Rousseau Réprimer Ses Passions

suis esclavage d’autrui ?) ou interne ( suis-je libre face à une passion qui me dévore comme celle du jeu ?). Référence : Hobbes ( De cive, s° 2, ch. IX, § 9) « Communément on tient que la liberté consiste à pouvoir faire impunément tout ce que bon nous semble et que la servitude est une restriction de cette liberté ». De quelle contrainte s’agit-il ? S’exerce-t-elle du dehors ( ex. la captivité) ou du dedans ( ex. les passions) ? Il convient de distinguer : 1. ≠°contrainte externe et contrainte

seulement. Louis-Napoléon Bonaparte élu en 1848. 1851, Coup d’état de Napoléon. Il dissout l’Assemblée nationale, restaure le suffrage universel, rédige une nouvelle Constitution et organise un plébiscite pour ratifier sa prise de pouvoir. L’armée réprime durement les insurgés et arrête les opposants dont une dizaine de milliers sont déportés en Algérie et en Guyane. A partir de 1860, un certain libéralisme politique s’installe progressivement. Accorde plus de libertés à la presse et aux assemblées

l’ignorance qui se connaît ignorante est le premier stade de la lucidité »). Les préjugés, les opinions, les stéréotypes sont ces pensées toutes-prêtes que l’on croit sienne mais qui font agir, dire et penser contre le gré de sa conscience. De même, les passions (états affectifs excessifs : dévotion, haine, jalousie, ambition, avarice, admiration… intérêt exclusif porté à un objet) agissent contre le pouvoir de notre conscience, souvent impuissante face à leurs débordements. Mais on peut trouver aussi

-le progrès technique transforme la technique(et pas l'homme) -La comportement humain est plus passionnel que raisonnable, on ne fait pas beaucoup de progrès au niveau de la morale -les intérêts de la rationalité peuvent être mis au service des passions humaines (armes, nazisme) L'homme peut être amoral, mentir et trahir. IV] L'activité artistique. Comment définir l'activité artistique? Art, c'est ars en latin, renvoie au mot artistique mais c'est aussi techné en grec qui renvoie à la

politique de la morale (couple vitrù -fortunà) et en jette les fondements scientifiques du moins tente de la rationaliser. La question du pouvoir s’arrime dès lors à une perspective anthropologique fondée sur les affects et les passions humaines afférentes du pouvoir. D’où la question que se pose Machiavel : « Vaut-il mieux pour le Prince d’être aimé que craint, ou craint que d’être aimé  ? » ( cf.Le Prince, ch.XVII ) Réponse : pour Machiavel vaux mieux être craint que d’être

décisive sur la littérature française. La Renaissance est une sorte de révolution dans les poquées philosophiques, religieuses, politiques, sociales et littéraires. Elle marque dans tous les domaines une rupture avec le monde médiéval, et suscite une passion pour les découvertes et pour les théories scientifiques. Cette révolution intellectuelle et technique entraînera une transformation complète des mœurs et, en définitive, du monde. Au point de vue littéraire, la Renaissance se caractérise par deux

sémantique est, de ce point de vue, éclairante : tout se passe comme si le populisme venait exalter l'idée simple de peuple pour mieux dénoncer sa défail- -226- LE POPULISME ? lance comme communauté politique ins tituée. On avait retenu de Rousseau et de la philosophie contractualiste que la démocratie avait pour propos d'instituer un peuple de citoyens et que, dans cette voie, la participation politique pourrait s'exercer avec d'autant plus de succès que les individus accepteraient d'être

nous rappelle que toute religion nous conduit nécessairement à nous poser la question suivante: pourquoi avons nous besoin de croire? La foi et le pouvoir religieux ne sont pas condamnés à la déraison, le fanatisme est une forme de passion religieuse et comme toutes passions elle peut être aliénante, aveuglante et violente. La question religieuse ne pose pas seulement le problème de la vérité mais 1 aussi de la liberté et de la paix. Tout le problème est donc celui de l’éducation philosophique: « penser

l’observation d’une commune nature humaine dans la manière de définir le bien et le mal et donc d’interpréter la qualité morale de nos actions, peut recevoir le même type de fondement empirique en se référant cette fois-ci à la raison (et non plus à la passion, au sentiment). On assimile en effet souvent le comportement moral au comportement raisonnable : agir moralement c’est, suppose-t-on, agir sous la conduite de notre raison, c’est-à-dire conformément à ce que notre raison nous fait connaître comme

: comment persuader d'un sentiment feint ou au moins travesti, l'ambiguïté de l'amour dont Valmont se défend compliquant encore l'approche. « Les Liaisons sont une mythologie de la volonté » écrit André Malraux Ce livre qui ne parle que de passions, l'ignore presque toutes" Malraux «La nature n'a accordé aux hommes que la constance, tandis qu'elle donnait aux femmes l'obstination.» [ Pierre Choderlos de Laclos ] «Notre raison, déjà si insuffisante pour prévenir nos malheurs, l'est encore