Rousseau De L Esclavage

une vie bohème et littéraire faite de petits métiers. Il traduit des ouvrages anglais de médecine[->2] et de philosophie[->3], qui le poussent à rédiger ses 'Pensées philosophiques[->4]' en 1746, où il démontre déjà son caractère athée[->5]. Ami de Rousseau et d'Alembert[->6], il accepte de se charger avec ce dernier de l'élaboration de 'L' Encyclopédie[->7]' en 1747. Ce travail occupera vingt ans de sa vie, mais ne l'empêchera pas d'écrire ses propres réflexions[->8]. La publication en 1749 de sa 'Lettre

celui qui agit par commandement et l’homme libre celui qui agit selon son bon plaisir. Cela cependant n’est pas absolument vrai, car en réalité être captif de son plaisir et incapable de rien voir ni faire qui nous soit vraiment utile, c’est le pire esclavage, et la liberté n’est qu’à celui qui de son entier consentement vit sous la seule conduite de la Raison. Quant à l’action par commandement, c’est-à-dire l’obéissance, elle ôte bien en quelque manière la liberté, elle ne fait pas sur-le-champ un esclave

se voit servir l'intérêt commun. On comprend alors la fort belle formule de Rousseau : « L'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté. » La liberté n'est pas le caprice, mais le respect des lois que l'on se donne à soi-même et qui nous préservent de subir le caprice d'autrui. Cependant, il se peut qu'un individu désobéisse à la loi. De quel droit le punir ? Est-ce légitime ? Pour comprendre la réponse de Rousseau, il faut comprendre le mécanisme même qui pousse u individu à désobéir. En

- LEIBNIZ selon lequel notre monde est le meilleur des mondes puisque Dieu dans sa suprême sagesse n’a pu manquer de choisir le meilleur ; aussi, si le mal existe, c’est qu’il a été voulu par Dieu et donc que le mal est une espèce de bien. - ROUSSEAU et son idée d’une Providence (action continue et permanente de Dieu dans la vie des hommes) bienfaisante. II « Il faut cultiver notre jardin » Cette conclusion de Candide a fait couler beaucoup d’encre. Voici ses différentes interprétations

travail n'est pas toujours un choix , ex : esclavage - le travail entraine des inégalités sociales , en fonction des niveaux d'études B/ mais aussi une activité décliné par l'H - L'H travaille pour ne plus avoir à travailler : la retraite , ex : opposition actuelle des citoyens français à l'augmentation de l'âge des retraites Hegel " l'Homme se pose en s'opposant" l'homme est un être dialectique - L'H n'est pas travailleur de nature , Rousseau dans Essai sur l'origine des langues - L'H

vers Angleterre en 1726 -1750 exile en Allemagne -1759, écrit Candide -1761, les disputes avec Rousseau commencent puisque Voltaire est un théiste et Rousseau est un croyant 1) Voltaire pessimiste qui blâme Dieu pour tous les maux du monde 2) Rousseau optimiste qui blâme la société pour les maux. Ex : L’homme nait bon, la société le corrompt. -Meure en 1778. Vision optimiste de Leibniz et Rousseau : Dieu a crée le monde selon la conception du meilleur monde possible, le bien pour le bien et

à faire , et ceux à quoi on doit opérer un sacrifice. Et il est donc primordial de savoir ce que l'on peut faire ou non en instaurant quelques règles de vie au sein d'une société , règles que Jean-Jacques Rousseau appellera le Contrat social dans son œuvre du même nom. Le principe de Rousseau est qu'il y ait un équilibre dans le respect des conditions des individus. En somme si l'homme ne nécessite pas d'être gouverné par un roi ou une quelconque autorité il doit s'en affranchir. De même un esclave

force. La violence : « vous enchaîne, vous égorge », mise en avant du symbole de la supériorité guerrière des Européens « le fer qui pend au côté de celui-là », « cette lame de métal », l’épée. La privation de liberté : « le titre de notre futur esclavage », « esclaves », « tu veux nous asservir », « défendre nitre liberté ». un vol violent et un asservissement pour des buts néfastes : « vous assujettir à leurs extravagances et à leurs vices », « aussi corrompus, aussi vils, aussi malheureux qu’eux

contrainte.Deuxièmement, le fait d’obéir à des lois, à des règles ne veut pas forcément dire que nous sommes esclaves de notre liberté, être autonome, c'est aussi obéir à la loi qu’on s’est donné comme nous le dit Rousseau dans du contrat social « L’impulsion du seul appétit est esclavage et l’obéissance à la loi qu’on s’est prescrite est liberté. » de plus être libre ne veut pas forcément dire faire ce que l’on veut en effet être libre, c'est aussi obéir à la raison. Spinoza nous dit « agir en fonction

génie féminin « il est grand temps ». Structure de l’extrait : 1. Thèse 2. Arguments et exemples 3. Conclusion. Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, J.-J. Rousseau, 1755 Argumentation directe : ce texte est extrait d’un essai à caractère philosophique. Rousseau est un des philosophes des Lumières, comme Voltaire et Diderot. Il développe dans cet essai le mythe du bon sauvage, à savoir qu’au début de l’humanité, l’homme était naturellement, foncièrement