Rigidité Institutionnelle

marchés. Ils débouchent sur la formation des prix. Valeur -> Prix Coût -> Tant que le coût est inférieur à la valeur, production justifiée - La régulation non marchande : les choix sont faits par l’Etat. Ils permettent de fixer le cadre institutionnel du fonctionnement des marchés et de l’ordre public. Exemple : L’Etat décide de construire une école publique. - La régulation hors marché : les chois sont faits par les individus dans un cadre social et culturel. Ils respectent un système

autorités sont donc spécialisées, mais il n'y a pas d'équilibre entre les pouvoirs exécutifs et législatif. L'exécutif est en effet subordonné, et toute forme de conflit institutionnel impossible. Le Directoire peut refuser d'appliquer une loi, mais il serait puni (comme un enfant). B. Séparation stricte ou non ? Question de la rigidité de la séparation des pouvoirs dans la constitution du 3 septembre 1791 est abordée par Michel Troper : il affirme qu'il n'y a pas de séparation stricte, en elle-même

on ne peut éviter le chômage que si les salaires réels baissent aussi. Prenons pour s’en convaincre un cas de récession : La demande de travail baisse de Ld1 à Ld2. Il faudrait par conséquent que le salaire réel passe de Wr1 à Wr2. Mais si des rigidités existent, les employeurs sont contraints de maintenir les salaires réels à Wr1, et de diminuer l’offre d’emplois à L3, alors que l’offre de travail reste inchangée en L1. L1-L3 : c’est le chômage "involontaire", qui ne provient pas d’une insuffisance

totalement rigide, on ne pourrait pas la réviser. A contrario, on ne peut pas avoir une constitution complètement souple, parce que rapidement, elle perdrait toute sa suprématie. Donc il faut réussir à trouver le bon dosage entre la souplesse et la rigidité constitution. Ce qui change d'une loi ordinaire, c'est la majorité (absolue ou 3/5) et les organes qui vont la réviser. Certaines constitutions prévoient des dispositions qui ne peuvent pas faire l'objet d'une révision, ce que l'on appelle une

monétaristes, correspond à l’évolution à moyen et long terme des revenus qu’un agent escompte percevoir Les revenus anticipés dépendent de sa propre stratégie de carrière, familiale ou patrimoniale, et de l’environnement économique (conjoncture...) et institutionnel (système de retraite). Ce revenu permanent n’est guère influençable conjoncturellement, ce qui entraîne une évolution nécessairement lente et progressive des comportements d’épargne et de consommation. 2. LES CONTESTATIONS DU KEYNESIANISME

par les auteurs de coups d’Etat qui justifient par elle le bien-fondé de leur action. Ainsi en Algérie après le coup d’Etat du 19 juin 1965 qui élimina M. Ben Bella, la nouvelle équipe dirigeante lança une Proclamation distinguant la légitimité institutionnelle de la légitimité révolutionnaire ; et dans ce cadre arrive notre sujet, à coté des 3 types de légitimité invoquées par Weber la pratique fait apparaitre d’autres sources de légitimité à s’avoir par exemple la légitimité révolutionnaire et la

marché du travail. Du fait des revendications des employeurs. Ceux-ci réclament toujours plus de souplesse car ils considèrent que la rigidité est un obstacle à l’embauche. Ils veulent alléger toutes les contraintes du marché du travail (contraintes financières, administratives, juridiques). C’est une remise en cause du cadre institutionnel d’utilisation du travail. Ils promettent d’ embaucher plus à condition d’une déréglementation. Du fait de l’échec constaté des politiques

marché du travail flexible semble être la solution logique. En effet, en période de chômage, l’offre de travail proposée par les salariés est supérieure à la demande des employeurs. Par conséquent, l’état, en contraignant le marché par des rigidités institutionnelles (salaire minimum, droit du travail...) est responsable de ce déséquilibre. Il empêche l’autorégulation du marché en instaurant un salaire supérieur au salaire d’équilibre. La flexibilité semble donc être la solution au chômage, comme en

transformation des coûts salariaux en coûts fixes indépendants du volume de la production et des résultats de l'entreprise. Le modèle de gestion de la main d'œuvre qui s'était imposé lors des trente glorieuses était caractérisé par des rigidités structurelles et institutionnelles (mise en place du SMIG en 1950, poids des syndicats, législation du travail contraignante). Le contrat à durée indéterminée (CDI) était la norme. La croissance du chômage et le renouveau des idées libérales matérialisé par Ronald

Larbi HASROURI Doctorant LOG, IAE D’ORLEANS Rue de Blois - B.P. 6739 45067 ORLEANS CEDEX 2, +33 (0)2 38 41 70 28 Fax : +33 (0)2 38 49 48 16, larbi.hasrouri@ac-orleans-tours.fr Résumé Les organisations sont influencées par leur environnement institutionnel et socioéconomique. Des composantes différentes de l’environnement créent des pressions différentes aussi bien les structures que le management. Les clubs sportifs professionnels, structurés juridiquement en SA ou SEM, sont des entreprises (de