Rodrigue Héros épique

et représentation. IDans les quatre textes proposés, le récit théâtral a une fonction dramaturgique précise : il permet d’évoquer ce que les bienséances ou les contraintes du théâtre même empêchent de représenter directement sur la scène. Ainsi, Rodrigue évoque sa bataille contre les Maures dans un récit, car celle-ci ne saurait être représentée sur scène : les conventions du théâtre classique français interdisent le changement de lieu et la représentation de scènes de foule, contrairement à la dramaturgie

et triste. Cet état d'esprit ne durera pas longtemps ! · Le texte s'achève sur le ton épique : la suite d'impératifs, les anaphores violentes poussent Pyrrhus à précipiter son crime (son mariage sacrilège) et sa propre mort. Les termes employés expriment la grandeur : v.26,« la foi », 27, « majesté sacrée » des « Dieux », v.29, « serments ». La gradation finale rappelle l'appel aux armes de Don Diègue à Rodrigue (« Va, cours, vole et nous venge ! ») dans le Cid de Corneille. Ce rappel ironique montre

: • La réplique : elle constitue la réponse d’un personnage à l’autre. • La repartie : c’est une réplique brève qui répond à une attaque. • La tirade : c’est une réplique généralement longue qui argumente sur un sujet dans le registre lyrique ou épique. • La stichomythie : c’est un dialogue où les personnages se répondent vers par vers et qui donne un style vif à l’échange. Le monologue. Il manifeste la présence d’un personnage seul sur scène, qui se parle à lui-même, ou éventuellement à quelqu’un

et triste. Cet état d'esprit ne durera pas longtemps ! · Le texte s'achève sur le ton épique : la suite d'impératifs, les anaphores violentes poussent Pyrrhus à précipiter son crime (son mariage sacrilège) et sa propre mort. Les termes employés expriment la grandeur : v.26,« la foi », 27, « majesté sacrée » des « Dieux », v.29, « serments ». La gradation finale rappelle l'appel aux armes de Don Diègue à Rodrigue (« Va, cours, vole et nous venge ! ») dans le Cid de Corneille. Ce rappel ironique montre

être classée comme tragédie. Dans cette pièce, Corneille s'inspire d'un épisode de l'histoire romaine: l'empereur Auguste découvre que Cinna, qu'il aimait et protégeait comme un fils, a dirigé un complot visant à l'assassiner. Cinna, un peu comme Rodrigue dans Le Cid, agissait surtout par amour: la femme qu'il aimait, Emilie, dont le père avait été exécuté sur l'ordre d'Auguste pour des raisons politiques, avait chargé Cinna de sa vengeance. On attendrait donc, après que la censpiration est dévoilée

ÉPOPÉES : Ex : Lancelot ou le chevalier de la charrette par C. de Troyes : Lancelot doit réaliser de multiples prouesses et sacrifices pour délivrer Guenièvre que Méléagant a enlevée. Sacrifice = acte héroïque. Thème récurrent dans les textes épiques du Moyen-âge : hô/chevalier au service de la femme, se sacrifie. Valorisant, positif, symbole de courage. B) En famille Je pense que des parents font souvent passer le bonheur de leurs enfants avant le leur et n’hésitent pas à se sacrifier (contraire

genres théâtraux : La tragédie qui est un genre classique et noble au XVIIème siècle. Elle met en scène des personnages appartenant à l'aristocratie ou à la mythologie. Elle montre la fatalité, le pouvoir des dieux (ou des hommes) contre lesquels le héros ne peut rien, ou un conflit entre l'amour et le devoir. La tragédie classique, liée à la tragédie grecque, veut inspirer la terreur ou la pitié pour purifier le spectateur (effet de "catharsis"). La comédie se caractérise par la mise en scène de

commenté. Résumons la théorie qu'il expose. Qu'est-ce qu'une tragédie ? Pour Aristote, c'est l'imitation (mimesis, en grec) d'une action sérieuse et complète en elle-même, dans une forme dramatique, et non pas narrative comme dans la poésie épique; cette « action dramatique » (c'est-à-dire jouée sur scène par des acteurs) comporte des péripéties qui se terminent par une situation très malheureuse, laquelle suscite chez le public les deux sentiments de pitié et de peur. Une tragédie se compose

pas présent dans toutes les pièces, il fait des tragédies sans chœur ou ne leur fait pas lire des vers lyriques mais des alexandrins avec des strophes hétérométriques. La Tragédie de Hardy est celle de l'action et du spectacle. On a à faire à des héros qui s'opposent et qui luttent. Beaucoup de conflits rarement intérieurs. Thèmes : meurtres, suicides, viol, duels, … La psychologie est assez sommaire mais Hardy a le sens du drame. Il sait découper les scènes et ne laisse jamais passer une « scène

Thématique culturelle 1: La littérature médiévale Cadre historique et social du Moyen-Age et naissance de la langue française o la littérature épique et la littérature courtoise : “La mort de Roland”: “Chant de joie” “La Mort des amants” Chrétien de Troyes: Le Chevalier à la charrette “Le Graal” Le Roman de la rose La situation d’énonciation, le registre épique; le discours rapporté, champs lexicaux La phrase, les connecteurs, connotations et champs lexicaux, les figures de style les temps verbaux