Réquisitoire Contre Injustice

et références | Le roman ------------------------------------------------- Genèse Préoccupé par l'adéquat entre la justice sociale et la dignité humaine, Victor Hugo a déjà écrit en 1829 Le Dernier Jour d'un condamné, long monologue et réquisitoire contre la peine de mort. Il poursuit en 1834 avec Claude Gueux. En 1845, il entreprend une grande fresque épique qu'il intitule d'abord Les Misères, dans laquelle le personnage principal se nomme Jean Tréjean. Il interrompt sa tâche en février 1848

Liens externes 9 Notes et références Le roman[modifier] Genèse[modifier] Préoccupé par l'adéquat entre la justice sociale et la dignité humaine, Victor Hugo a déjà écrit en 1829 Le Dernier Jour d'un condamné, long monologue et réquisitoire contre la peine de mort. Il poursuit en 1834 avec Claude Gueux. En 1845, il entreprend une grande fresque épique qu'il intitule d'abord Les Misères, dans laquelle le personnage principal se nomme Jean Tréjean. Il interrompt sa tâche en février 1848

par la liberté de la presse. Cependant, comme le dénonce Camus, la responsabilité du journaliste est inexistante dans certaines presses dite . Dans les textes A, B et C les auteurs défendent les intérêts de la liberté de la presse. Tous s’insurge contre la censure (Mirabeau), ou la possible suspension des journaux (Hugo). Il est intéressant d’observer à travers ces écrits, l’évolution de la presse. Il est notable que Victor Hugo citera Chateaubriand dans son discours, ce qui souligne bien leurs

récapituler et classer les connaissances accessibles au dix-huitième siècle, conformément à l’esprit des Lumières, ils ont surtout vocation à provoquer une réflexion chez le lecteur et à dénoncer toutes formes d’injustices. L’esclavage est une des injustices majeures de ce siècle et a été également critiquée par Voltaire dans Candide et par Montesquieu dans De l’esprit des lois. Nous allons voir dans ce texte que derrière l’apparente démonstration logique qui chercherait à convaincre le lecteur, se

Béroul n'accorde quasi pas de place à la vaillance héroïque de Tristan ( légende) Au contraire, c'est un personnage qui est contraint de subir la haine jalouse des barons et ses qualités de preux chevaliers lui sont une arme inefficace pour lutter contre la félonie, d'autant que jamais aucun de ces trois barons n'acceptera d'affronter Tristan en combat singulier. C'est l'amant qui évolue tout au long du texte de Béroul, tous ses faits et gestes, toutes ses pensées sont gouvernés par sa passion pour

Montesquieu (1689-1755) De l'esprit des lois, XV, 5, 1748 L'esprit des lois est une entreprise de vaste réflexion politique. Elle est l’œuvre majeure de Montesquieu; il a mis 20 ans pour l'écrire. A travers ce texte, Montesquieu cherche à lutter contre les préjugés et à éclairer ceux qui commandent (à cette époque, les rois et princes d'Europe). Le mot esprit indique le sens profond des lois. Le chapitre 5 étant le passage le plus célèbre de l’œuvre puisqu'il dénonce l'esclavage. Le premier

décès de sa femme en 1511, il se remarie avec Alice Middleton, veuve et mère de deux enfants. Il sera réputé pour l'éducation de haut niveau qu'il faisait donner à ses enfants, filles comme garçons. Membre du Parlement à partir de 1504, il s'élève contre les taxes demandées par le roi Henri VII pour la guerre d'Écosse. Le roi fait emprisonner John More ; Thomas More se retire en France (1508). UNE BRILLANTE CARRIERE POLITIQUE L'avènement d'Henri VIII en 1509 marque le début d'une brillante carrière

personne coupable (on pourrait rapprocher cela de l’Inquisition), mais se désengage dès qu’il connaît le nom de la personne visée, en un revirement soudain et ridicule. Au regard de la situation sociale du coupable, il en excuse les pêchés, et son réquisitoire se transforme en apologie de Saint-Pouange (rythme ternaire, répétition de « bien » et « bon », allant même jusqu’à blâmer la victime (« il faut que vous ayez mal entendu »)). Suite à l’insistance de Saint-Yves, il se lance dans une parodie d’argumentation

conquête guerrière. Peu à peu, au fil du texte, Don Juan se pose en conquérant de plus en plus mégalomane pour qui l’amour est une façon d’affirmer un pouvoir. Du refus et de la révolte, il passe à l’affirmation et à la jubilation. I-Réquisitoire contre la fidélité et éloge de l’inconstance Don Juan se présente comme un homme libre qui n’admet aucun obstacle à sa liberté. C’est pourquoi la fidélité lui paraît le pire ennemi de l’amour : « La belle chose que de vouloir se piquer d’un faux

conduisent à la victoire contre les Anglais en 1783) la France commence à avoir des idées républicaines, à l'exemple des insurgés d'Amériques qui luttent pour leur indépendance (1776) Il cherche à s’engager dans la voies des réformes, mais se heurte à l’opposition des privilégiés, et n’a pas assez d’énergie pour maintenir au pouvoir des ministres « éclairés », comme Turgot et Necker. De plus, des difficultés financières apparaissent et les paysans commencent à protester contre l'augmentation des impôts;