Réquisitoire Contre Injustice

André-Charles Caron. C’est en 1756 qu’il prend le nom de Beaumarchais.    . Tribunes et tribunauxEvoluant souvent aux limites de la légalité, Beaumarchais n’en affiche pas moins une grande confiance dans la loi. Seul rempart du « citoyen » contre « l’abus » et contre le privilège. L’année 1967 voir le véritable début de sa carrière littéraire avec la représentation à la Comédie Française de sa première comédie Eugénie. Il fait jouer sur la même scène, 3ans plus tard Les Deux Amis. Suite à un démêlé avec

propre, il dit "je" mais aussi au nom de tous les Tahitiens victimes des malveillances des Européens et il use du pronom "on" ou du pronom "nous". Dans sa harangue aux Tahitiens, il déplore leur regret de voir partir les Européens et il met en garde contre leur éventuel retour qui leur serait fatal et dont il faudrait qu'ils se protègent. Le ton discours à l'adresse de Bougainville est véhément, agressif et menaçant, mais c'est moins sous l'effet de la colère que sous celui de l'indignation. C'est

monde. L’Ingénu préfère l’action concrète à une spéculation philosophie vaine que Gordon incarne, et qu’il finit par renier. C- La critique de la hiérarchie sociale La cour et l’administration versaillaise, dans tout leur arbitraire et leur injustice, sont également critiquées par l’Ingénu, notamment par le chapitre IX. Le garde que l’Ingénu a rencontré alors qu’il souhaitait s’entretenir avec le roi, descend dans la hiérarchie et empile les intermédiaires (il faut parler au premier commis de

discours / réalité iv. UN SYSTEME SOUS LE SIGNE D’UNE TRIPLE AMPUTATION… Mutilation physique (les parallélismes) Mutilation sociale et intellectuelle Mutilation spirituelle v. ….ET DE L’ANIMALISATION ( LE DENI D’HUMANITE) F. UN REQUISITOIRE CONTRE LA SOCIETE ESCLAVAGISTE 23 II. LA DEROUTE (PROVISOIRE ? ) DE L’OPTIMISME A. LA MERE : DISCIPLE DE PANGLOSS L’acceptation de l’ordre établi L’oxymore « honneur » / « esclave » Discrédit jeté sur le discours maternel B. LA PRISE

fidélité d’Azora avec son ami Cador Pour vérifier cela, Zadig se fait passer pour moi. Son épouse finit par se consoler dans les bras de son ami, Cador. III Zadig, les ennuques, le roi Zadig s’en va observer la nature. Il se retrouve au milieu d’une injustice, où il est accusé de décrire le chien de la reine et le cheval du roi. Zadig finit par ne payer qu’une simple amende grâce à un fructueux discours. IV Zadig, Arimaze Zadig fréquente des gens de la haute société comme des savants et se sent heureux

sur le crâne, à quoi bon le lire ? […] Un livre doit être la hache qui brise la mer gelée en nous »[2]. Pour lui, une œuvre littéraire doit réveiller la conscience sociale, politique ou historique du lecteur. La littérature est un acte de violence contre cette torpeur dans laquelle nous nous résignons trop souvent. Lire devient alors pour lui, quelque part, un acte de résistance[3]. Mais cette vision de la littérature n’est-elle pas un peu réductrice ? C’est ce que nous allons essayer de voir en nous

-qui s’affiche toute puissante : « un homme en robe de juge, assis sur un trône élevé, dont la dorure éclaboussait tout le tableau » avec Leni, p.141 l’avocat incline sa tête « avec un regard servile » devant le chef de bureau ; « on a pas d’arme contre cette justice, on est obligé d’avouer » p.145 -omniprésente p.140 -discrète : « suppliait qu’on le laisse dans son obscurité » -prétentieuse : « il est énormément vaniteux, comme d’ailleurs tous ici » - il est inutile de se défendre

ont remit en cause l’autorité puis en seconde partie comment les politiques restent traditionnelles. Tout d’abord il y a une remise en cause de l’absolutisme, critique de Louis XIV, rejet de la monarchie absolue. Dans de Denis Diderot il lutte contre la monarchie absolue en effet le champs lexical de la violence est présent: les termes « la force » , «le joug » , « le tyran » révèle une forme de gouvernement rejeté par Diderot. Pour lui « la loi du plus fort » s’apparente d’avantage à une loi

et le procès qui s’ensuit est un plaidoyer du vieil Horace (le père d’Horace) : celui-ci préfère en effet défendre l’honneur de son fils car, par sa victoire, il a conféré à la cité romaine un grand prestige. Horace est donc acquitté malgré le réquisitoire de Valère qui était amoureux de Camille. Britannicus de Racine : Les personnages principaux : Néron : fils naturel d'Agrippine et fils adoptif de l'empereur Claude, Néron est un « monstre naissant » d'après Racine (cf. : Préface). Personnage

grandeur et sa souveraineté. Le texte est ainsi, indirectement, un réquisitoire contre la monarchie absolue telle qu’elle est incarnée par Louis XIV. [La thèse implicite (= il faut réformer le pouvoir monarchique) est représentée par l’image d’un monarque idéal, qui se comporterait exactement à l'inverse de ce qui est dit dans la lettre à propos de Louis XIV. Les arguments sont constitués par la description des incohérences et injustices de ce régime. Le ton dominant est l’ironie, les figures de style