Robespierre La Souveraineté Populaire

juin, exclus de leur salle, se jurent dans la salle du Jeu de Paume, de ne pas en sortir avant d’avoir doté le peuple d’une constitution, qui représente l’idée d’un contrat entre le roi et la nation, et la fin de l’arbitraire royale. L’insurrection populaire qui va suivre marque le début de l’entrée des Français dans l’histoire, en tant que peuple, symbolisé d’abord par la prise de la Bastille, le 14 juillet 1789, prison qui représente l’arbitraire royal, qui pouvait envoyer n’importe quel citoyen sous

vie politique. Mais de sujets les français sont devenus des citoyens et ont progressivement acquis le droit de participer activement par le vote a la vie de la communauté. Le droit de vote a été mise en place progressivement en l'idée de souveraineté populaire qui apparaît d'abord dans la déclaration des droits de l'homme et du citoyens en 1789. Le suffrage universel en 1751 c'est a dire que le droit de vote est accordé à une minorité d'hommes payant un certain montant d'impôt puis il est universel

doléances pour améliorer le pays). Le 20 juin 1789, les députés du Tiers (principalement, des bourgeois) affirment le principe de “souveraineté populaire” lors du serment du Jeu de Paume et prêtent serment de donner à la France une Constitution. Le 9 Juillet, le comité se déclare Assemblée Nationale Constituante : c’est la fin de la monarchie absolue. La souveraineté n'appartient plus au roi mais à la nation. Serment du Jeu de Paume 1789 Prise de la Bastille 1789 Louis XVI renvoya Necker,

inscrit dans la Constitution( Ens de règles relatives a l’ensemble du pouvoir étatique, règles sur la garantie des droits et des libertés). Le fondement c'est la souveraineté. Dans l'étude de celle-ci, nous allons tenter d'analyser quels sont les modes de légitimité dans la souveraineté => les élections = mode d'exercice de la souveraineté. On va redécouvrir la séparation des pouvoirs (confondre les pouvoir au sein d'une main soit éviter le despotisme.) 2 modes de séparation: souple (mise en place

découlé une dictature parlementaire. C’est précisément parce que cette constitution n’a jamais été appliquée qu’elle est devenue une légende, un mythe dans le catéchisme républicain. Les principes de cette constitution sont la souveraineté populaire par rapport à la souveraineté nationale, le gouvernement semi-direct par opposition au gouvernement représentatif. L’unité ou la concentration des pouvoirs ont estimé alors que le pouvoir législatif consistait en deux fonctions inséparables, faire les lois

rapidement une succession d’échecs : il ne réussit pas à réformer l’administration du royaume, et passe pour un roi absolutiste ; il hésite entre libre-échange et contrôle de la circulation des grains, mécontentant les négociants et effrayant les couches populaires ainsi qu’une partie de la cour ; il soutient l’indépendance des États-Unis, au prix d’une campagne militaire très coûteuse et sans aucune compensation ; enfin, il ne maîtrise pas l’opinion publique, abreuvée de pamphlets et de libelles qui déshonorent

sa description de la démocratie dans L’Esprit des lois, Montesquieu s’inspire des exemples classiques d’Athènes, de Sparte, de Carthage et de Rome. Il propose une liste des institutions fondamentales de la république démocratique : une assemblée populaire à laquelle peuvent assister tous les citoyens ; un sénat choisi par tirage au sort parmi les trois classes les plus aisées à qui on confie le contrôle de la politique étrangère et la préparation de la législation pour l’assemblée du peuple ; un conseil

XVIIIe, séparation des pouvoirs signifie la non réunion des deux ou trois fonction de l’Etat dans les mains d’un seul organe. Cette séparation, Montesquieu la trouve réalisée en Angleterre. La souveraineté est le critère de la définition d’un Etat. Cette souveraineté est une et indivisible. La souveraineté réside avant tout dans la fonction législative. Et donc il faut éviter qu’un seul et même pouvoir ai entre ses mains, la fonction législative. Il faut donc réaliser un équilibre ; et en Angleterre

la fin de la Monarchie et la proclamation de la République ; le roi et la reine seront jugés, condamnés à mort puis guillotinés. S’ouvre alors une 3ème phase, après la dictature du Comité de Salut Public, (dirigé par Robespierre, Saint-Juste et Danton) et la chute de Robespierre le 27 juillet 1794, une nouvelle Constitution, plus modérée est votée le 22 aout 1794 la « Constitution du 5 fructidor de l’an 3 ». Le 18 brumaire de l’an 8, Napoléon Bonaparte va faire un coup d’état militaire qui débouchera

Assemblée nationale. Le 20, ils prêtent le Serment du jeu de paume, et jurent de donner une constitution au Royaume. Par cette parole performative1, ils ouvrent une période de troubles révolutionnaires. « L’année sans pareille » voit s’affirmer la souveraineté d’une nation « régénérée ». Si la Révolution reste immanquablement liée aux valeurs universalistes scandées par l’abolition des privilèges (nuit du 4 août), ou la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen (26 août), elle est aussi marquée