C'est la philosophie du sage. dans la tradition classique, elle se rapporte au savoir, à la science, à la philosophie, la connaissance parfaite idée de vertu. Atteindre: du latin attingere, verbe transitif Action parvenir à un lieu, à un état, à une grandeur parvenir au

Chapitre 30 « Candide en retournant dans sa métairie… » p.139/140 La situation du passage ; C’est la fin des aventures de Candide, tous les personnages se retrouvent pour cultiver le jardin, après avoir rencontré le sage qui lui a donné une leçon de sagesse. I) L’optimisme définitivement ridiculisé (à travers Pangloss) a) le discours de Pangloss est toujours aussi absurde. Il énumère des exemples qui n’ont plus de sens car il mélange toutes les époques. 1er discours : Enumération d’exemples

La figure du sage-philosophe 16/09/2013 philo – sophia : qui aime, désire > sagesse Le philosophe # le sage Quelles sont les caractéristiques du sage ? > vieux : expérience, vécu > calme : maîtrise de soi La sagesse a une double dimension. Théorique, le sage a des connaissances et de l’expérience. Pratique (liée à l’action), le sage est celui qui se maîtrise lui même, qui ne se laisse pas troubler. La figure du sage-philosophe :

sheng », n'exprime pas cette séparation. La pensée chinoise ne sépare pas le corps et l'esprit et lie même profondément les sens et la conscience ; Cf Mencius : « Notre forme (physique) est notre nature émanant du ciel ; il n'y a qu'en devenant un sage qu'on peut ensuite tenir pleinement sa forme ». Par suite, « nourrir sa vie » renvoie au potentiel vital. Ne pensant pas l'existence de l'âme, cette philosophie n'a pas pour objectif la vie éternelle mais la longue vie. Dans cette perspective,

Aurèle (Ier-IIe s. apr. J.-C.). Les concepts fondamentaux du stoïcisme : • Ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous : en grec, « ta éph' hèmin et ta ouk éph' hèmin ». C'est la distinction rectrice de toute la morale stoïcienne : le sage, selon Épictète, doit s'exercer à ne vouloir que ce qui dépend de lui et à subir sans rechigner ce qui n'en dépend pas. C'est le sens de la devise stoïcienne : « apéchou kai épéchou », c'est-à-dire « supporte et abstiens-toi ». • La proairésis, c'est-à-dire