Rire et Châtiment

l’auteur a néanmoins réussi a capter mon attention malgré certaines longueurs. Il s’agit bien là dans roman noir, très sombre cependant les personnages loufoques et peu sympathiques et leurs portraits, ainsi que certains événements m’ont fait énormément rire même si l’auteur utilise de l’humour noir, son ironie est très efficace. Juste un mot sur Cripure qui, en se débattant dans une recherche éperdue de fidélité et de vérité à lui-même m’a suscité la compassion, c’est un personnage à la fois attachant

plaindre mais le lecteur est interpellé par l’horreur des pratiques liées à l’esclavagisme Le registre pathétique : définition : un registre littéraire désigne l’impression particulière que produit un texte sur la sensibilité du lecteur (pitié, rire, terreur) le registre pathétique a pour but de provoquer la pitié, la compassion du lecteur. - Que désigne le pronom "nous" dans son discours"? L'esclave ne parle pas en son nom propre: "nous" représente ici tous les esclaves. Le constat n'est

Voltaire se livre à une satire de l'esclavage, satire d'autant plus touchante et probante que Voltaire fait parler l'esclave totalement soumis à ses maîtres alors qu'il a été traité de manière indigne. Le nègre étendu sur le sol a subi les pires châtiments : un bras et une jambe coupée pour avoir voulu échapper à son triste sort ou pour avoir fait un geste maladroit...   Candide commence alors à remettre en cause l'enseignement de son maître à penser, Pangloss et se met à réfuter la théorie de l'optimisme :

but de faire rire, de divertir en représentant le travers et le ridicule des hommes. L'adhésion jouera de la complicité dans le cas du registre comique qui sort le lecteur de lui-même en le divertissant. La tonalité comique consiste à provoquer le rire à l’aide de divers procédés : jeux de mots, quiproquos, répétitions, associations burlesques, etc., avec des tonalités particulières comme l’humour. La tonalité comique déforme la réalité à travers des situations qui provoquent le rire et l’ordre habituel

Socrate envers le jeune homme : « Ai-je parlé pour ne rien dire, Phèdre, mon cher cœur ? ». Dès lors, la parole, qu’elle soit vraie ou fausse, peut s’interpréter comme une forme de domination ou de séduction. C) Parler pour ne rien dire, mais pour faire rire Parler pour ne rien dire peut également avoir une utilité sociale et théâtrale dans le sens où le malentendu, chez Marivaux, est un moyen privilégié du comique. Ainsi, lorsqu’Arlequin parle pour ne rien dire, entame une conversation inutile parce

ind) Gdes idées : *Consc cô = « l'ens des croyances et des sentiments communs à la moy des membres d'une société » > imp ds société tradi + ici existence commandée par impératifs et interdits sociaux (I soumis) Ceux qui violent interdits > châtiments + consc cô impose ce quil faut faire ou croire > Sté à solidarité organ : chacun libre de croire, de vouloir et d'agir selon des préférences propres à des circonstances diff - réactions cô / violation interdits Cl° Durkh : I naît de la société

verront donc comment sont menés ces combats. I- Le combat contre l’intolérance. Le combat contre l’intolérance apparaît dès le début avec une série d’antiphrases : * « Bel auto da-fé » (titre, l4), qui signifie en réalité monstrueux châtiment (brûler les hérétiques.) * « Belle musique en faux bourdon » qui est une musique de mort pas une musique festive * « Le serment très pathétique » ironiquement religieux. $ * « Secret infaillible » (pire solution et puis fait penser à

importantes figure du XIX siècle. Le 4 septembre 1843, sa fille Léopoldine et son époux se noient dans la Seine. Il s’en suit une période pendant laquelle Victor HUGO n’écrit plus et se consacre à la politique. Exilé en 1853, suite à la publication des « Châtiments » recueil de poème décrivant sa colère et son indignation face au coup d’Etat de Napoléon Bonaparte, il écrit « Les Contemplations » (1855) d’où est tiré le poème « Oh ! je fus comme fou dans le premier moment ». Il y décrit sa réaction et ses sentiments

front haut, la joue impériale, Le sourcil chauve, l'oeil profond et diligent, Le cou pareil au col d'une amphore d'argent, L';air d'un Noé qui sait le secret du déluge. Si des hommes venaient le consulter, ce juge Laissait l'un affirmer, l'autre rire et nier, Ecoutait en silence et parlait le dernier. Sa bouche était toujours en train d'une prière ; Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ; Il s'occupait de lui-même à traire ses brebis ; Il s'asseyait à terre et cousait ses habits

semble vivre à coté de lui-même, étranger à lui-même, aux autres, à la vie, tout semble lui tomber dessus Page 142: « Messieurs les jurés, le lendemain de la mort de sa mère, cet homme prenait des bains, commençait une liaison irrégulière et allait rire devant un film comique. Je n’ai rien de plus à vous dire » Page 146: « Oui, s’est-il écrié avec force, j’accuse cet homme d’avoir enterré une mère avec un cœur de criminel. » B) Son langage, sa façon de parler Il parle comme un enfant, avec des phrases