Représentation Symbolique Du Cyclope

récurrent. Vous étudierez ce thème dans les chants V à XIII. Proposition de plan : Introduction I. Les caractéristiques de l’île 1. Un espace clos dans un environnement particulier 2. Un espace de découverte 3. Une description sommaire mais symbolique II. Des îles différentes, lieux de l’altérité 1. Les îles où vivent des monstres 2. Les îles paradisiaques ? 3. Ithaque III. Un parcours significatif 1. Comment apprécier l’organisation du parcours ? 2. Du conquérant soldat à la présence de l’homme

va les emprisonner en sa demeure à la manière du Cyclope, mettant ainsi à profit la mémoire de la série («comme fit le géant quand vinrent à sa bergerie nos compagnons avec l'audacieux Ulysse», 434-435). Euryloque n'est pas le seul à se souvenir d'autres monstres précédemment rencontrés; déjà plus haut, les compagnons d'Ulysse ont «senti leurs cœurs se rompre» en pensant «aux exploits d'Antiphatas ,le Lestrygon, aux violences du valeureux Cyclope mangeur d'hommes» (199-200), autant de figures anthropophages

LE DELTA LUMINEUX Le delta lumineux est l’une des représentations symboliques parmi les plus visibles du temple maçonnique puisque situé à l’orient, au dessus de la place du Vénérable, entre lune et soleil. Nous croyons pouvoir reconnaître dans le Delta lumineux comme dans le trio formé par le Vénérable, l’Orateur et le Secrétaire, deux répliques du triangle pythagoricien, renvoyant unanimement aux trois astres ( la Polaire et les deux Ourses) du cercle arctique de la Sphère Céleste. Auquel

"Nous reprîmes alors la mer avec tristesse, heureux d'être vivants, mais pleurant nos compagnons morts" LES LOTOPHAGES "mangeur de lotos"= plante de l'oubli, qui fait perdre la mémoire. LE CYCLOPE: pays hors la loi, ne respecte même pas les Dieux (vers 107) monde qui s'écarte du monde des humais. Le Cyclope s'appelle Polyphéne. Ulysse manifeste toujours de la curiosité, c'est de sa faute si ses compagnons se font piéger par les obstacles. ->perte de compagnons ->respect du aux Dieux ->"Ulysse

L’animal n’est pas simplement une reproduction mais possède une lourde charge symbolique -> au MA, il y a une pensée symbolique du monde (on ne fait pas de ≠ entre les

Pompéi et Paestum). Des sculptures telles qu’Athéna dite Pallas de Velletri de 430 av.J-C découverte en 1797 ou La Vénus de Milo datant du IIe siècle av J-C à l’attitude énigmatique découverte en 1820 témoignent de la prégnance du mythe dans les représentations antiques découvertes à cette époque. Le mythe fait partie de la culture collective. Elle nourrit nombre de légendes et de fables y mêlant certains phantasmes et craintes. Repère et père de tous les possibles, le mythe garde un lien extrêmement

l'attention des hommes. L'alternance du jour et de la nuit , le déplacement du soleil d'un coté à l'autre de la terre et les différentes phases de la lune rythmaient les activités humaines. La carte du ciel : Carte mentale des représentations symboliques se référant à des réalités astronomiques, climatiques, culturelles. Le ciel étoilé des astronomes est composé de 88 constellations. Celles-ci empruntent leurs noms et leurs tracés aux "histoires" issues de la mythologie grecque, mythologie

réponses sur l'origine de l'univers et de l'homme, concernant les dieux et les messagers qui agissent en leur nom. La narration cosmogonique raconte le regroupement progressif ou soudain des éléments qui forment l'univers, dans un langage hautement symbolique. Et en règle générale, cela nous ramène à un temps de « préexistence », du chaos originel, dans lequel le monde n'était pas encore formé. Contrairement à la science qui explique les faits soumis à la rigueur de la connaissance, et la raison précise

mécanismes, le caractère artificiel et les règles auxquels il obéit. Groupement de textes 2 : L’Homme et son autre. Lectures analytiques - Voltaire, Candide, « Le nègre de Surinam », 1759 Lectures complémentaires - Euripide, Le Cyclope, (Ve siècle avant J.C.) - Michel de Montaigne, Essais, II, 30, « D’un enfant monstrueux », 1580. - Voltaire, Dictionnaire philosophique, article « Liberté de penser », 1764. - Flora Tristan, Promenades dans Londres, 1840. - Victor Hugo, L’Homme

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