Rire et Châtiment

et le rire diabolique « ha ha ha ! ») 3) Un Sganarelle décidément tenté par le modèle libertin Sganarelle qui avait présenté son maître comme un tyran auquel il n’obéissait que sous la contrainte trahi le fait qu’il est bel et bien tenté par l’impiété et le libertinage mais qu’il est trop pleutre pour aller jusqu’à de tels excès, c’est ce que nous laisse entendre le « jure un peu », comme s’il était possible de trouver un moyen de pécher mais pas au point de risquer un châtiment divin

Molière s’est distingué par des pièces qui mêlent le comique, le pathétique et la critique. Il faisait du rire une arme pour combattre les mœurs et les contraintes de son époque. Fils d’un tapissier, il renonce à reprendre l’affaire familiale qui le destinait à une vie bourgeoise et se tourne vers le théâtre. Il fonde en 1643 « l’Illustre Théâtre » et se fixe comme objectif de « faire rire les honnêtes gens ». Il rencontre cette année-là Madeleine Béjart dont il tombe amoureux. La troupe connait

cette scène comporte la plupart des accusations d’impiété 5. comment le discours de Sganarelle annule-t-il son intention ? - le discours de Sganarelle annule son intention apologétique car ressemble à une parodie (involontaire de sa part) - il fait rire par son style, son impatience et surtout par sa chute 6. comment fonctionne cette dispute ? - cette dispute n’en est pas exactement une puisque Dom Juan n’accepte pas d’y entrer - silence de Dom Juan est narquois - ce silence et la chute ont pour

sens, il a pour rôle de défendre les valeurs du XVIIIème. Il apparaît également comme un juge face aux faits de Dom Juan. Et ici encore on peut remarquer qu’il y a un paradoxe car normalement, au théâtre, le valet a pour fonction théâtral de faire rire du à son langage ridicule et sa ses revirements très lâches. Après cette analyse on peut clairement identifiée leur relation comme relation particulière car normalement une relation maître-valet se limite à donner des ordres-exécuter les ordres.

politique et intellectuel engagé reconnu au XIX ème siècle. (Romantisme). Hugo était à la fois un poète lyrique « Odes et Ballades (1826), Les Feuilles d'automne (1831) ou Les Contemplations (1856) » un poète engagé contre Napoléon III « Les Châtiments (1853) » ainsi qu’un poète épique «La Légende des siècles (1859 et 1877) » .  Victor Hugo était également un romancier et dramaturge qui à énormément influencé les générations futurs. En son temps Hugo était grandement apprécié par le peuple grâce

entrainant. - Topos baudelairien : comme un rappel à nombre des poèmes vus dans « S et I » : la femme paysage. Insistance sur la beauté : répétition de beaux. - 4e élément de description : le rire, personnifié, rend son visage plus vivant. - 2e comparaison èsynesthésie sens tactile (vent frais) / auditif (rire) : le rire de la femme provoque l’un de ces moments de grâce qui rendent possible le langage poétique (« les parfums, les couleurs et les sons se répondent ») 2e strophe - Le passant chagrin : autre

l’idée que les forçats sont devenus des machines, des êtres sans pensées et sans réflexions, ils n’ont plus de contrôle sur eux-mêmes. Bientôt, il y a de plus en plus de mots faisant référence à la musique et à la fête comme « chanson » ; « éclats de rire » ; « cadence » ; « orchestre » ; « chant » ; « danse ». Ceci crée un certain paradoxe et un certain contraste par rapport au contexte. Normalement, la prison ne fait penser ni à la joie ni à la fête. Etant paradoxale à la situation décrite, la

Dimanche. Le châtiment paraît un peu disproportionné aux crimes qu'on lui a vu commettre. Mais la fin est indissociable de la légende du héros (le vice et l'hypocrisie au 5ème acte). - Molière mélange "un baroque" en l'équilibrant avec du tragique (Done Elvire et Louis), du romanesque (Dom Carlos), du comique (Monsieur Dimanche), du bouffon (Sganarelle), de la farce (les paysans), du merveilleux (la statue du Commandeur), d'où : atténuation des violences, éléments nombreux de rire, mais aussi une

pinceau » l73 ® métaphore picturale * résumé du personnage « un grand seigneur méchant homme » Rapport hiérarchique ¯ Libertin condannable Maitre/valet: « mon maitre; sous son ordre » châtiment divin domination de dj sur sg « bride; réduit » « courroux du ciel » - peur du valet (fin de la scene) - distinction social dj: noblesse - valorisation de dj® grandeur d’ame ? => Sentiments ambigus du valet répulsion

nous risquons de faire comme Nietzsche (1844-1900 apr. J.-C.) et de les considérer comme n’ayant aucun intérêt : « Je viens de lire pour me distraire les Confessions de saint Augustin. Oh! Ce vieux rhéteur, qu’il est faux et papelard! Qu’il fait rire ! Quelle duplicité psychologique! Valeur philosophique égale à zéro. Du platonisme pour la populace, autrement dit, une mentalité inventée pour la plus haute aristocratie de l’esprit accommodée au goût de nature d’esclaves. » Ainsi, pour Nietzsche