Replique Rapide Tirade

détails de procédure et son cynisme, la fausse légèreté du "après quoi on recommence". Et bien sûr l'allusion à la comédie de Racine... - La syntaxe,( asyndète et juxtapostion) renforce la tonalité ironique ((l5 à8, 11 à 14) par son aspect hâché et rapide. Aussi bien au niveau de la phrase qu'à celui de la composition du texte : les paragraphes s'enchaînent assez brutalement, sans lien logique. Les arguments et exemples sont comme juxtaposés - on retrouve le même procédé (luxe de détails qui ridiculise

sorties des personnages), par exemple. Commentateurs considèrent que version établie d’après autre source, texte révisé par la scène (= manuscrit dont disposait le souffleur, prompter : « le prompt-book » - noter que les acteurs n’ont que leurs répliques, pas l’ensemble du texte) Qu’en conclure ? Succès de la pièce de Shakespeare : attesté à l’époque et justifiant la publication de versions « pirates », sans doute pas supervisées par l’auteur. (cf. aussi anecdote 1      

renommée. Celui-ci apparaît lors du lever de rideau interdisant à l’acteur Montfleury de paraître sur scène. Cyrano empêche donc la représentation d’avoir lieu et se met ainsi tout le public à dos. Provoqué par un fâcheux, Cyrano déclame sa célèbre tirade sur les mille et une façons de décrire son nez. Il se bat ensuite en duel avec un marquis qui ose le provoquer. Puis après que le public a quitté le théâtre, seul avec son ami Le Bret, Cyrano avoue qu’il aime sa cousine Roxane ; hélas, à cause

précise qui est souvent antérieure à l'époque de l'auteur, et cela peut lui permettre de dénoncer indirectement les défauts de la société de son époque. (Notre Dame de Paris, V. Hugo). • LE ROMAN D'AVENTURES : c'est un genre très populaire. L'action est rapide et les événements se succèdent sans interruption en faisant agir les personnages dans plusieurs milieux. (Jules Verne). • LE ROMAN PAR LETTRES : il s'agit d'une succession des lettres. Il était à la mode dans le passé et il a connu son apogée au XVIIIe

changement de scène ( le lecteur ne sait pas où sortent les personnages), le rythme rapide fait que c’est une même scène→ Coelio renforce son image d’amoureux excessif (l17)→ décalage entre Marianne et Coelio car elle déjà mariée→ rôle du Tibia ( valet) ? Soit fidèle soit va trahir son maître ( Claudio)→ idée d’assinat et absence de procédés comiques → pas en accord avec la comédie → passage très court (3 à 4 réplique)→ découper en trois acte mais un seule → intrigue amoureuse → classe sociale qui nous

du gibier. L’hiver, à la ville, on se trouve fatalement réduit à prospecter dans un secteur restreint de relations, on a donc affaire à un cheptel catalogué. LE MONSIEUR : Non ! Jamais je ne m’habituerai à ce langage…cheptel, gibier !... (Les répliques de LUI sont lancées au dessus de son interlocuteur, Absence d’arrogance, sans antipathie, Il s’agit d’un jeu) LUI : (Avec conviction : Humour) Vous n’aimez pas les femmes ! LE MONSIEUR : Il me semble qu’au contraire, c’est parce que je les aime

masque d'où l'importance de ses propos : il est sincère, cru et honnête. Cette scène suit celle où De Guiche lui a proposé de devenir son poète particulier ou poète de cours auprès de Richelieu. Cette tirade de Cyrano se structure en 2 parties : * il oppose le poète de cours ( 1è partie rapide) à l'artiste sincère ( 2è partie plus lente à partir du vers 1000 ). Cyrano mène sa pensée à un débat = délibérer, il définit les principes de libre penseur : flatter , compréhension... Ce texte est

l’un comme dans celles de l’autre, la mort se signale par son omniprésence qui transparaît à travers le discours des personnages et les indications scéniques. C’est dire que la mort « plane »31 sur ces pièces lugubres de la première à la dernière réplique. Dès lors, l’on peut saluer leur entreprise littéraire qui vise à lever l’interdit qui pèse sur la mort, à réhabiliter la Faucheuse et à restaurer les représentations de celle-ci. Que les œuvres des deux auteurs protéiformes soient marquées par

l'écriture. Nerval laisse des blancs, des interstices. Aussi frappant : l'accélération de la fin, produite par un dialogue, une énumération des lieux traversés aussi. Il énumère toutes les villes, qui existent toujours. Il traverse les lieux de manière rapide et imprécise. Aussi grande cohérence : les lieux font échos à des moments du passé. Ligue et Fronde = 16e et 17e réunis! Recomposons : vrai début de Sylvie, enclenchement de l'intrigue contrete d'où le caractère essentiel dans la structure narrative

niveaux de lecture donc, du cocasse à la tragédie, pour un texte fort de la littérature francophone ultramarine d'aujourd'hui.  Les fausses confidences, Marivaux http://members.aol.com/crismatis/confidences.html Sur ce site, les principales répliques pouvant servir de plan synoptique, le tableau de présence des personnages et d'autres éléments pour analyser cette pièce de Marivaux.  Les fausses confidences, Marivaux http://www.philagora.net/lettres/marivaux.htm Deux perspectives de lecture