Rousseau Et Les Fables De La

plaire ». On privilégie l’argumentation indirecte.·         Apologue : récit plaisant dans lequel l’auteur distille une morale au lecteur. La fable est une forme possible de l’apologue. 1-      Les Fables de la Fontaine Il écrit selon la doctrine classique de l’imitation. Il imprime à ses fables un style qui lui est propre et qui a fait leur succès. Il sait rendre un récit particulièrement attractif pour le lecteur afin de rendre la morale finale d’autant plus efficace. La morale est souvent

plaire ». On privilégie l’argumentation indirecte. · Apologue : récit plaisant dans lequel l’auteur distille une morale au lecteur. La fable est une forme possible de l’apologue. 1- Les Fables de la Fontaine Il écrit selon la doctrine classique de l’imitation. Il imprime à ses fables un style qui lui est propre et qui a fait leur succès. Il sait rendre un récit particulièrement attractif pour le lecteur afin de rendre la morale finale d’autant plus efficace. La morale est souvent au

Oral : Le loup et l’agneau Jean de La Fontaine est un auteur classique du XVII ème siècle. Connu notamment pour ses nombreuses fables. La fable est un récit qui doit plaire et instruire à la fois. En 1668, La Fontaine fait paraître le premier recueil de ses Fables d’où est extrait ‘’Le Loup et l’Agneau’’ qui est une réécriture d’Ésope. Le Loup et l’Agneau comporte toutes les caractéristiques de l’apologue, mais présente également une structure particulière, étant donné que la morale se trouve

philosophiques, plus concrets, tels les faits de société, comme le pouvoir, la guerre, la misère, la religion… Or, la littérature et l’art en général choisissent paradoxalement des registres plaisants pour traiter de ces sujets sérieux : La Fontaine dans ses fables ou Molière dans ses comédies prennent le parti de « plaire » pour mieux conduire leur réflexion, argumenter et « instruire ». 2. L’humour pour divertir Le fabuliste s’en explique : « Une morale nue apporte de l’ennui ». Car l’humour, par son côté

plus concrets, tels les faits de société, comme le pouvoir, la guerre, la misère, la religion... Or, la littérature et l'art en général choisissent paradoxalement des registres plaisants pour traiter de ces sujets sérieux : La Fontaine dans ses fables ou Molière dans ses comédies prennent le parti de « plaire » pour mieux conduire leur réflexion, argumenter et « instruire ». 2. Le rire pour divertir Le fabuliste s'en explique : « Une morale nue apporte de l'ennui ». Car le rire, par son côté

conte philosophique relèvent de l'efficacité argumentative. Tout d'abord nous étudierons les avantages de l'argumentation indirecte puis nous verrons quelles en sont les limites. La Fontaine dans sa fable " le pouvoir des fables ", fable 4 du livre 8 des Fables écrit " Si Peau d'Ane m'était contée / J'y prendrais un plaisir extrême ". En effet, les hommes aiment à entendre des histoires qui comme les contes pour enfants comportent des leçons ou des critiques. Nous pouvons ainsi nous demander

pamphlet, (Voltaire, De l'horrible danger de la lecture ) ; la critique littéraire ; l'article de presse ; le billet d'humeur ; l'essai, ( Montaigne, Les Essais ) ; la fable, ( La Fontaine, Les Fables ) ; le dialogue et le monologue au théâtre, ( Molière, Le malade imaginaire ) ; l'autobiographie, ( Rousseau, Les confessions ). Il existe six principales figures d'ironie, qui sont : (...) Points Abordés :  l'antiphrase : dire le contraire de ce que l'on pense, en le montrant d'une manière évidente

beaucoup été utilisée durant le Siècle des Lumières par les philosophes qui essayaient de faire passer un message au peuple à travers leurs textes engagés. Pendantlongtemps des auteurs philosophiques comme Montesquieu, Voltaire, Diderot ou encore Rousseau ont écrits des textes philosophiques dans le but de se moquer, d’amuser les lecteurs et de dénoncer desinjustices. Mais pourquoi avoir utilisé cette forme d’argumentation pour faire passer des messages au peuple ? Il y avait-il un danger pour ces

côté fou et inhabituel du discours théologique, mais aussi des questions absurdes. De plus, dans la lettre de Gargantua de Rabelais, il y a une critique de l’astrologie. Par ailleurs, du côté des Lumières, dans l’Inégu de Voltaire, la critique des fables mythologiques et de la théorie du pêché est présente. Un homme confiant en la raison est « un homme dont l’analyse critique s’étend à tous les domaines y compris la foi religieuse », d’après Diderot dans « Raison ». L’importance de la connaissance

de la Raison. Autrement, est ce que c’est la fantaisie qui perturbe la dissolution de la Raison dans les fables Delafontaine et est ce qu’elle empiète négativement sur l’idée que reçoit le lecteur. Et fondamentalement, est ce que la fantaisie est vraiment nécessaire, ou est-ce que l’on peut plutôt s’en passer pour marquer la priorité de la Raison et mener à bien l’objectif argumentatif des fables ? Ou inversement, est ce que la Raison ne peut exister que sans la fantaisie ?Nous commencerons par montrer