Royalisme

Convention exercent toujours l'ensemble des pouvoirs. Il y a néanmoins atténuation de la Terreur, tandis que la convention, purgée de ses éléments extrémistes, se recentre sur ses éléments bourgeois, comme l'illustre la devise « ni terreur, ni royalisme» et la préparation de la Constitution de l'an III, adoptée à la place de la Constitution de l'an I, par peur des effets potentiels de cette dernière. I – Le démantèlement de la dictature La chute de Robespierre et la fin de la dictature sont

les EG représentant le peuple doivent jouer un rôle de 1er ordre, il doivent se partager le pouvoir avec le roi. Hotman et ses partisans proposent une véritable théorie de la monarchie tempéré. Les monarchomaques s'efforcent de concilier le royalisme et le contractualisme. 2) La pensée de Ligueurs. La mort d'Henry III, chef des Bourbons, la perspective de l'accession d'un protestant au trône fait polémique et se double d'une guerre des idées. Comme celle des Calvinistes, la pensée de Ligeurs

cette constitution sera déçu car elle disparait 4ans plus tard après avoir montré quelques limites.SECTION II: L’ÉVOLUTION DU RÉGIME DIRECTORIALE: LES RAISONS DE L’ÉCHECEn 1795 la bourgeoisie directoriale ne redouté pas seulement la démocratie et le royalisme. Cette bourgeoisie désiré se protéger contre l’omnipotence (la toute-puissance comme dieu) de l’État. En multipliant et en équilibrant les pouvoirs, la constitution avait disposé face à face 2 pouvoirs: le directoire

les masses urbaines, le prolétariat, et non plus seulement les campagnes traditionnalistes et les notables d'Ancien Régime. Mais l'idéologie de Maurras demeurait fondamentalement réactionnaire; elle avait conservé de ses origines légitimistes un royalisme de principe et une référence à la religion qui paraissaient de plus en plus anachroniques entre les deux guerres; Maurras était un intellectuel et pas un activiste, et puis l'Action française avait été à peu près incapable de recruter dans des milieux

Lavangurge, admiI1'istrateur de la marine, a été guillotiné aux acclamations d'un peuple immense... Les arrestations continuent et rai pris le parti de ne pas relacher aucun ci-devant noble; la guillotine a fah justiee d' un pretre coupable de royalisme, aujo urd' hui y monte une religieuse (1). 1) II faut faire la part sans doute a la phraséologie du temps; mais il osi incoutestable que jamais un systeme de gouvemement ne s' é~ait déployé dans des conditionsplus sanglantes; et c'était une chose

Chateaubriand : il donna sa démission en prétextant une maladie de sa femme. Il séjourna à Fervacques chez sa nouvelle maîtresse, Mme de Custine, dans le lit de laquelle a-t-il dit : « Je gagnai – comme on attrape la syphilis dans des draps contaminés - le royalisme que je n’avais pas naturellement. » Mais, déjà, il rencontrait Natalie de Laborde, comtesse de Noailles, tandis que son épouse soudain quittait Fougères pour s’inquiéter de la vie qi’il menait à Paris. Sa sœur Lucile fut victime d’une crise nerveuse

des Burgraves une raison de sa désaffection pour la création littéraire37. D'autres y voient plutôt l'attrait pour la politique, qui lui offre une autre tribune38. Action politique Élevé par sa mère nantaise (Sophie Trébuchet) dans l'esprit du royalisme, il se laisse peu à peu convaincre de l'intérêt de la démocratie (J'ai grandi, écrit-il dans le poème « Écrit en 1846 »39 en réponse à un reproche d'un ami de sa mère). Selon Pascal Melka40, Victor Hugo a la volonté de conquérir le régime pour

l’apprentissage va se faire à la base, par l’obtention de mandats locaux d’importance réduite, en devenant maire d’une petite commune par exemple. Comment obtenir un mandat local ? Soit en obtenant une investiture politique après avoir manifester son royalisme et son dévouement envers un parti. Les ressources politiques sont faibles dans ce cas de figure. Elles sont liées à la confiance accordée par l’organisation. Soit, en ayant des ressources personnelles plus importantes qui lui confèrent une notoriété

Il tenta d’établir un gouvernement des esprits, de susciter l’idolâtrie au profit du chef charismatique. Il se veut au-dessus de la mêlée et entend opérer un rassemblement national. Sorte de centrisme plébiscitaire et populaire, qui s’oppose au royalisme et au jacobinisme. Il cherche à satisfaire les modérés des deux blocs. Il cumule la légitimité traditionnelle (le sacre) et la légitimité populaire. Cette tentative constitue un échec car une époque ne choisit pas sa légitimité. Mais Napoléon fonde

oublier que les hommes qui vont former le nouveau personnel politique ont voter dans leur immense majorité la mort du roi donc l’instauration d’une république conservatrice et à l’ordre du jour et après s’être prémunie a la fois du jacobinisme et du royalisme en utilisant des rouage jacobin, les termidoriens commémorent en janvier « la juste punition du dernier roi des français » et ils vont jeter les bases d’un nouveau régime. La C° de l’an 1 est donc inadapté et pour asseoir la république sur des fondements