Récit écrit Récit Filmique

construction de l’espace, à la fois dans sa représentation concrète et dans sa signification symbolique ; l’intrigue se prête à une analyse structuraliste avec la mobilisation du schéma narratif ou du schéma actantiel ; l’étude de la construction du récit permettra de repérer l’analepse du Thérèse Raquin 7 chapitre II et les différentes ellipses qui parsèment le roman ; celle de la narration conduira à s’interroger sur l’objectivité du narrateur. En outre, dans Thérèse Raquin, Zola, tout en s’inscrivant

l’écran et de la scène : la lecture d’image, bases du vocabulaire spécifique, présentation et initiation aux enjeux du parcours universitaire en arts du spectacle… Contrôle continu: épreuve 1 : écrit sur table 2h, épreuve 2 : écrit sur table 2h Contrôle global : écrit sur table 2h Deuxième session : écrit sur table 2h ► AR30AM91 1. Méthodologie (18 htd / coef 1) Groupe 1 (12h TD) : Sandrine Berregard / mardi 17h-18h Groupe 2 (12h TD) : Sandrine Berregard / mercredi 8h-9h Groupe 3 (12h TD) :

Quelles traces ? Comment les connaît-on ? Comment les dater ? Doit-on les respecter ? À qui appartiennent-elles ? Il doit être capable d’identifier ces traces que l’historien appelle sources ou documents. Longtemps, celui-ci s’est limité aux traces écrites, mais depuis que le champ de l’histoire s’est étendu à toutes les réalités de la vie humaine, ces traces se sont extraordinairement diversifiées, des fresques laissées sur les parois de Lascaux à la page de la Toile du XXIe siècle, en passant par

à d'autres genres comme le western mais affaiblissent des genres comme le thriller, abandonnés. Du côté hexagonal, c'est la sclérose cinématographique. Face à ce marasme, la génération Truffaut, future Nouvelle Vague, prend son mal en patience et écrit dans Les Cahiers du Cinéma en attendant d'avoir la chance de passer à la réalisation. On accuse des dialogues et une mise en scène d'une banalité affligeante et l'on défend, voire même on réhabilite, des auteurs comme Renoir. Les revues du cinéma font

d’expérience et la puissance de son adversaire, Antigone demeure forte. J’ai ensuite lu Sophocle. J’y ai découvert une Antigone dont la quête de justice est d’autant plus inébranlable qu’elle s’appuie sur des lois qu’elle juge supérieures à celles écrites par les hommes. Antigone parlait tellement à la jeune femme que j’étais, qu’une forte intuition me disait que j’en ferais quelque chose un jour. Quelques années plus tard, alors que j’avais déjà réalisé deux films, j’ai entendu une entrevue donnée

cinématographique * Collaborateur essentiel du réalisateur, le monteur est chargé de reconstituer le puzzle que représente un film en fin de tournage. Il relie de façon harmonieuse et artistique, les images et les sons qui concourent à composer un récit cinématographique. Sous la direction du réalisateur, il donne au film son rythme définitif d’après le découpage technique original. “Le montage est une seconde écriture du film.” Hervé de Luze Il est « l’autre regard », le dernier maillon dans

ET FAUX ALLIES LES PLANS, ATTAQUES ET CONTRE-ATTAQUE QUI FONT LA DYNAMIQUE DU RECIT LES REVELATIONS ET DECISIONS B. UN RYTHME PROPRE LES SCENES COUPEES LES SCENES DE “REVES” L’INTENSITE DES SCENES C. UNE ADAPTATION FIDELE DE L’OEUVRE D’IRA LEVIN 2. LE MELANGE DES GENRES A. D’UN SOAP OPERA A UN FILM D’HORREUR UN DEBUT DE SOAP OPERA UN FILM DE TERREUR B. L’INTRUSION DU FANTASTIQUE DANS LE RECIT UNE CONTAMINATION DU RECIT PAR DES EVENEMENTS DERANGEANTS ET INEXPLICABLES L’ORIGINE DU MAL L’AMBIGUÏTE DE

extraits de l’anthologie ne font pas tous l’objet d’une étude analytique dans la séquence ci-après. Celle-ci entend plutôt diversifier les pratiques de lecture, afin de réconcilier autant que possible certains étudiants avec les textes. Expression écrite et orale – De nombreuses activités sont proposées afin de dispenser compétences et connaissances sans lasser les étudiants, comme le recommande le référentiel des BTS (Bulletin officiel no 7 du 17 février 2005) : travail de recherche documentaire

Les limites de la fictionL’Homme Revue française d’anthropologie  175-176 | juillet-septembre 2005 Vérités de la fiction Les limites de la fiction Nathalie Heinich Édition électronique URL : http://journals.openedition.org/lhomme/29504 DOI : 10.4000/lhomme.29504 ISSN : 1953-8103 Éditeur Éditions de l’EHESS Édition imprimée Date de publication : 15 octobre 2005 Pagination : 57-76 ISBN : 2-7132-2035-1 ISSN : 0439-4216 Référence électronique Nathalie Heinich, « Les limites de la fiction », L’Homme

de voir La scène du champ de seigle où Lol, cachée, observe Tatiana et Jacques Hold est reprise sur un mode lancinant : il s’agit de revivre le même scène pour Lol, de nous la faire re-voir pour MD. Car la volonté de faire voir détermine, dans les récits de Duras, le rapport au lecteur. Le narrateur (et ses avatars) sollicite vivement la pulsion scopique du lecteur, son désir de voir (grâce en particulier à un lexique très « corporel »). Le narrateur se définit fréquemment comme celui qui voit (ou