Répétition

Liberté et fantaisie 1- Le renouvellement du comique - Le comique de répétition est classique, mais ici, il est volontairement souligné à outrance par les jeux d’opposition et de rigoureuse symétrie ; les personnages deviennent des mécaniques qui tournent à vide (cf. formule de Bergson sur le rire provoqué par « du mécanique plaqué sur du vivant »). - Le comique traditionnel est mis à distance : les personnages de Blazius et de Dame Pluche reposent sur des stéréotypes (le vieux prêtre

pour dénoncer certaines habitudes sociales. Il écrivit dans tous les genres (farce, comédie d'intrigue, comédie de mœurs, comédie de caractère, comédie-ballet, comédie héroïque...) pour s'adresser à un plus large public. N.B. : le comique de répétition peut tenir des trois formes de comiques : l'effet consiste à répéter plusieurs fois les mêmes mots, les mêmes gestes, ou la même situation.

diminution du nombre des habitants, et surtout du nombre d’enfants (renouvellement de la vie impossible), rétrécissement de la surface du pays, etc. - Lutte dérisoire et vaine du roi contre son destin Éléments relevant du comique - Comique de répétition : le garde répète sans cesse « Vive le roi ! Le roi se meurt ! » ou « Vive le roi ! » - Comique de caractère : le garde décrit les choses les plus insignifiantes à haute voix —> personnage caractérisé par sa bêtise, son comportement programmé

portraits charges du séducteur pris à son propre piège, des paysannes opportunistes, du bourgeois enrichi mais maladroit. Le comique de situation : la promesse en mariage du héros à deux femmes en même temps, le créditeur payé de mots Le comique de répétition lorsque Monsieur Dimanche est, une fois de plus, éconduit par Sganarelle parodiant son maître, Dom Juan 2. Eléments pathétiques et grinçants Le dépit exprimé par Pierrot (Acte II, scène 3) semble légitime : la jeune femme qu’il aime sincèrement

Molière, Les Fourberies de Scapin, acte II, scène VII Montrer les différents comiques de cette scène Cette scène repose essentiellement sur le comique de répétition étroitement lié au comique de caractère. Géronte, homme avare ne se résout pas à donner l’argent qui liberea son fils Léandre, qu’il croit prisonnier sur une galère. Au lieu de payer immédiatement la rançon et de s’inquiéter pour son fils, il tergiverse et cherche une diversion lui permettant de ne pas verser les cinq cents

pour s'adresser à un public plus large. Les effets comiques [modifier]  Quiproquo : Le quiproquo consiste à faire interagir deux personnages qui se méprennent sur ce dont parle l'autre. Le quiproquo est un comique de situation.  Comique de répétition : L'effet consiste à répéter plusieurs fois les mêmes mots, les mêmes gestes, ou la même situation. C'est un comique de situation.  Le sous-entendu complice : Un personnage connaît et comprend les références utilisées par un autre, mais un troisième

déchets. Dans Fin de Partie, certaines scènes peuvent aussi être grotesques (page 55 avec le chien en peluche) voir pathétiques (page 41 avec le fauteuil au centre de la pièce). Néanmoins, on trouve aussi souvent dans Fin de Partie le comique de répétitions : « Ce n'est pas l'heure de mon calmant ? » , le comique de mots ainsi que le comique de gestes. Clov accourt constamment lorsqu'Hamm le siffle, il fait pourtant preuve de ruse. En effet, qui d'autres que Clov avec sa lunette peut savoir ce qui

l’interprétation des énoncés littéraires et non littéraires. Les figures de répétition. * Répétions de sonorités * Une allitération est la répétition d’un ou plusieurs sons-consonnes. Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala. (Hugo) * Une assonance est la répétition d’un ou plusieurs sons-voyelles. Mes étoiles au ciel avaient un doux frou- frou. (Rimbaud) * Répétition lexicale. * Une anaphore est la répétition d’un mot ou d’un groupe de mots, en tête de plusieurs phrases ou membres

« trésor » ou Valère utilise la connotation en prenant la fille de Harpagon comme un trésor, une chose magnifique, alors que Harpagon utilise la dénotation en prenant le mot « trésor » pour parler de sa fortune. Enfin, l'auteur utilise le comique de répétition avec le mot « amour » Valère veut faire comprendre a Harpagon l'amour qu'il détient pour sa fille alors que lui pense a l'amour qu'il a pour son argent, « ses louis d'or »; « Bel amour, Bal amour, ma fois! l'amour de mes louis d'or »(l,7) L'auteur

plus fragile mais lorsqu’elle parle, elle joue sur les mots (ligne 5) mais surtout emploie un langage grossier qui est en totale contradiction avec ce qu’elle représente. On peut aussi noter que Desproges dans ses chroniques utilise le comique de répétition en employant toujours la même phrase de fin : « Etonnant, non ? ». De plus cette phrase résume très bien la scène puisque le public est du début jusqu’à la fin surpris pas les différents procédés comiques mais ils ne sont pas les seuls à apporter