Revolver

rencontrent deux Arabes, dont le frère de la maîtresse de Raymond. Ils se battent et Raymond est blessé. De retour au cabanon, Meursault le tempère et lui prend son revolver, pour lui éviter de tuer. Reparti seul sur la plage, il retrouve par hasard le frère, qui sort un couteau. Assommé par le poids du soleil, il se crispe sur le revolver et le coup part tout seul; mais Meursault tire quatre autres coups sur le corps inerte. Meursault est emprisonné. L'instruction va durer onze mois. Il ne manifeste

s’en suit, au cours de laquelle Raymond Sintès se fait taillader le bras et la bouche. Meursault retourne sur la plage tout seul un peu plus tard, il y recroise l'un d'eux qui le menace de son couteau. Meursault le tue de 4 balles, à l’aide d’un revolver enlevé plus tôt à Raymond Sintès pour lui éviter de commettre un meurtre. Suite à cet acte, Meursault est emprisonné. Avec le temps passé en prison, Meursault mesure l'ampleur de la punition que la prison représente, à savoir l'absence et la privation

arabes. L’un d’eux était le frère de la maîtresse de raymond. Ils se sont bagarrés et Raymond fut blessé .ce dernier retourne sur le lieu de la bagarre avec un revolver décidant de faire payer les arabes. Meursault l’accompagne .ils y retrouvent les deux arabes mais meursault, par précaution demande a Raymond de lui rendre son revolver par peur qu’il commette une gravité en tuant les arabes. Apres, les deux amis retournent au cabanon. Une chaleur insoutenable régnait a la plage. Meursault retourne

Candy. Il veut le tuer. On apprend que Lennie a «brusqué» une femme à Weed. Mais il ne voulait pas la violer. Lennie a un petit chien, qu'il cache, comme un enfant sous sa veste Carlson ne supporte plus l'odeur du vieux chien. Il le tue avec son revolver. Candy ne dit plus rien il est couché face au mur. On apprend que le nègre, le palefrenier s’appelle Crooks. George joue au carte avec Whit. Les hommes du ranch vont parfois «se détendre» en ville chez Suzy. George et Lennie ont un rêve: vivre dans

chaleur et le soleil, il rencontre à nouveau l’un des Arabes, couché à l’ombre d’une source, qui à sa vue montre son couteau. Meursault sort de sa poche le revolver de Raymond, abruti par la luminosité, par la touffeur, ébloui par le reflet du soleil sur la lame du couteau, il tire et tue l’Arabe sans le moindre état d'âme, d'un coup de revolver, puis encore de 4 autres coups. C’est la fin de la première partie. Dans la seconde moitié du roman, Meursault est arrêté et questionné, ses propos sincères

retrouvent plus tard ; du fait d’un soleil écrasant, Meursault va vivre la suite des évènements dans une espèce de demi- conscience ; il serre le revolver de Raymond dans sa poche, envisage de faire demi tour, mais sent la plage « vibrante de soleil » qui se presse derrière lui ; les yeux aveuglés de sueur, la main de Meursault se crispe sur le revolver, le coup part.C’est là dans le bruit à la foi sec et assourdissant que tout à commencer.C’est à partir de ses moments que Meursault connaîtra un bouleversement

Albert Camus : « L’Etranger » Lors d’une rencontre entre amis à la plage, une bagarre entre Raymond, Masson et une bande d’arabes éclate. Pendant ce temps là, Meursault reste à l’écart mais prend le revolver que Raymond avait pour ne pas qu’il fasse quelque chose qu’il regretterait. La bagarre terminée, les amis rentrent à la maison et Meursault décide d’aller refaire un tour pour se changer les idées. A ce moment là, il recroise les arabes, un d’entre eux sort son couteau et éblouit Meursault

rencontrent deux Arabes, dont le frère de la maîtresse de Raymond. Ils se battent et Raymond est blessé. De retour au cabanon, Meursault le tempère et lui prend son revolver, pour lui éviter de tuer. Reparti seul sur la plage, il retrouve par hasard le frère, qui sort un couteau. Assommé par le poids du soleil, il se crispe sur le revolver et le coup part tout seul; mais Meursault tire quatre autres coups sur le corps inerte.  Meursault est emprisonné. L'instruction va durer onze mois. Il ne manifeste

Texte C : Albert Camus, L’Etranger (1942) Meursault, le narrateur, est employé de bureau à Alger. Il se trouve sur une plage, avec dans sa poche le revolver de son ami Raymond, et il marche à la rencontre d’un Arabe(1). Dès qu’il m’a vu, il s’est soulevé un peu et a mis la main dans sa poche. Moi, naturellement, j’ai serré le revolver de Raymond dans mon veston. Alors de nouveau, il s’est laissé aller en arrière, mais sans retirer la main de sa poche. J’étais assez loin de lui, à une dizaine

très chaud. Le soleil, la lumière l'aveuglent. Ensuite, un individu, alors que mon client marche tranquillement seul, sur la plage, surgit armé d'un couteau. Monsieur Meursault, paniqué, n'a eu que la réaction la plus normale, sortir son arme, un revolver, de sa poche, pour se défendre en cas d'attaque. La réflexion du soleil sur la lame du couteau l’ébloui et l'alarma encore un peu plus, jusqu'au point d'accomplir cette horrible acte. Le meurtre. Cependant la panique, la chaleur, la lumière sont