Royalisme

royaliste (300†). 8 octobre Bonaparte est nommé général en second de l'armée de l'Intérieur. 16 octobre Exécution de Lebon, ex-président du tribunal révolutionnaire d'Arras. 16 octobre La Convention vote l'arrestation de Rovère et Saladin accusés de royalisme. 22 octobre Institution d'une commission chargée de proposer des mesures de salut public. 25 octobre Loi interdisant les fonctions publiques aux parents d'émigrés. 26 octobre Amnistie générale et dissolution de la Convention. 31 octobre Élection

pied haut courbé du Franc », tandis que « le Welche » [le Gaulois] a « les pieds plats » [page 67], selon des conceptions raciales auxquelles se plaisait Balzac). Mais ces « hobereaux » (page 57), ces « émigrés de l’intérieur », atteints « d’un royalisme inintelligent » (page 41), très orgueilleux, très conservateurs (l’introduction du thé par Mme de Bargeton, page 63 - le petit esprit de M. de Bargeton, « l’immensité de son vide intérieur, doucement établi entre l’inoffensive nullité qui comprend

pied haut courbé du Franc », tandis que « le Welche » [le Gaulois] a « les pieds plats » [page 67], selon des conceptions raciales auxquelles se plaisait Balzac). Mais ces « hobereaux » (page 57), ces « émigrés de l’intérieur », atteints « d’un royalisme inintelligent » (page 41), très orgueilleux, très conservateurs (l’introduction du thé par Mme de Bargeton, page 63 - le petit esprit de M. de Bargeton, « l’immensité de son vide intérieur, doucement établi entre l’inoffensive nullité qui comprend

troubles religieux de son époque : c’est l’époque des guerres de religions. Il est catholique mais il est suspecté d’Hérésie Il va servir Henry III et le duc d’Anjou qui incarne un courrant pas très royaliste. Il se range finalement derrière le royalisme monarchique qui tente de sauver le monarchisme contre les protestants et les ultras catholiques. En 1566 il écrit la « Méthode pour faciliter la connaissance de l’Histoire » Ce qui fait sa gloire c’est en 1576 les six livres de « la République

compromis. Il y a un retour en arrière mais pas de contre révolution, les thermidoriens ne veulent pas revenir à une monarchie. Il faut maintenir la république et la sauver. La Convention souhaite éviter deux pièges ; éviter de retomber dans le royalisme et dans le jacobinisme. Le fil directeur est d' adopter une république bourgeoise qui va toute à la fois tourner le dos aux classes populaires et éviter tout compromis aux royalistes. Cette réaction thermidorienne est une réaction politique, il détruise

des pouvoirs. Plusieurs étapes à la construction de cet étatisme. 1er janvier 1793, on crée le comité de sureté générale, il est chargé d'assurer la sureté, la sécurité donc la lutte contre toutes formes de complots, {text:soft-page-break} de royalisme ou de trahison. Création du comité de salut public, c'est à lui que revient le gouvernement révolutionnaire. Son organisation et ses compétences sont les suivantes: Ce comité est composé de 9 membres qui sont renouvelés mensuellement par la convention

pied haut courbé du Franc », tandis que « le Welche » [le Gaulois] a « les pieds plats » [page 67], selon des conceptions raciales auxquelles se plaisait Balzac). Mais ces « hobereaux » (page 57), ces « émigrés de l’intérieur », atteints « d’un royalisme inintelligent » (page 41), très orgueilleux, très conservateurs (l’introduction du thé par Mme de Bargeton, page 63 - le petit esprit de M. de Bargeton, « l’immensité de son vide intérieur, doucement établi entre l’inoffensive nullité qui comprend

Léopoldine et l'échec des Burgraves une raison de sa désaffection pour la création littéraire[31]. D'autres y voient plutôt l'attrait pour la politique, qui lui offre une autre tribune[32]. Action politique Élevé par sa mère bretonne dans l'esprit du royalisme, il se laisse peu à peu convaincre de l'intérêt de la démocratie (J'ai grandi, écrit-il dans le poème « Écrit en 1846 »[33] en réponse à un reproche d'un ami de sa mère). Selon Pascal Melka[34], Victor Hugo a la volonté de conquérir le régime pour

spéculation pour les denrées de base, et le mépris de la propriété. La loi des maximums, qui provoque le mécontentement des commerçants, est donc abrogée par les thermidoriens, laissant libre cours à la spéculation.               Il existe encore un royalisme en France, contre lequel les thermidoriens luttent, notamment parce qu’ils sont pour la plupart régicides et que les biens du clergé et des nobles ont été nationalisés. C’est pour se prémunir des royalistes émigrés que sont mises en place des mesures

monsieur de Chessel n’en savait rien, et l’a promené dans Frapesle. — Vous avez fait une imprudence, me dit-il, quoique à votre âge !... Et il hocha la tête en signe de regret. La conversation fut reprise. Je ne tardai à reconnaître combien son royalisme était intraitable, et de combien de ménagements il fallait user pour demeurer sans choc dans ses eaux. Le domestique, qui avait promptement mis une livrée, annonça le dîner. Monsieur de Chessel présenta son bras à madame de Mortsauf, et le comte