Rire et Châtiment

quête du sens du Moyen- Âge à nos jours. Corpus Texte 1 : Agrippa d'Aubigné, Les Tragiques, I, « Misères », vers 211 à 236, 1616 Texte 2 : Jean de la Fontaine, Fables, «  Les Obsèques de la Lionne », VIII, 14, 1678 Texte 3 : Victor Hugo, Les Châtiments, « Souvenir de la nuit du quatre », livre II, 3 1853 Texte 4 : Robert Desnos ( 1900-1945) Destinée arbitraire ( publication posthume en 1975) Texte 5: Léopold Sédar Senghor ( 1906-2001), Poèmes divers, « Poème à mon frère blanc », 1990 Texte

Discours de Vautrin à Rastignac de « Voilà le carrefour de la vie » jusqu’à « l’enterrer sous la boue »*. Diderot Denis, Jacques le Fataliste, « Comment s’étaient-ils rencontrés ? » jusqu’à tous les hasards qu’il me plairait » / Hugo Victor, Les Châtiments, III, III, « Fable ou Histoire »*. La Bruyère, Les Caractères, « De la cour », de « L’on parle d’une région… » à « Des Hurons » / Flaubert, L’Éducation sentimentale, excipit, de « Ce lieu de perdition » à la fin. La Bruyère, Les Caractères, De la

continue à le nier. Sganarelle [modifier] Sganarelle, en tant que valet, n'est protecteur de la Foi que par peur de l'au-delà. Présent depuis les premières comédies de Molière, dans cette pièce, il vient en contrepoint apporter de l'humanité et du rire à une pièce qui sans lui aurait été bien noire. Mais le Sganarelle de Dom Juan se démarque des autres valets de Molière ; on peut le qualifier d'asexuel dans la mesure où il ne "récupère" pas les conquêtes de Dom Juan, ce que pouvait faire un valet

continue à le nier. Sganarelle[modifier] Sganarelle, en tant que valet, n'est protecteur de la foi que par peur de l'au-delà. Présent depuis les premières comédies de Molière, dans cette pièce, il vient en contrepoint apporter de l'humanité et du rire à une pièce qui sans lui aurait été bien noire. Mais le Sganarelle de Dom Juan se démarque des autres valets de Molière ; on peut le qualifier d'asexuel dans la mesure où il ne « récupère » pas les conquêtes de Dom Juan, ce que pouvait faire un valet

hoquets / rire/ râle/ hurlements » . Elle se déroule en deux temps accélérés , tout d'abord par l'arrivée précipitée et inattendue du fidèle confident de Caligula , Hélicon , qui surgit au moment ou Caligula ne l'attendait plus «  Hélicon ne viendra pas «  et vient prévenir son maître de la mort qui arrive ce qui créer un effet de dramatisation «  Garde toi , Caiüs ! Garde toi «  , puis l'entrée des conspirateurs par toutes les issues ainsi que la réaction de Caligula qui «  fait face avec un rire fou

puissance sont révélateurs Sganarelle est un piètre défenseur du "Ciel". 1- Il essaie vainement d'effrayer son maître, de présenter à nouveau l'image du CHATIMENT, car le valet ne peut concevoir l'impunité de ce maître qui se permet tous ses désirs terrestres. Mais il révèle par la même occasion sa propre crainte de l'"Enfer", du "diable" (le châtiment devient plus concret, plus populaire aussi, renvoie à une imagerie traditionnelle) 2- La référence à "l'autre vie" peut aussi s'expliquer : comment

l’argumentation indirecte sont beaucoup plus variées : roman, conte, fable, poème, pièce de théâtre,…au XVII et XVIIIe particulièrement, ce sera de l’argumentation indirecte afin de contourner la censure Les registres : -Le comique : il cherche à déclencher le rire. Il peut être amené par différents procédés : -L’humour : un sujet sérieux est traité de manière légère ; si le sujet est particulièrement dramatique et le registre adopté très léger, on parle d’humour noir -L’ironie : On laisse entendre le contraire

roi, Lafontaine parvient à exprimer ses idées .En effet, derrière, Les fables, son œuvre majeure, se cache une critique de la société de son époque. Le cerf, contrairement aux courtisans ne pleure pas la lionne disparue.A la colère du roi et aux chatiments qu’il lui promet, le cerf répond en inventant un songe où la lionne l’a dispensé de pleurer.En définitive , le cerf obtient même un cadeau.Les obsèques de la Lionne est la 14ème fable du livre 8 des Fables, c’est une reprise de l’italien Abstinuis

soir, le rire et les robes de Marie. Tout ce que je faisais d'inutile en ce lieu m'est alors remonté à la gorge et je n'ai eu qu'une hâte, c'est qu'on en finisse et que je retrouve ma cellule avec le sommeil. C'est à peine si j'ai entendu mon avocat s'écrier, pour finir, que les jurés ne voudraient pas envoyer à la mort un travailleur honnête perdu par une minute d'égarement, et demander les circonstances atténuantes pour un crime dont je traînais déjà, comme le plus sûr de mes châtiments, le remords

Problématiques : Comment les poètes s’engagent-ils et décrivent-ils dans leurs textes le monde qui les entoure ? Comment l’écriture poétique transcrit-elle l’atrocité de la guerre ? Groupement de textes : (photocopies) Victor HUGO, « L’Expiation », Les Châtiments » 1853 Texte 1 : Arthur RIMBAUD, « Le Mal » Poésies, 1870 (Lecture analytique) Guillaume APOLLINAIRE, « La colombe poignardée et le jet d’eau », Calligrammes, 1914 Louis ARAGON « La guerre et ce qui s’ensuivit », Le Roman inachevé, 1956 Texte