Revolver

Mais elle dis que non. Fred raconte a Lizzie cette histoire que tout la ville en parle. Que deux nègres sont montés au train. Dans le train les deux nègres se sont jetés sur Lizzie. Un nègre a tiré son rasoir et un Blanc a abattu d’un coup de revolver. L’autre nègre s’est sauvé. Lizzie  dis  que  cette  histoire  n’est  pas  vraie.  Elle  raconte  a  Fred  que  les  deux  nègres  se   tenaient  tranquilles  et  parlaient  entre

au couteau. Plus tard, Meursault marche seul sur la plage et il rencontre à nouveau l’un des Arabes qui à sa vue montre son couteau. Meursault sort de sa poche le revolver de Raymond, abruti par la luminosité et ébloui par le reflet du soleil sur la lame du couteau, il tire et tue l’Arabe sans le moindre état d'âme par 5 coups de revolver. .Meursault est arrêté et questionné, ses propos sincères et naïfs mettent son avocat mal à l'aise. Il ne manifeste aucun regret. En prison, pendant que son procès

elle se demanda si elle devait avoir peur ou pas, et si elle avait peur ou pas. La nuit était tombée depuis un moment, mais la pénombre ne l'inquiètait pas. Dans son sac, pesait lourd le revolver de son père. Comme dans les sacs des autres, d'ailleurs, la petite troupe des huit jeunes était empesée de revolvers qu'ils avaient volé à leurs parents. Ils étaient un peu fous, ces huit gamins, mais on pouvait accorder à leur inconscience leur jeunesse, le plus jeune avait quatorze ans, et le plus vieux

chaleur et le soleil, il rencontre à nouveau l’un des Arabes, couché à l’ombre d’une source, qui à sa vue montre son couteau. Meursault sort de sa poche le revolver de Raymond, abruti par la luminosité, par la touffeur, ébloui par le reflet du soleil sur la lame du couteau, il tire et tue l’Arabe sans le moindre état d'âme, de 5 coups de revolver. C’est la fin de la première partie. * Dans la seconde moitié du roman, Meursault est arrêté et questionné, ses propos sincères et naïfs mettent son

arpenté le couloir et monté les escaliers qui me semblaient interminable. Je n'avais plus peur de rien. J'étais alors arrivé à l'entrée de notre chambre, la porte était entrouverte et ma femme était assisse sur notre lit. Ma main avait enserré le revolver si fortement qu'elle avait été imbibée de sueur. Ma femme avait alors brisé le silence : « Scheid il faut que nous terminons notre travail inachevé ! » « Non, ce n'est pas possible, désormais c'est chacun pour soi. » « Tu ne peux pas me faire

bagarre éclate : Raymond est blessé au visage d’un coup de couteau. En remontant au cabanon, Meursault obtient de Raymond qu’il lui confie son révolver afin d’éviter qu’il ne tue quelqu’un. Meursault retourne sur la plage. La chaleur est accablante. Il rencontre un des Arabes qui sort un couteau. Meursault, ébloui par le reflet du soleil sur la lame, sort le revolver dans sa poche puis tout s’enchaîne : « La gâchette a cédé, j’ai touché le ventre poli de la crosse et, c’est là, dans le bruit à la fois

rencontrent deux Arabes, dont le frère de la maîtresse de Raymond. Ils se battent et Raymond est blessé. De retour au cabanon, Meursault le tempère et lui prend son revolver, pour lui éviter de tuer. Reparti seul sur la plage, il retrouve par hasard le frère, qui sort un couteau. Assommé par le poids du soleil, il se crispe sur le revolver et le coup part tout seul; mais Meursault tire quatre autres coups sur le corps inerte. Meursault est emprisonné. L'instruction va durer onze mois. Il ne manifeste

police le recherche et il quitte précipitamment Lyon avec Platano. En cours de route, il tue Platano dans des circonstances qui restent peu claires : selon la version qu’il donnera à ses futurs complices, Platano se serait grièvement blessé avec son revolver par accident, et il l’aurait achevé pour lui éviter de souffrir. Comme le note Alphonse Boudard5, Bonnot ne pouvait donner d’autre version, d’autant plus que Platano était sa caution auprès des anarchistes parisiens. Bonnot ayant récupéré une forte

raconte au lecteur. Des sensations variées : Peu de sentiments mais beaucoup de sensation : - Visuelles : Meursault fixe l’arabe - Auditives : Le coup de revolver qui détruit le jour et le bonheur - Tactiles : Le soleil cause une brûlure insupportable, qui blesse Meursault au front et aux yeux. L’affrontement commence bien avant le coup de revolver. C’est un combat contre le soleil, bien plus que contre l’arabe. Meursault tire sur le reflet aveuglant projeté par le couteau de l’arabe, il ne cherche

circonspection, ils engageaient des débuts de conciliabules, afin d'empêcher l'asphyxiant mutisme de prendre le dessus. Ils abordèrent l'endroit tant redouté, Atim fermant la marche d'un pas grave, le visage serré, la main crispée sur la crosse du revolver brûlant des éclats de la culpabilité pressante. Éprouvant une souffrance abstruse, Atim aperçut à quelques pas la silhouette de son grand-père. Ils s'érigèrent, telles des statues, devant l'auguste allure du viel homme. Nassara, d'emblée pétrifié