Rêves Réalité

toujours mais l’éternité m’aurait paru trop courte. Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre. On essaie de se dire que la réalité vaut mieux que le rêve. On se persuade qu’il vaut mieux ne pas rêver du tout. Les plus solides d’entre nous, les déterminés s’accrochent à leurs rêves. Il arrive aussi qu’on se retrouve en face d’un rêve tout neuf qu’on avait jamais envisagé. Un jour on se réveille, et contre toute attente, l’espoir renaît, et avec un peu

Suis-je vraiment ce que j'ai conscience d'être ? Introduction Globalement, la conscience est la facilité qu’à l’homme de connaître sa propre réalité et de la juger. Plus précisément, la conscience réfléchie correspond à une prise de conscience, c'est-à-dire à un retour sur soi. Ainsi, chaque Homme en possèderait une qui lui permettrait de mieux se connaître, de réfléchir et de se juger, c'est-à-dire de prendre connaissance de ce qu’il est dans sa parfaite totalité. Cependant, l’hypothèse de

d'exprimer à leur façon leur horreur pour la guerre et d'attaquer les valeurs de la société comme l'a voulu faire Dada. Les surréalismes eux trouvent dans les travaux de Freud sur l'inconscient et la psychanalyse, la liberté d’association, l'analyse des rêves une envie de mettre au point des méthodes pour libérer l’imagination. Ils trouvent dans l'écriture automatique un moyen de libération et une bonne tactique pour l'évolution de la société. Le surréalisme est en fait un ensemble de procédés de création

gros plan. Selon lui, le gros plan engendre un sentiment d’intensité affective, et cela par le fait que toute valeur de plan serré nous fait rentrer dans l’intimité du sujet. C’est donc une vision très forte, car il nous arrive très rarement dans la réalité de voir aussi près quelqu’un ou quelque-chose. Edgar Morin traite ensuite axes de prise de vue en plongée et contre-plongée. La plongée donne au spectateur le sentiment que le sujet est rabaissé, rabougri à l’image, d’où un symbolisme d’infériorité

se met à s'imaginer pouvoir « rembobiner » la vie de Madame Rosa, à se revoir enfant au près de sa mère. Concernant l'extrait du cirque, il qualifie ce moment de « complétement différent de tout ». Grâce à ces deux expérience, il quitte ainsi la réalité pour atteindre une d'imaginaire idéal. Des scènes fortement décrites : Dans ces deux extraits, Momo nous offre une description très riche : « Les voitures reculaient à l'envers », « les balles sortaient du corps, retournaient dans les mitraillettes »

la présence réelle des acteurs. Ceux-ci jouent à être, à sentir, à paraître dans un décor stylisé, fabriqué. Ils s'expriment comme l'ont écrit les auteurs dramatiques et interprètent souvent une histoire d'un autre temps. Pourtant, en incarnant les rêves d'un auteur, ils rejoignent le spectateur qui cherche à se comprendre. En entrant dans la salle, c'est lui qu'il vient voir. Le réel alors surgit et peut prendre aussi la forme d'une interrogation collective sur l'époque contemporaine. Premiere

créativité il faut partir du processus créatif qui est essentiellement un processus de confrontation entre deux sphères mentales, celle qui a pour fonction de s’adapter le mieux possible à la réalité et à ses contraintes en utilisant des mécanismes déductifs et celle qui a pour fonction de s’éloigner de cette réalité en oubliant les mécanismes déductifs renforcés par l’habitude pour produire des constructions insensées, à la limite du délire. La création du nouveau naît à mi chemin de ces deux territoires

"personnages"... La plupart d'entre nous ont été sensibilisés à l'imaginaire étant enfant, lorsque nos parents nous lisaient des contes et des histoires imaginaires. Cela captait notre attention et nous partions très vite bien loin dans un monde de rêves et ce type de lecture favorisait bien souvent notre endormissement. En devenant adulte, nous nous intéressons plus à des faits réels, pourtant, parfois nous aimons encore nous évader mentalement grâce à l'imaginaire. Quels avantages retire l'auteur

lit-on des romans, c’est-à-dire des histoires que l’on sait être inventées, fictives ? Comment la fiction, le mensonge pourraient-ils révéler la vérité sur nous-mêmes ou la vie en générale ? La vérité se trouve-t-elle dans la reproduction exacte de la réalité ou dans une représentation déformée ? Pourquoi lit-on des romans, c’est-à-dire des histoires que l’on sait être inventées, fictives ? On lit des romans pour beaucoup de raisons différentes. Certains disent qu'ils y trouvent les réponses à leurs

ê. Tout H a à sa racine ce questionnement. Les grands philosophes du 20ème S sont des philosophes qui se posent cette Q de l’ê. Ou cet ê existe ou alrs tout est illusion, tout est rêve, tout est songe, virtuel ?la vie est faite de l’étoffe de nos rêves selon Shakespeare. Ou Dieu existe ou alrs il n’existe pas. Ns sommes aujourd’hui ds une société travaillée par cette Q car tte civilisation se pose la question morale de pq je ne peux pas tuer pq ne pas voler ? sans Dieu plus de morale, parce que le