Replique Rapide Tirade

se parle à lui-même (le véritable destinataire est en réalité le public), souvent pour annoncer un projet ou pour exprimer des idées ou des sentiments. Réplique (n. f.) : texte prononcé sans être interrompu par un même personnage au cours d'un dialogue. Scène (n. f.) : division d'un acte entre l’entrée et la sortie d’un personnage. Tirade (n. f.) : longue suite de phrases prononcées par un même personnage sans interruption. L'action © Place au théâtre ! – Bordas 2012. Dénouement (n

La victoire de Voltaire 1°) a Le discours est une tirade sur un thème classique : les grandeurs humaines Les grandeurs…. Cette phrase est un cliché, (banalité) un lieu commun ; Présence de pluriels (généralité) = on est dans un lieu commun. Il va y avoir ensuite une prolifération de son discours, on va arriver à une logorhée (logos = parole et rhein =couler : trouble du langage caractérisé par un flot de paroles incontrôlables et rapides) Pangloss parle d’une série de rois, qui ont eu un destin

bête sauvage, comme un rhinocéros. II) Absurde. La situation est absurde, les jeux de scène sont très animés (Jean se déplace a la salle de bain, puis sort et finalement il rentre dans la salle de bain) et toute la scène a un rythme très rapide : répliques brèves portant des phrases nominales (BERENGER : Des bêtises! ; BERENGER : Comment? ; JEAN : Non.) et des nombreuses répétitions ( Jean dit « Ouvrez vos oreilles » en deux occasions). Les réflexions totalement décalées de Bérenger paraissent

moments sont également exprimés par la métaphore filée de la lumière dans la bouche d’Œnone. Elle compare la vie à un « flambeau » qui « peut se rallumer ». Puis elle évoque une « faible lumière ». Les deux femmes échangent un chant de deuil car chaque réplique semble un adieu au monde des vivants : « Je meurs… Mourrez donc… Mon âme chez les morts descendra la première ». Si Phèdre doit mourir, Œnone la suivra. Devant une scène si intense, le spectateur ressent de la pitié. Le pathétique naît devant la

passe d'une scène mouvementée à une scène plus calme. Après le départ de Martine, Chrysale fait part de sa désapprobation et se montre plus éloquent. Petits Classiques Larousse - 11– Femmes savantes La scène est plus calme, comme le montrent les répliques plus longues, le ton et la continuité des alexandrins qui ne sont plus disloqués. 5. Chrysale s'adresse-t-il réellement à Bélise ? Pourquoi ? D'après la didascalie (« à Bélise »), Chrysale semble s'adresser à sa sœur, mais en réalité son discours

que, indéfini « on », chiasme, présent  gnomique) => évidence de la vérité / critique générale des maris.    – Rejet de l'apparence, du paraître au profit de l'être, du « caractère ». Champ lexical du  mensonge opposé à celui de la vérité dans la tirade de Silvia.  – Portrait d'Ergaste : description saisissante qui traduit tout l'effroi de Silvia (voir : antithèses  « douce », « prévenante » vs. « sombre », « brutal », « farouche », antithèse intérieur /  extérieur  (distance entre être et paraître)

de contrôler certains éléments (sons, éclairage, effets spéciaux…) Un plafond technique est aménagé sur toute la salle (passerelles). L'isolation acoustique est poussée, et les normes de sécurité imposent certaines contraintes liées à l'évacuation rapide des spectateurs. La scène et les gradins sont transformables pour jouer à l'italienne, à l'antique, à l'élisabéthaine, en annulaire, en éperon, en rond… Les gens du théâtre Le rapport spectacle / spectateur Chaque représentation est une aventure

celui qu’elle aime, en est réduite aux abîmes de la tragédie : « Je n’aimais qu’un seul être et je le perds deux fois ! » A c t e I , s c è n e 4 ( p p . 4 2 à 6 7 ) ◆ Lecture analytique de l’extrait (pp. 68-69) La tirade du nez La tirade énumère exactement 20 tons différents, 19 étant qualifiés d’un adjectif (cf. v. 314, 316, 318, 320, 322, 325, 328, 330, 332, 335, 337, 339, 340, 341, 342, 343, 345, 347, 348), le dernier étant désigné par une périphrase (cf. v. 350). v L’ordre

- La réplique est le texte prononcé par un personnage à destination d’un (ou plusieurs) autre(s) personnage(s). - La tirade est une longue réplique sans interruption. - Le monologue est une tirade prononcée par un personnage seul en scène. - Le dialogue est un échange verbal entre deux ou plusieurs personnages. - L’aparté (mot masculin) est une réplique prononcée par un personnage à l’insu d’un autre, pour lui-même ou à l’intention du public. - La stichomythie est l’échange rapide de répliques

devient la victime : " en un grand embarras jette ici mon amour "(vers 937). Agnès trompe Arnolphe sous ses yeux mais il ne peu rien avouer. Horace le met donc mal a l'aise, il est humilié. C'est un dialogue basé sur le quiproquo dans sa première réplique , arnolphe à l'air sur de lui mais sa deuxième est plus courte. Il se rend compte qu'il perd Agnès. Quant à Horace, il ne comprend pas pourquoi Arnolphe ne rit pas de son histoire. " Je ne puis y songer sans de bon cœur en rire, et vous n'en riez