Revolver

Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front » L14. Dès cet instant, l’image du châtiment divin devient plus nette : « Il m’a semblé que le ciel s’ouvrait sur toute son étendue pour laisser pleuvoir du feu » L17. Enfin, les coups de révolver sont «  quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur » L22. Si la divinité ne doit pas être négligée, il est aussi important de voir que l’acte de tuer est comme une rupture de l’ordre de la nature. Dans ce décor immobile autant qu’insoutenable

arbres, sur le trajet habituel de son épouse. Le cheval, comme prévu, s'écroule, mais le narrateur parvient à récupérer sa bien-aimée à temps. Il s'avance alors vers le cheval et l'abat froidement d'un coup de revolver. La femme, ne comprenant rien, agresse son ami qui réplique d'un coup de revolver -mortel. L'homme commence alors à se questionner -mais un peu tard- sur son état de santé mental.

parle, prie et essaie en vain de réveiller Willie. Elle sort alors une brosse à dent de son sac, puis tout en parlant, examine plusieurs objets, mouchoir, lunettes… Prenant son ombrelle, elle frappe Willie pour qu’il se réveille, puis saisit un revolver et un flacon (qu’elle vide d’un trait) dans son sac. Willie émerge en partie et lit un journal, tandis que Winnie examine sa brosse à dents puis une carte postale appartenant à Willie. Elle se plaint alors de l’ennui et de la difficulté à s’occuper

Le docteur Bernard, directeur d’un institut spécialisé, envisage de vivre avec sa maîtresse, Ingrid, mais il ne veut pas pour autant divorcer, sa femme disposant d’une grande fortune. Ainsi il projette de l’assassiner ! Il acquiert pour cela un revolver grâce à son ami Fabrice qui pense que cette arme n’est destinée qu’à sa défense en cas d’un éventuel cambriolage (il y a eu plusieurs cambriolages dans le quartier des Bernard ces derniers temps) et prépare un véritable scénario digne d’un film policier

femme de Raymond. Le narrateur à sur lui le révolver de son ami : il l’avait forcé à le lui remettre pour évité tout débordement. Il rencontre par hasard l’un des deux arabes. Ce texte présente une progression dramatique ou le hasard joue un rôle déterminant. Pourtant, de nombreux élément insiste sur la fatalité de cet rencontre est l’absurdité de son dénouement. I. Une scène dramatique 1) Le drame en marche Le meurtre représente un drame Révolver = meurtre « j’ai été un peu surpris »= effet

l’intensité de cette souffrance. Axe 1 : Une scène de violence et de destruction - Thème de la destruction : • Fragments d’objets dispersés (capot de la voiture, amas de débris, verre pillé…) • Les armes : La bombe, le revolver, la canon du revolver • Souffrance, blessures et cruauté : « plus de jambes » «  de la chair hachée » « coup de pied dans les côtes » « un furieux coup de talon » • Sons violents : les tirs (2 fois), hurlements de Tchen Une scène de violence pour

douloureux. […] Tout mon être s'est tendu et j'ai crispé ma main sur le revolver. " (l.24 à 29). Ce coup de feu était donc pour apaiser la douleur qui le rongeait. Les effets multiples du soleil sont bien a l'origine du meurtre de l'Arabe causé par Meursault, qui décrit son acte de façon progressive : l'affrontement avec le soleil, les effets provoqués par celui-ci et les raisons qui l'ont pousser a appuyer sur la gâchette du revolver. Camus, démontre que les gestes posés pas les personnes peuvent parfois

disparaissent au fur et à mesure que les crimes surviennent. Il ne reste alors plus que six invités. A qui le tour ? La question reste sans réponse… Au petit déjeuner, Miss Brent meurt d’une piqûre ; puis dans la soirée, le juge Wargrave meurt d’une balle de revolver. Il ne reste plus que quatre personnes vivantes sur l’île. Des recherches sont faites pour savoir si quelqu’un se cache dans l’île mais aucune cachette n’est possible. Le meurtrier fait donc partie des quatre survivants. Le jour suivant, l’officier

chaleur et le soleil, il rencontre à nouveau l’un des Arabes, couché à l’ombre d’une source, qui à sa vue montre son couteau. Meursault sort de sa poche le revolver de Raymond, abruti par la luminosité, par la touffeur, ébloui par le reflet du soleil sur la lame du couteau, il tire et tue l’Arabe sans le moindre état d'âme, de 5 coups de revolver. C’est la fin de la première partie. Dans la seconde moitié du roman, Meursault est arrêté et questionné, ses propos sincères et naïfs mettent son avocat

dit que je fais de la fiction, je précise que je fais de la réalité. Seulement, c'est la mienne. D'autres la prennent pour de la fiction. Mes «fictions» personnelles recoupent donc sans doute les fictions du monde. 15 Goût pour les meurtres, le revolver, le roman noir?  J'ai passé une grande partie de mon enfance à aller au cinéma et j'adorais les films noirs américains. C'était l'époque. J'ai toujours trouvé que le roman noir permettait de dire beaucoup de choses très profondes qui seraient