Romancero

refont l'Europe. Il abonde à flots dons les conteurs, dans les chroniqueurs, dans les romanciers. On le voit s'étendre du sud au septentrion. Il se joue dans les rêves des nations tudesques, et en même temps vivifie de son souffle ces admirables romanceros espagnols, véritable Iliade de la chevalerie. C'est lui, par exemple, qui, dans le roman de la Rose, peint ainsi une cérémonie auguste, l'élection d'un roi : Un grand vilain lors ils élurent, Le plus ossu qu'entr'eux ils eurent. Il imprime

qui refont l’Europe. Il abonde à flots dons les conteurs, dans les chroniqueurs, dans les romanciers. On le voit s’étendre du sud au septentrion. Il se joue dans les rêves des nations tudesques, et en même temps vivifie de son souffle ces admirables romanceros espagnols, véritable Iliade de la chevalerie. C’est lui, par exemple, qui, dans le roman de la Rose, peint ainsi une cérémonie auguste, l’élection d’un roi : Un grand vilain lors ils élurent, Le plus ossu qu’entr’eux ils eurent. Il imprime surtout

refont l'Europe. Il abonde à flots dons les conteurs, dans les chroniqueurs, dans les romanciers. On le voit s'étendre du sud au septentrion. Il se joue dans les rêves des nations tudesques30, et en même temps vivifie de son souffle ces admirables romanceros espagnols, véritable Iliade de la chevalerie. C'est lui, par exemple, qui, dans le roman de la Rose, peint ainsi une cérémonie auguste, l'élection d'un roi : Un grand vilain lors ils élurent, Le plus ossu qu'entr'eux ils eurent. Il imprime surtout

clipa. “Câte mândre plăceri/ a visat gândul meu!/ Şi pe drept le numesc visate/ fiindcă visam fiind treaz./ În noaptea anilor/ viaţa mi se înserează,/ căci viaţa este soarele unei zile/ care apune imediat după zori”, se lamentează Valdivielso în Romancero espiritual. “E viaţa noastră un vis, o petrecere,/ o deşartă încântare, ce dispare/ oricât de statornică părea-n a ei trecere”, scrie Cervantes în Galatea. Visul trimite la aroma fugitivă a amintirilor bucuriilor trecute, ce nu mai pot fi recuperate

modernes 523-529 (1978): 57-68. Messenger, William. "Conrad and His 'Sea Stuff'." Conradiana 6 (1974): 3-18. Michelet, Jules. The Sea. trans. W. H. Davenport, London: T. Nelson & Sons, 1875. Miletich, John. "The Mermaid and Related Motifs in he 'Romancero': The Slavic Analogy and Fertility Myths." Romance Philology 39 (1985): 151-169. Miller, Lewis. "On Keeping Watch: Robert Frost and Marianne Moore." CLA Journal 27 (1984): 411-418. Milward, Peter. "Biblical Imagery of Water in 'The Wreck of the

elle-même, il n'en parlera pas. Il accepte les critiques qui en ont été faites, les plus sévères comme les plus bienveillantes, parce qu'on peut profiter à toutes. Il n'ose se flatter que tout le monde ait compris du premier coup ce drame, dont le romancero général est la véritable clef. Il prierait volontiers les personnes que cet ouvrage a pu choquer de relire Le Cid, Nicomède, ou plutôt tout Corneille, et tout Molière, ces grands et admirables poètes. Cette lecture, si pourtant elles veulent bien

chaîne Rehausse, ô ma souveraine, Ton cou blanc comme le lait, Je ferai ce qui te plait, Si tu veux bien que je prenne Ton collier pour chapelet. Octobre 1828. 111 XXX ROMANCE MAURESQUE Dixôle : - dime, buen hombre, Lo que preguntarte queria. ROMANCERO GENERAL. Don Rodrigue est à la chasse. Sans épée et sans cuirasse, Un jour d'été, vers midi, Sous la feuillée et sur l'herbe Il s'assied, l'homme superbe, Don Rodrigue le hardi. La haine en feu le dévore. Sombre, il pense au bâtard maure, À son

elle-même, il n’en parlera pas. Il accepte les critiques qui en ont été faites, les plus sévères comme les plus bienveillantes, parce qu’on peut profiter à toutes. Il n’ose se flatter que tout le monde ait compris du premier coup ce drame, dont le romancero général est la véritable clef. Il prierait volontiers les personnes que cet ouvrage a pu choquer de relire le Cid, Nicomède, ou plutôt tout Corneille, et tout Molière, ces grands et admirables poètes. Cette lecture, si pourtant elles veulent bien

elle-même, il n’en parlera pas. Il accepte les critiques qui en ont été faites, les plus sévères comme les plus bienveillantes, parce qu’on peut profiter à toutes. Il n’ose se flatter que tout le monde ait compris du premier coup ce drame, dont le Romancero general est la véritable clef. Il prierait volontiers les personnes que cet ouvrage a pu choquer de relire le Cid, Don Sanche, Nicomède, ou plutôt tout Corneille, et tout Molière, ces grands et admirables poètes. Cette lecture, si pourtant elles

et de rhétorique verbeuse dans ce poème au ton hugolien par ses images, ses exagérations, sa phraséologie. Il est visible qu’il avait lu ‘’La légende des siècles’’ (il s’inspira des virulentes apostrophes qu’adressent aux rois le Cid [dans ‘’Le romancero du Cid’’], Elciis [‘’Les quatre jours d’Elciis’’], ou un voleur [dans ‘’Le cercle des tyrans’’]) ; mais il avait lu aussi ‘’Les châtiments’’ (dans l’édition clandestine imprimée en Belgique) et sa colère républicaine atteignait par ricochet Napoléon