Rodogune

simplement arrêté par la justice du prince. Certaines comédies de Molière ont été jouées comme des tragédies : Argan, le malade imaginaire, a été représenté comme un véritable malade et, il y a peu, à la Comédie-Française, la reine Cléopâtre de Rodogune de Corneille, ronflait bruyamment sur un banc de jardin ! 3. La mise en scène peut même l’emporter sur le texte qui devient inutile Le théâtre peut-il se passer du texte d’un auteur ? C’est bien le cas avec la commedia dell’ arte, forme de

trompé. Celui qui prononcerait aujourd'hui que Q** en un certain genre est mauvais poète, parlerait presque aussi mal que s'il eût dit il y a quelque temps: Il est bon poète. I4 (IV) C. P. était fort riche, et C. N. ne l'était pas: la Pucelle et Rodogune méritaient chacune une autre aventure. Ainsi l'on a toujours demandé pourquoi, dans telle ou telle profession, celui-ci avait fait sa fortune, et cet autre l'avait manquée; et en cela les hommes cherchent la raison de leurs propres caprices, qui

peut 558 559 A. Greimas, Du Sens, Paris, Le Seuil, 1970, t. I, p.309-314 « Les proverbes et les dictons » Corneille, Sertorius, Acte II sc. 4 560 Corneille, Pulchérie, Acte V sc. 4 561 Op. cit., p.313 562 Voltaire, Commentaire sur Corneille, Rodogune, Acte III sc. 6 563 J. Scherer, op. cit., p. 322 334 ressortir à la morale, à la politique, à la psychologie, au simple bon sens, à l’expérience commune ou tout autre domaine »564, implique une certaine cohérence de cette dernière avec la

trompé. Celui qui prononcerait aujourd’hui que Q** en un certain genre est mauvais poète, parlerait presque aussi mal que s’il eût dit il y a quelque temps : Il est bon poète. 14 (IV) C.P. était fort riche, et C.N. ne l’était pas : la Pucelle et Rodogune méritaient chacune une autre aventure. Ainsi l’on a toujours demandé pourquoi, dans telle ou telle profession, celui-ci avait fait sa fortune, et cet autre l’avait manquée ; et en cela les hommes cherchent la raison de leurs propres caprices, qui

Celui qui prononcerait aujourd’hui que Q** en un certain genre est mauvais poète, parlerait presque aussi mal que s’il eût dit il y a quelque temps : Il est bon poète. I4 (IV) C. P. était fort riche, et C. N. ne l’était pas : la Pucelle et Rodogune méritaient chacune une autre aventure. Ainsi l’on a toujours demandé pourquoi, dans telle ou telle profession, celui-ci avait fait sa fortune, et cet autre l’avait manquée ; et en cela les hommes cherchent la raison de leurs propres caprices

s'est trompé. Celui qui prononcerait aujourd'hui que Q** en un certain genre est mauvais poète, parlerait presque aussi mal que s'il eût dit il y a quelque temps: Il est bon poète. 14 (IV) C.P. était fort riche, et C.N. ne l'était pas: la Pucelle et Rodogune méritaient chacune une http://www.gutenberg.org/files/17980/17980-h/17980-h.htm (143 of 213) [2008-10-01 16:56:22] The Project Gutenberg eBook of Les Caractères, par Jean de La Bruyere. autre aventure. Ainsi l'on a toujours demandé pourquoi

par Néron, V, 5. Richard III de Shakespeare. C. Pourtant il est impossible de ne pas intégrer la mort dans les tragédies – Statut particulier de la mort par empoisonnement : «  mort propre  ». Exemple  : suicide par empoisonnement de Cléopâtre dans Rodogune de Corneille, ou dans Les Bonnes de Genet. – Au XVIIIe siècle, un système de rideau ou de paravent permet de montrer les meurtres... sans les montrer : représentations de Mahomet de Voltaire. 27 • La représentation théâtrale II. Toutefois, le théâtre

definitively with Le Cid (1637), perfected sacred tragedy with Polyeucte, invented the comedy of character (Le Menteur), anticipated a modern style of drama in Don Sanche d’Aragon (1650), and in the complex plots and surprise reversals of plays like Rodogune (1645) or Héraclius (1647) he produced a breathless but controlled kind of superior melodrama. His long career began as the age of the baroque was fading. Apart from Clitandre (1630), a tragicomedy, his early plays (1629–36) were comedies. He staged

Nouvelliste, journal rouennais, spécule sur un prochain mariage entre Victor Cousin et Louise Colet. Flaubert corrige le sonnet de Louise Colet, Le Printemps, et pense à un « grand roman métaphysique » pour « dans cinq ou six ans ». Flaubert lit Rodogune et Théodore, de Corneille, dans l’édition faite par Voltaire : « Quelle immonde chose que les commentaires de M. de Voltaire. […] Et c’était pourtant un homme d’esprit ». Flaubert passe l’après-midi à « regarder la campagne par des verres de couleur

ces tragédies grecques? — Bonnes pour des Grecs, » dit l’Ingénu. Mais, quand il lut l’Iphigénie moderne, Phèdre. Andromaque, Athalie, il fut en extase, il soupira, il versa des larmes: il les sut par coeur sans avoir envie de les apprendre. « Lisez Rodogune, lui dit Gordon; on dit que c’est le chef-d’oeuvre du théâtre; les autres pièces qui vous ont fait tant de plaisir, sont peu de chose en comparaison. » Le jeune homme, dès la première page, lui dit: « Cela n’est pas du même auteur. — A quoi le voyez-vous