Rousseau La Démocratie Un Régime Pour Les Dieux

CM: HISTOIRE DE LA PENSEE JURIDIQUECM: HISTOIRE DE LA PENSEE JURIDIQUE 01/10/2020 Eval : QCM a distance Qu’est-ce que le droit ? Le droit ne se retrouve pas seulement dans les codes. Ex, l’apport de la dec du 16jui 1971 le C.C reconnait le bloque de constitutionnalité. Le tribunal de Buremberg de 1960 (jugement des crimes Nazis) crée le crime contre l’humanité. L’ointérêt est de montrer que la définnition du droit a évoluer, l’expérience historique peut être intéressant pour comprendre le droit

(Weber) 5 C. Les différents types de régimes politiques 5 1. Le meilleur régime est celui où le philosophe est roi (Platon) 5 2. Les bonnes constitutions sont celles qui visent l’intérêt commun (Aristote) 6 3. Le meilleur régime dépend de circonstances (Montesquieu) 7 II. Le contrat ou la guerre : deux modèles pour penser l’Etat 7 A. Le contrat et la justice 7 1. Les lois constituent un contrat implicite (Platon) 7 2. La théorie du contrat social (Rousseau) 8 3. Le contrat social : une fiction

est nécessaire d’apprécier les sources qui peuvent être volontaires ou involontaires. En Histoire les vérités sont toujours provisoires. Il y a une laïcisation progressive du droit sous l’Antiquité et de nouveau à une laïcisation sous l’ancien régime. Les institutions Publiques, ce sont surtout les sociologues qui proposaient ce terme en considérant qu’il était varié. Pour les juristes c’est un ensemble de règle relative à un même objet et aux mêmes fonctions qui constitue un ensemble coordonnée

revanche, de nier l’importance de la référence que fait Aristote à la nature6, dans l’ensemble de sa philosophie morale et politique (cf. Pol. I, et la définition de l’homme comme animal politique « par nature » ; cf. EN V 10 : le droit naturel et le régime le meilleur « par nature »). Mais la notion de « nature », telle qu’Aristote la conçoit, ne peut pas plus servir de norme ou de modèle à « suivre » (encore moins est-elle « une prison dont on ne saurait s’évader »7) 1/ La « nature » politique de l’homme

en valeur ». On peut mettre en valeur un jardin mais aussi l’esprit. Depuis Platon et le mythe de Prométhée, on admet que l’homme est un être de culture. Prométhée, constatant que l’homme était moins bien pourvu que les autres animaux, a dérobé aux Dieux le feu et l’art politique, symboles de la culture.Ce forfait va permettre aux hommes de survivre malgré leur faiblesse constitutionnelle. Nature et culture Une très longue tradition philosophique oppose la nature et la culture, d’abord dans l’ensemble

ce qui lie ou relie. Mais que lie-t-elle ainsi ? Ce lien n’est-il qu’un lien de transcendance qui relie les hommes aux dieux ou bien la religion est-elle la condition nécessaire du lien qui unit les hommes eux-mêmes ? Autrement dit, le lien religieux a-t-il quelque chose en partage avec les liens politiques et sociaux ou bien leur est-il étranger ? En nous reliant aux dieux, la religion est-elle vraiment ainsi ce qui nous délie de tout contrat social ? Le lien qu’elle inaugure est-il une simple

(Lettre de Gargantua à Pantagruel) - Il faut apprendre les langues, les arts libéraux, les valeurs. (L'abbaye de Thélème) - Le progrès des connaissances donne une vision plus étendue du monde et va permettre à l'Homme de s'élever à la position des dieux. L'Homme va pouvoir comprendre puis maitriser son monde sans Dieu. Anthropocentrisme optimiste. (Pantagruelion) - La cause fondamentale des misères humaines est l'obscurantisme, l'ignorance (scolastique). Montaigne - Tête bien faite plutôt qu'une tête

par la loi (Athènes à la fin du VIIe jusqu'au VIe siècle a.n.è.) C. Le fondement militaire de la Cité : une armée de citoyens-soldats D. Le fondement philosophique de la Cité : la Cité « cosmos », monde à la mesure de l'Homme II. L'avènement de la démocratie à Athènes (VIe-Ve siècle a.n.è.) A. À l'intérieur de la Cité : l'évolution politique d'Athènes (VIe-Ve siècle a.n.è.) B. À l'extérieur de la Cité : les guerres et la rupture d'équilibre dans le monde grec (Ve-IVe siècle a.n.è.) III. La réflexion

athéniens à Montesquieu, d'Aristote à Rousseau, personne ne songeait à faire de l'élection l'instrument démocratique par excellence; démocratie n'équivalait pas à gouvernement représentatif, c'est le tirage au sort qui paraissait le mieux apte à respecter l'égalité stricte des candidats. Que s'est-il passé au tournant du XVIIIe siècle, en Europe et aux États-Unis, pour que se renverse cette conception multiséculaire et pour qu'advienne l'idée qu'une démocratie est, par essence, un gouvernement

notamment celui qu'il a fait en Angleterre. TOCQUEVILLE (19ième) : il est l'auteur de De la démocratie en Amérique (une oeuvre en 4 tomes). Il a rédigé cet écrit sous la restauration lorsque la pensée libérale était la pensée dominante. ** Pour les libéraux la démocratie est dénuée de conséquence politique. Tocqueville part alors en Amérique et revient de son périple avec la conviction que la démocratie a des répercutions sur la société. Sa croyance se fonde sur les réalités du système politique