Rigidité Institutionnelle

régulation souligne l’importance des négociations collectives, négociations qui vont servir de normes et de référence dans tous les secteurs de l’économie (ex : Fordisme). Pour les néoclassiques se ne sont pas les conditions historiques ou institutionnelles qui comptent. Pour eux ce qui compte se sont les comportements individuels, l’offre et la demande de travail résultent avant tout du choix de chacun, ce choix est individuel et résulte d’un comportement rationnel dans le cadre de l’économie néoclassique

Environnement de politique économique, cadre institutionnel et croissance économique globale : une analyse comparative Les sources de la croissance économique dans les pays de l’OECD, OECD, 2003 Problématique : Quels sont les facteurs économiques conjoncturels actuels qui provoquent des disparités de croissance entre les pays de l’OCDE ? Avec quelle intensité ces variables influencent la croissance de ces pays ? Plan : I . Analyse théorique 1°) Influence des différentes formes d’investissement

transformation des coûts salariaux en coûts fixes indépendants du volume de la production et des résultats de l'entreprise. Le modèle de gestion de la main d'œuvre qui s'était imposé lors des trente glorieuses était caractérisé par des rigidités structurelles et institutionnelles (mise en place du SMIG en 1950, poids des syndicats, législation du travail contraignante). Le contrat à durée indéterminée (CDI) était la norme. La croissance du chômage et le renouveau des idées libérales matérialisé par Ronald

synonyme d'excès d'offre de monnaie sur la demande réelle. En appliquant les préceptes monétariste de l'époque, Paul Volcker, président de la Réserve fédérale dans les année 70, parvint à endiguer la spirale inflationniste, mais dû fait des rigidités et des erreurs d'anticipation, cette politique eut un coût très élevé en terme de chômage, de pertes de production et d'endettement. Ceci fut accompagné d'une élévation dangereuse des taux d'intérêt réels. Dans les années 80, l'innovation financière

équilibre unique.  | Aziariadis | keynésianisme | Il fonde la théorie des contrats implicites est d'inspiration de la Nouvelle économie keynésienne et cherche à montrer les imperfections qui existent sur le marché du travail expliquant une rigidité des prix sur ce marché. Avec la théorie des contrats implicites il explique certaine entorses a la loi du marché par l'existence d'accord non écrit. Ainsi les salaires ne varient pas selon la productivité marginale, mais progressent avec l'ancienneté

baisse et en csq les agents éco ont modifié leur arbitrage entre épargne et c° : le cho de masse à générer un chgt durable des comportements .mais des variables intentionnels ont joué vers les années 70’s : L’influence des changements institutionnels Le dvlt dans les pays indu, à l’exception des US, de la protection sociale a favorisé le dvl de l’épargne de précaution. En France on constate que la crise du milieu des 70 correspond aussi au mmt ou les risques sociaux deviennent totalement

classique mais montre que des déséquilibres peuvent exister car les marchés ne peuvent pas s’autoréguler * Rigidité des prix : la plupart des marchés fonctionne imparfaitement et les entreprises sont le plus souvent « PRICE-MAKERS » (faiseuse de prix) et on « PRICE TAKERS » (preneuses de prix), ces prix sont rigides car il est impossible de les ajuster quotidiennement. * * Rigidité des salaires et le chômage involontaire : le prix n’est pas flexible. Les salaires ne sont pas flexibles car

L’analyse néo-classique •Impossibilité du chômage car il y a une régulation par le salaire. •Lorsque le chômage apparaît, il peut s’expliquer par : - les délais d’adaptation entre l’offre et la demande de travail (chômage « frictionnel ») ; - les rigidités du marché du travail : opposition ouvrière et syndicale à la baisse du salaire. A. EL HIRI Section I : Les théories traditionnelles B - L’analyse néo-classique •Dans tous les cas, le chômage est « volontaire ». A. EL HIRI Section I : Les théories

désormais que l’approbation du financement est une étape qui s’intègre dans l’identification et la formulation (CE, 2004). 4 www.cota.be Publication : Février 2007 Fiche 4 - Méthode de gestion du cycle de projet (GCP) | COTA asbl Face à la rigidité avec laquelle la GCP a été utilisée dans la pratique (faible prise en compte des évolutions de contexte, des opportunités, etc.), certaines agences telles que la GTZ (Coopération technique allemande) ont réinterrogé l’approche. Le « cycle en spirale »

flexibles, le produit national (ou revenu national) est toujours à un niveau qui tire le meilleur parti de tout le travail et le capital disponibles ; il n'y a pas de chômage en dehors du chômage de recherche volontaire ou du chômage lié à des rigidités institutionnelles qui bloquent la libre négociation des salaires ; il n'y a pas de capacités de production inutilisées ; le PIB effectif est égal au PIB potentiel. La totalité du PIB est écoulée sans difficulté sur les différents marchés. Il n'y a jamais